Maya l’abeille : une histoire méconnue de la littérature de jeunesse. Maïa (ou Maya) est sans doute la plus célèbre des petites abeilles : sa figure ronde, son grand sourire et ses cheveux blonds ont été popularisés par une série d’animation diffusée à la télévision française à la fin des années 1970, présentée dans une nouvelle version en 2008 et suivie de deux longs métrages en 2014 et 2018.
Or cette série est l’adaptation d’un roman allemand et « la plus belle des abeilles » est bien plus âgée qu’on pourrait le croire : née en 1912 sous la plume de Waldemar Bonsels, elle est plus que centenaire. Die Biene Maja und ihre Abenteuer (L’abeille Maïa et ses aventures) paraît avec le sous-titre « Ein Roman für Kinder » (un roman pour enfants) mais sans aucune illustration. Bonsels, le premier père de Maïa Né en 1881, Waldemar Bonsels est l’auteur de plus d’une quarantaine de romans, essais et recueils de nouvelles et de contes. Pendant la Première Guerre mondiale, il travaille comme correspondant de guerre sur le front de l’est. La révolution culturelle nazie - Johann Chapoutot. La brigade du Stup' : « Guernica » - France 2 - 10-04-2017. Que reste-t-il de l’architecture nazie ? - Edition du soir Ouest France - 07/06/2016. Grandiloquente, dorique, rationnelle, combinant béton et façades en pierre, modernisme et éléments classiques : voilà qui peut caractériser l’architecture du régime national-socialiste.
Peut-on vraiment parler d’un « style » nazi ? State of Deception Lesson Study. Propagande : Tous les messages sur propagande. Le pouvoir de la propagande nazie Le pouvoir de la propagande nazie : un État trompeurParis, hôtel de ville, exposition du 26 janvier au 25 février 2017à l’occasion de la journée internationale de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l’Humanitéquestion : est-ce l'Etat qui est Trumper ?
N'est-ce pas les nazis qui ont trompé le peuple allemand et l'ont emmené dans une guerre mondiale qui a fait au moins 50 millions de victimes ? State of Deception: The Power of Nazi Propagandaaussi expo Nazi. Activite le triomphe de la volonte 3eme. Précurseurs et alliés du nazisme aux Etats-Unis, par Michael Löwy & Eleni Varikas (Le Monde diplomatique, avril 2007) Certains, comme Daniel Goldhagen, ont essayé d’expliquer le nazisme par une perversité antisémite exclusivement allemande ; d’autres, comme Ernst Nolte, dans un esprit visiblement apologétique, parlent de comportement « asiatique » ou d’imitation des bolcheviks.
Et si, comme l’a si tôt perçu Hannah Arendt, le racisme et l’antisémitisme nazis avaient plutôt des sources occidentales (1), et même des filiations nord-américaines ? En effet, parmi les lectures favorites des fondateurs du IIIe Reich se trouve le livre d’un personnage américain hautement représentatif : Henry Ford. Par ailleurs, les doctrines scientifiques et les pratiques racistes politiques et juridiques des Etats-Unis ont eu un impact non négligeable sur les courants équivalents en Allemagne. Cette connexion américaine remonte tout d’abord à la longue tradition de la fabrication juridique de la race – une tradition qui exerce une grande fascination sur le mouvement nazi dès ses origines.
L'homme aux bras croisés : en 1936, un Allemand a refusé de faire le salut nazi. Tourisme en terre nazie. Munich-Nuremberg-Berchtesgaden, jusqu’au camp de concentration de Dachau, le tourisme en Allemagne a continué d’exister sous le Troisième Reich.
Il fut même un des rouages les plus soignés afin de séduire écrivains, chefs d’état, journalistes ou simples curieux. Docteur en histoire de l’université de Grenoble-Alpes et spécialiste de l’Allemagne nazie et de ses représentations, Frédéric Sallée nous en dit plus sur ce « tourisme brun ». – Est-ce que partir en voyage en Allemagne nazie était comme de nos jours faire du tourisme en Corée du Nord (curiosité) ou pour certains faire un pèlerinage idéologique? La curiosité et le pèlerinage idéologique sont deux motivations fréquentes des voyageurs d’Allemagne, parfois indissociables l’une de l’autre. A la grande différence de la Corée du Nord actuelle, l’Allemagne nazie n’est pas un territoire fermé et cadenassé par le régime en place.
Avant de combattre les États-Unis, Hitler appréciait leurs lois raciales. Il y a deux semaines, les symboles nazis pullulaient dans les rues de Charlottesville, en Virginie, où des suprémacistes blancs scandaient «Les Juifs ne nous remplaceront pas» ou défilaient en brandissant des torches dans la nuit, dans une évocation des marches aux flambeaux de l'Allemagne hitlérienne.
Cette nostalgie de la frange la plus radicale de l'extrême droite américaine pour le régime nazi fonctionne dans l'autre sens: il y a quatre-vingt ans, des Allemands voyaient dans l'Amérique et ses lois raciales la promesse d'un futur radieux. Une histoire «négligée» que raconte un livre stimulant récemment publié aux États-Unis, Hitler's American Model: The United States and the Making of Nazi Race Law. Son auteur, James Q. Qui dit inspiration ne dit pas transposition directe. Les Jeunesses hitlériennes vues par la presse. Après l'accession au pouvoir de Hitler en 1933, la presse française commence à s'intéresser de près au mouvement de jeunesse du parti nazi : les Jeunesses hitlériennes.
Fondées en 1926, celles-ci visent dès le départ à endoctriner les jeunes Allemands, avec comme objectif de faire d'eux de futurs « surhommes » fidèles aux idées national-socialistes et prêts à se battre et à mourir pour leur chef. En septembre 1934, Le Temps relate comment, au congrès de Nuremberg, rassemblement annuel du NSDAP, « 60 000 membres des jeunesses hitlériennes [ont exprimé] leur fidélité au Führer ». Le journal raconte la prise de parole d'Hitler devant la foule d'adolescents galvanisés : « Dans ce monde, s’écrie M.
Hitler, rien n’est donné. En 1933, les Jeunesses hitlériennes, qui ont absorbé les autres organisations de jeunesse, comptaient 2,25 millions de membres âgés de 10 à 18 ans. Le discours de Charlie Chaplin dans "Le Dictateur" - Le Monde de Léo. Le discours de Charlie Chaplin dans « Le Dictateur » « Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n’est pas mon affaire.
Je ne veux ni conquérir, ni diriger personne.