En pleine crise des sous-marins, l'Allemagne pose les bases d'un partenariat spatial militaire avec l'Australie. L'Allemagne et l'Australie ont signé un protocole d'accord dans le domaine de la défense spatiale. Dans la crise des sous-marins entre la France, les États-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, des responsables allemands ont pris fait et cause pour Paris.
Cette affaire est « un signal d’alarme pour tous dans l’Union européenne » et « nous devons nous poser la question sur la façon de conforter notre souveraineté, comment nous pouvons montrer plus d’unité sur les questions de politique extérieure et de sécurité », a ainsi estimé Michael Roth, le secrétaire d’État allemand aux Affaires européennes, le 21 septembre. « Une position commune de l’UE est primordiale […] Nous ne pouvons pas toujours compter sur les autres », a ensuite continué M.
Roth, disant comprendre la « déception » de la France après le coup que lui ont joué Canberra, Washington et Londres. Le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas, n’a pas dit autre chose. « Je peux comprendre la colère de nos amis français. Ce qui a été décidé – et la manière dont cela a été décidé – est irritant et décevant.
Les États-Unis prêts à révéler une arme spatiale secrète. Le 20 août, le site Breaking Defense dévoilait que les États-Unis s'apprêtaient à lever l'épais secret entourant une arme spatiale dont seules quelques dizaines de personnes connaissent l'existence et le but.
Mieux: les officiels poussant pour cette déclassification, notamment le général John Hyten, vice-patron de l'état-major américain, souhaitaient qu'une démonstration de l'engin soit réalisée et montrée au monde. Les événements en Afghanistan et l'attention qu'ils requièrent ont logiquement eu raison de ces velléités. Et les experts de se lancer dans un grand jeu spéculatif: de quelle arme peut-il bien s'agir, et pourquoi ainsi bander ses muscles dans l'espace? Il est un fait sur lequel ne plane aucun mystère: les armes antisatellites sont une réalité, et ce depuis longtemps. Selon Breaking Defense, il existe plusieurs possibilités. Nouvelle guerre des étoiles En outre, le secret terrestre n'est plus celui de l'espace. «La dissuasion ne se déroule pas dans un monde classifié. How an international treaty signed 50 years ago became the backbone for space law - The Verge. Comment la France se prépare à une « guerre dans l'espace »
Le studio de The Mandalorian collabore à la conception d'un simulateur de vol spatial pour l'armée des États-Unis ! L’US Space Force désire former ses pilotes à l’astrodynamique, mais manque de ressource.
Dans le cadre d’un nouveau projet de simulateur de vol spatial, les responsables ont notamment fait appel au studio ayant travaillé sur la série à succès The Mandalorian. L’objectif est de rendre ce simulateur le plus attrayant possible. Un nouveau simulateur pour l’US Space Force Créée en fin 2019, l’US Space Force est la branche des forces armées des États-Unis ayant pour objectif de conduire des opérations militaires dans l’espace.
Cette branche dispose aujourd’hui de plusieurs moyens de former ses pilotes au vol spatial. Le fait est que les règles de l’astrodynamique, à savoir la science des mouvements dans l’espace, sont très compliquées. L’US Space Force désire acquérir un nouveau simulateur de vol répondant davantage à ses besoins. Une grande accessibilité Le site Task and Purpose a relaté cette nouvelle dans un article publié le 20 octobre 2020. Ça y est, la Space Force américaine est officielle. La France va créer son commandement militaire de l'espace. Donald Trump ordonne au Pentagone de créer une force armée de l’espace. Le président Donald Trump a confirmé ce lundi sa volonté officielle de créer une sixième branche des forces armées américaines, une « force spatiale » (« space force ») qui serait indépendante de l’armée de l’air, mais que le Congrès doit encore autoriser. « L’Amérique sera toujours la première dans l’espace », a déclaré Donald Trump, lundi, lors d’un discours sur l’espace à la Maison Blanche.
Pour cela, « nous allons avoir une armée de l’air, et une force armée de l’espace, séparée mais égale », a-t-il dit. La décision en reviendra au Congrès, mais Donald Trump a d’ores et déjà ordonné au département de la Défense d’en poser les jalons. Le président américain avait déjà indiqué qu’il était favorable à la création de cette sixième branche, aux côtés de l’armée de terre (US Army), l’armée de l’air (US Air Force), la marine (US Navy), le corps des Marines et les garde-côtes. Un long processus « Les riches adorent les fusées » La fusée la plus puissante de son histoire.