News - Atelier Doré. J’avais envie de vous faire un post à se plier de rire sur l’utilisation d’Instagram pendant l’été (je vous jure, ça aurait été drôle.
Prochaine fois), j’ai plutôt eu envie de vous donner de vraies nouvelles. Et en ouvrant mon Instagram, je suis tombée sur cette citation : “L’important, c’est ceci : être capable, à tout moment, de sacrifier ce que l’on est pour ce que l’on pourrait devenir.” par Maharishi Mahesh Yogi. Je ne sais pas vraiment qui il était, Maharishi (après Googlisation, le gourou des Beatles,entre autres) mais ses mots résonnent vraiment en moi. C’est tellement génial, et tellement étrange de chroniquer sa vie.
Ces « entendeurs de voix » qui ne sont pas fous. Ça a commencé une nuit il y a dix ans.
Arthur (le prénom a été modifié), 17 ans, dormait à l’internat, dans un lycée du Mans. « Un soir, j’ai entendu quelqu’un m’insulter et me faire des propositions dégradantes. » Le jeune homme ouvre les yeux, personne ne lui parle. Pourtant, dans sa tête, la voix poursuit son monologue. Elle est accompagnée de sensations physiques oppressantes : « J’avais l’impression qu’on essayait de m’étrangler. » A l’époque, Arthur ignore ce qu’il lui arrive. Mais tout va mal autour de lui : sa mère a un cancer et son père vient de tomber en dépression. « C’est la seule époque de ma vie où j’ai eu des pensées suicidaires. » Arthur consulte déjà une psychanalyste depuis trois ans, mais il ne lui en parle pas. Promis, demain, je me mets au travail. Au début, j’avais sincèrement décidé de me mettre au travail.
Mais peut-on raisonnablement démarrer une journée sans un bon café ? Notre jugement moral varie quand nous changeons de langue. Vous aussi vous avez l’impression d’être une personne un peu différente lorsque vous vous exprimez dans une autre langue que votre langue maternelle ?
Dans sa dernière édition, le Scientific American, mensuel de vulgarisation scientifique américain, rend compte d’expériences dont il ressort que notre sens de la morale, qui fait une grande part de notre identité profonde, est altéré lorsqu’il faut faire des choix dans une langue étrangère. La première expérience date de 2014 et elle proposait à des volontaires une nouvelle version du « dilemme du tramway » (dont l’expérience originale remonte à 1967) : actionnerez-vous l’aiguillage qui tuera une personne pour en sauver cinq ? Peut-on provoquer un décès pour en éviter d’autres ? C’est ce que choisissent la plupart des participants.
Lire aussi : Le dilemme macabre des voitures autonomes Plusieurs explications coexistent, explique le Scientific American. What Do Teenagers Want? Potted Plant Parents. Carrière ET famille, j'ai décidé de tout choisir. #22 - MON CERVEAU, CE RELOU. Se libérer de ses parents en 8 leçons. Cet article est dédié à Christine et Bernard, mes deux parents que j’adore.
Initialement publié le 20 octobre 2016 Quand j’étais en seconde — c’était il y a fort longtemps, au début des années 90 — il y avait un chapitre du cours de sciences économiques et sociales qui s’appelait « la socialisation ». The Great Mirrors - Atelier Doré. J’ai des voyantes, des guérisseurs et des astrologues.
Ça va ça va, on se calme. J’habite à Los Angeles et rien n’est plus absolument normal que ça. Être Nouvelle - Atelier Doré. J’en appelle à tout mon courage pour vous confier des pensées simples que j’ai en ce moment.
Des détails qui ont changé. C’est différent de mon style de d’habitude, mais ça vient de mon cœur. Personne ne m'aime : si tu penses ça, lis cet article — madmoiZelle.com. Le 25 octobre 2018.
L’anxiété de performance, souffrance psychique des premiers de la classe. A la veille des premiers examens et des travaux de groupe à rendre, Lucie, étudiante en master « droits de l’homme » à Sciences Po, accumule les retards dans les divers exposés qu’elle doit terminer.
Elle s’angoisse, ne dort presque plus, et se sent isolée. Paniquée, elle cherche à prendre un rendez-vous dans un bureau d’écoute psychologique universitaire pour enrayer ce cercle vicieux – en vain, car le centre qu’elle contacte est surchargé. Valoir quelque chose : comment j'ai compris mon importance — madmoiZelle.com. Publié initialement le 7 juillet 2015.
Arrêtez de vous torturer - Les Conseils d'Hippie Jack. Ça y est, l’hiver approche, il fait nuit dès 14h30, le soleil commence à prendre des jours de congé entiers, sans aucun remord, et on sent la petite déprime hivernale qui commence à pointer son nez. Tout ira bien tant qu’on sera du bon côté des fêtes de fin d’année – juste avant, on a toujours quelque chose à attendre de cette saison, ça rassure et ça console. Mais à partir du 2 janvier, ça va dégringoler et faire bien mal à la gueule. Alors pourquoi attendre l’heure des bonnes résolutions pour se mettre un petit coup de pied au cul ? Autant préparer le terrain tout de suite, pour finir cette année et commencer la prochaine sur une bonne note, sans passer par la case “A quoi bon vivre, de toute façon le monde est pourri et moi aussi, je veux mourir laissez-moi tranquille”.
Et il existe des milliards de façon de se torturer. Comment gérer un cerveau hyperactif qui va trop vite ? — Article initialement publié le 29 novembre 2013 Avoir une cervelle en hyperactivité constante, ça peut avoir des avantages : on s’emmerde rarement, on passe son temps à chercher (et souvent à trouver) des solutions, on analyse tout ce qui bouge, on ne reste jamais sur ses acquis, bref, y a de quoi bien se marrer dans l’ensemble.
Mais lorsqu’on traverse une période difficile (relation foireuse, rupture, problèmes de taf, de famille, de thune), ça devient vite infernal. « J’avais trouvé un sens à ma vie, et je l’ai perdu » Chaque mois, des jeunes diplômés racontent sur Le Monde Campus leur quête de sens et leur transition professionnelle, en partenariat la communauté Paumé·e·s de l’association Makesense. Aujourd’hui, Sébastien, 29 ans, qui a rédigé ce texte. J’aime la culture parce que mes parents m’ont appris à l’aimer. Quand j’étais gamin, mon père, qui est chercheur en neurobiologie, me parlait des étoiles. Ma mère, psychologue, de la Révolution française. Vivre au jour le jour : comment j'ai appris à lâcher prise.
Ces temps-ci, je traverse une période plutôt incertaine dans ma vie. Ça fait quelques mois déjà que j’ai du mal à y voir clair et à distinguer quel est le bon chemin à suivre. Concernant ma vie amoureuse par exemple, la relation (très) longue distance (je suis en France, il est aux États-Unis) dans laquelle je me suis épanouie longtemps est devenue depuis quelques mois de plus en plus compliquée à gérer. J’ai aussi dû faire un choix de master qui n’a pas été évident, et les contours de l’année de césure que j’envisage prochainement sont difficiles à dessiner. Ce que j'ai appris en passant une année à voyager en faisant du stop - Rockie. J’ai testé pour vous… faire ma crise d’adolescence à 27 ans. « En agence de com’, je ne trouvais plus aucun sens dans mon travail »
Podcast : “Traître de classe”, pas facile de quitter son milieu social - Radio. Fille de modestes immigrés algériens, Khedidja Zerouali, en devenant journaliste, a creusé un fossé culturel entre elle et sa famille. Elle le raconte dans un récit drôle et sincère. « Une perte de sens totale » : le malaise grandissant des jeunes ingénieurs face au climat. Article réservé aux abonnés C’est un discours de remise de diplôme plutôt inhabituel que Clément Choisne, jeune ingénieur de Centrale Nantes, a livré devant ses camarades, le 30 novembre 2018. A contre-courant des discours louangeurs de ce type d’événement, il a choisi de parler de son dilemme : « Comme bon nombre de mes camarades, alors que la situation climatique et les inégalités ne cessent de s’aggraver, que le GIEC [Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat] pleure et que les êtres se meurent : je suis perdu, incapable de me reconnaître dans la promesse d’une vie de cadre supérieur, en rouage essentiel d’un système capitaliste de surconsommation. » Le texte, signé par plus de 30 000 étudiants, incite les jeunes diplômés à travailler pour des « employeurs en accord » avec les recommandations du manifeste.
Depuis, les auteurs de ce texte tentent de capitaliser sur le succès de leur démarche. #62jours pour devenir meilleure: lettre de rupture à ma dépression. Mise à jour du mardi 10 octobre 2017 — À l’occasion de la journée mondiale de la santé mentale, je ressors cet article écrit pendant mes #62jours d’introspection. J’y ajoute ce témoignage, qui revient plus en détail sur mon propre parcours face à mes problèmes de santé mentale, dont la dépression est l’un des avatars. — Publié le 23 juillet 2017 Clémence veut mettre à profit cet été pour développer 62 réflexions introspectives, dans le but de devenir sa meilleure alliée… et donc une meilleure version d’elle-même. Rendez-vous tous les jours sur #62jours pour devenir meilleure : un exercice de développement personnel en pratique.
Précédemment dans #62jours : La martyre et la super-héroïne qui sommeillent en moi Je suis sur une série de réflexions où je me regarde moi-même. Le temps du deuil, des vécus à durée indéterminée. An Adult’s Guide to Social Skills, for Those Who Were Never Taught.