Introduction. Ch 6 prog. TSES 2 GROUPE 1 - TRAVAIL DU JEUDI 21/01. TSES2 groupe 2 - travail du mardi 26/01. TSES groupe 2 - travail du mercredi 27/01. TSES groupe 2 - travail du jeudi 28/01. TSES2 groupe 1 - travail du mardi 2/02. TSES2 groupe 1 - travail du mercredi 3/02. TSES2 groupe 1 - travail du jeudi 4/02. TSES2 GROUPE 2 - Travail du mardi 23/02/2021. Synthèse du manuel Hachette p. 198. Synthèse du manuel Hachette p. 199 (suite et fin) Schéma de synthèse manuel Hachette p. 200. Synthèse d'un autre manuel, Hatier (p. 198) Suite Synthèse d'un autre manuel, Hatier (p. 199) Activité 1. Document introductif - VIDEO. Rentrée des classes : le grand bouleversement du CP à 12 élèves. Pour franceinfo, le respect de votre vie privée est une priorité.
QUESTION groupe 1 (26 01) QUESTION GROUPE 2 (21 01) PROBLÉMATIQUES élèves groupe 2 (21/01) PROBLÉMATIQUES élèves groupe 1 (26/01) Introduction. Document 1. Document 2 - QU'EST-CE QUE L'ECOLE DE LA REPUBLIQUE ? - Les essentiels de Jamy. Document 3 - La volonté progressive d'une école pour tous. Document 4 - Les finalités de l'Ecole. ACTIVITÉ 3. Le travail d'EMMA. Le travail de CAMILLE. ACTIVITÉ 4. Proposition d'introduction de Camille. Manuel p 207 guidage méthodologique introduction dissertation. Introduction à corriger. Le sujet - manuel Hachette p. 206. Le rôle de l'école dans les socités démocratiques. SYNTHESE - txt à trou.
SYNTHESE - txt à trou - corrigé. L’histoire de la laïcité en France. Publication : 10 févr. 2016 La laïcité est un principe républicain fondamental. Elle a été affirmée dès la Révolution française, notamment dans l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 qui stipule que « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par loi. » Mais c’est sous la IIIe République que la laïcité s’est réellement définie et enracinée. Elle s’est inscrite dès les années 1880 dans une lutte entre le nouvel État républicain et l’Église catholique. Aux yeux des républicains, la laïcité est en effet le moyen de soustraire les Français à la tutelle de l’Église. La laïcisation de l’école constitue donc pour eux un enjeu fondamental. Les missions de l'école.
L’égalité scolaire, un enjeu de survie pour la démocratie. Le long mouvement de massification scolaire enclenché dans notre pays depuis les années 1960 était censé accroître l’attachement aux valeurs démocratiques.
Dans la mesure où l’éducation scolaire est imprégnée des valeurs de l’égalité et de la tolérance, et véhicule la croyance dans les vertus de la science et de la raison, le fait qu’une majorité de jeunes bénéficie aujourd’hui d’une scolarité longue – la proportion de bacheliers atteignait 80 % d’une génération en 2019 – ne pouvait a priori que renforcer la confiance dans la démocratie. Or, force est de constater que, en France et dans d’autres pays comparables, cette promesse optimiste n’a pas été totalement tenue. Si les acquis de la science sont plus largement diffusés, les jeunes gardent-ils pour autant le recul nécessaire par rapport aux fake news qui circulent toujours plus vite ?
Par ailleurs, la généralisation des diplômes a aussi des effets pervers. François Dubet, Marie Duru-Bellat : L'École peut-elle sauver la démocratie ? A l'occasion de la sortie de cet ouvrage, avons posé trois questions à François Dubet La massification de l’accès aux études et aux diplômes, dont l’aspect positif est incontestable, a pourtant engendré des inégalités par et dans l’école.
Comment s’explique ce paradoxe apparent ? FD : En France et ailleurs, la massification reposait sur trois « promesses » : une promesse de justice, une promesse d’efficacité et une promesse démocratique. La promesse de justice a largement été tenue grâce aux progrès considérables de l’égalité d’accès aux études secondaires et supérieures. Les enfants des classes populaires accèdent largement à des études dont ils étaient pour l’essentiel exclus jusqu’aux années soixante. Il n’est donc pas question de remettre en cause la massification.
Là aussi, il y a une singularité française, celle de la très forte emprise du diplôme sur l’accès à l’emploi. L’école, républicaine ou utilitariste ? Au tournant du XVIIIe et du XIXe siècle, deux grands projets d’institution scolaire furent développés : en France, celui de Condorcet, dont la formulation la plus marquante se trouve dans ses Mémoires sur l’instruction publique (1791) ; en Angleterre, celui de Bentham, exposé dans la Chrestomathia (1816).
Au premier abord, ces deux projets sont si différents que l’on voit mal comment il serait possible d’en proposer une analyse comparée : en un mot (nous y reviendrons), Condorcet propose une institution républicaine ayant à sa charge l’instruction morale du citoyen, tandis que l’institution de Bentham poursuit une finalité plus utilitariste pouvant être ramenée à la volonté d’assurer l’accès au bonheur au plus grand nombre. Dans Créer l’école, Alain Fernex nous propose pourtant un point de vue qui autorise la démarche comparative. Condorcet face à Bentham. QCM - La méritocratie. Activité 5. Activité 6. Document 4 p 187. Document 2 p 188. Document p 204. Document 1 p 188 Hatier. Document 2 p 201. Document 4 p 189 Hatier. Document 2 p 203 Hatier. Document 3 - La volonté progressive d'une école pour tous.
Taux d'accès à un diplôme ou à une formation. Société démocratique. Les lois de Jules Ferry. Égalité des chances. Le collège unique, depuis 1975. L'instruction obligatoire. Taux de scolarisation. Ségrégation sociale. Taux d'accès à un diplôme ou à une formation. 80 % d'une génération au baccalauréat. Ne pas confondre massification et démocratisation scolaire. Petite histoire de l'école - Décod'Actu. Education : il y 60 ans, l’école devenait obligatoire jusqu’à 16 ans. La loi Jules Ferry du 28 mars 1882 avait rendu l’instruction obligatoire en France pour tous les enfants, filles et garçons, de six à treize ans.
Après le Front populaire, la loi du 9 août 1936, initiée par Jean Zay, prolongera ensuite l’obligation d’aller à l’école jusqu’à quatorze ans. La mesure contribue au développement de l’enseignement secondaire et à la création des collèges, mais les élèves titulaires du certificat d’études primaires pouvaient quitter l’école dès 11 ans. "L’instruction obligatoire jusqu’à l’âge de seize ans révolus" L’instruction obligatoire peut être donnée soit dans les établissements ou écoles publics ou privés, soit dans les familles par les parents, ou l’un d’entre eux, ou toute personne de leur choix.
Les hussards noirs de la République ou les combats pour l'école laïque. Il est des textes de loi qu’il est bon de lire et de contextualiser.
La loi du 28 mars 1882 par exemple. Elle est signée par Jules Grévy, alors président de la République et par un autre Jules, Ferry, ministre de l’instruction publique et des beaux-arts : « L’enseignement primaire comprend : L'allongement de la scolarité jusqu'à 16 ans - Lumni. Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ...
Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ... Services visant à afficher du contenu web. Services visant à afficher du contenu web. L'explosion des effectifs scolaires : la rentrée 1964 - Lumni. La conjonction de la forte croissance démographique et de l'allongement de la scolarisation provoque une véritable "explosion scolaire" (c'est le titre d'un ouvrage de Louis Cros publié en 1961) en France à partir du début des années 1950 : la population scolarisée dans les écoles, collèges, lycées et universités, qui était de 7 715 000 en 1954, dépasse les 12 millions en 1968.
Les enfants du "baby-boom" - 800 000 nés en moyenne chaque année depuis 1946, soit près de 200 000 individus de plus qu'avant la guerre que l'école doit désormais accueillir - commencent ainsi à submerger l'enseignement primaire dès 1951-1952, puis atteignent le secondaire dans la seconde moitié des années 1950, et enfin le supérieur au milieu des années 1960. D'autre part, la scolarité s'allonge : alors qu'en 1954, 54% des garçons et 57% des filles de 14 ans seulement étaient scolarisés, en 1968, ils sont respectivement 86% et 93%.
Ce sujet des "Actualités françaises" donne à voir un traitement en deux temps. Massification et démocratisation de l'accès à l'école et à l'enseignement supérieur. Les sources des graphiques et des données sont détaillées en fin d'article.
Depuis les années 1950, l'accès à l'École, puis à l'enseignement supérieur, s'est élargi : l'enseignement secondaire et supérieur s'est ouvert à des catégories sociales qui en étaient autrefois écartées et la durée de scolarisation moyenne s'est allongée. L'examen des taux de scolarisation, d'accès et de réussite à des diplômes permet de mettre en lumière ce phénomène de « massification » du système scolaire, tout en nuançant l'idée de « démocratisation » de l'école [1]. La massification de l'enseignement secondaire et de l'accès au baccalauréat À la fois diplôme sanctionnant la fin des études secondaires et premier grade universitaire donnant accès à l'enseignement supérieur, le diplôme du baccalauréat était autrefois réservé à une élite.
Jusqu'au début des années 1950, moins de 5 % des élèves d'une classe d'âge accède au baccalauréat. Graphique 1 : Proportion de bacheliers dans une génération par voie (en %) Démocratisation et massification. L’école française, démocratique ou élitiste ? La rentrée scolaire 2015 a fait l’objet de polémiques centrées sur l’inégalité de l’école française.
Enfances de classe - Ép. 5/10 - La fabrique des inégalités : évolutions, contradictions, paradoxes. Enfances de classe, un livre de Bernard Lahire et d’un collectif de sociologues paru à la rentrée de septembre 2019, nous raconte ce qu’est l’éducation aujourd’hui en décrivant en détail la situation de 18 enfants de 5 ans, soit l’âge de la grande section d’école maternelle : alors, qu’a-t-on appris quand on a 5 ans ? Les sociologues le décrivent par le menu ainsi que la construction des dispositions, des goûts, des valeurs qui seront intériorisés pour toute la vie. Ils racontent aussi ce qui dans l’éducation relève de la confiance donnée, en soi et en les autres, des contraintes, d’une forme de modestie transmise, et même de peurs. Cela aussi va rester toute la vie. Dans le titre Enfances est écrit au pluriel et cette somme, car c’en est une, documente les inégalités telles qu'elles se lisent à travers la vie des familles.
Taux d'obtention au bac et origine sociale. Origine sociale et études supérieures. Du collège aux filières d’excellence, la disparition des enfants d’ouvriers – Centre d'observation de la société. Au fil de la scolarité, la part des enfants d’ouvriers se réduit tandis que celle des enfants de cadres s’accroît. La quasi-totalité des enfants vont au collège, quelles que soient leurs origines sociales : la part des catégories sociales à ce niveau de scolarité est donc représentative de la répartition des parents d’élèves dans la population totale.
Les enfants de cadres (22,7 %) et d’ouvriers (24,1 %) y sont quasiment aussi nombreux, selon le ministère de l’Éducation nationale (données 2019-2020). Ceux qui ne suivent pas la filière générale (moins de 3 % du total) sont à cet âge orientés en Section générale d’enseignement adapté (Segpa) : parmi eux, on trouve près de 40 % d’enfants d’ouvriers et 2 % d’enfants de cadres, vingt fois moins. Bac et origine sociale. Niveau scolaire et origine sociale. ACTIVITÉ 2.
Quelle est l’action de l’école sur les destins individuels et sur l’évolution de la société ? - Vidéo Emissions Lumni. Quelles sont les missions de l'école dans les sociétés démocratiques ? Comment a-t-elle évolué ? En quoi constitue-t-elle un des facteurs d'inégalités de réussite scolaire ? Décryptage de l'approche des économistes, des sociologues et des politologues avec Frédéric, professeur de sciences économiques et sociales. Téléchargez le support de cours en PDF. Enchaînements et mécanismes. École, socialisation genrée et inégalités scolaires. Famille et inégalités scolaires. L'école assure-t-elle l'égalité des chances? Comment expliquer la persistance des inégalités scolaires? QCM - Quelle est l’action de l’École sur les destins individuels et sur l’évolution de la société ? A l'épreuve des inégalités scolaires - Canal Socio. A l'épreuve des inégalités scolaires "La sociologie à l'épreuve des inégalités scolaires" constitue le premier volet d'une série de cinq programmes consacrés aux inégalités sociales.
Elles sont un objet récurrent pour les sociologues. Les champs d'études les plus divers de la sociologie (le travail, l'éducation, la santé, la culture, etc.) y sont confrontés. Cela étant, si tout le monde peut constater que les inégalités sont bien réelles dans les sociétés industrielles, on peut faire aussi observer que les modalités de production des inégalités ont changé. Qui sont les décrocheurs ? - Alternatives #4. L'école est-elle condamnée à produire de l'inégalité ? Support Ecole. Comparraison des analyses de Boudon et Bourdieu pour expliquer les inégalités scolaires. Dossier documentaire. Dossier 4. Cours. Quelle est l'action de l'école sur les destins individuels ? Durkheim école. Dossier 4.1. Dans les sociétés démocratiques, l’École transmet des savoirs et vise à favoriser l’égalité des chances.
Dossier 4.2. les transformations de l’École dans la société française. Dossier 4.3. Les inégalités de réussite scolaire s'expliquent par la socialisation différenciée et par les stratégies des familles.