À la découverte du tourisme gourmand À la découverte du tourisme gourmand 5 juin 2006 - TAGS Dans cet article, je vous invite à partir à la découverte de quelques initiatives dans les diverses régions du Québec ainsi que de pistes à exploiter pour la mise sur pied de concepts gourmands. On peut affirmer sans contredit que le tourisme culinaire, aussi appelé tourisme gourmand, est bel et bien une réalité au Québec. Agrotourisme : L’agro-tourisme [1] est une activité touristique complémentaire à l’agriculture. Tourisme culinaire ou tourisme gourmand : L’alimentation constitue un aspect fondamental de toute expérience touristique. Le tourisme gourmand s’associe très bien avec le tourisme culturel puisque la cuisine et ses produits alimentaires sont reliés à l’histoire d’un pays, à ses particularités régionales, aux goûts caractéristiques de chaque région et au savoir-faire de ses artisans. L’évolution alimentaireLe Québec évolue au rythme d’une culture culinaire empreinte de traditions et de modernité. Cours de cuisine Activités
Le business autour de la gastronomie, un atout commercial de la France Plus qu’une pratique alimentaire, c’est un art de vivre à la française qui obtient ainsi ses lettres de noblesse. C’est aussi un véritable atout économique pour la France et un enjeu de compétitivité car la gastronomie irrigue toute l’économie du pays. Sa valorisation peut permettre à la France de valoriser son tourisme, son activité agricole et agroalimentaire, son savoir-faire en matière de formation aux métiers de l’art de la table et enfin son soft power diplomatique. Au niveau politique, la gastronomie s’est très tôt affirmée comme le « soft power » de la France, un avantage concurrentiel qu’elle a su exploité très tôt. Dès la fin du XVIe siècle, penseurs (Callières,..) et politiques tels que Louis XVI s’appuyaient sur la gastronomie pour tirer leur épingle du jeu lors de négociations diplomatiques. Talleyrand sut habilement l’utiliser pour retourner la situation à son avantage lors Congrès de Vienne de 1814.
» Le tourisme durable par la voie culinaire La gastronomie est devenue un élément indispensable pour connaître la culture et le mode de vie d’un territoire. Elle englobe quelques dimensions du tourisme d’aujourd’hui: respect des cultures et des traditions, mode de vie sain, authenticité, durabilité, expérience. Elle représente également une occasion de revitaliser et de diversifier l’offre touristique, de promouvoir le développement économique local, d’impliquer des professionnels de différents secteurs et d’ouvrir de nouvelles voies au secteur primaire. Lorsque la gastronomie cadre avec le tourisme durable Selon le Global Report on Food Tourism de l’Organisation Mondiale du Tourisme, la popularité du tourisme culinaire résulte de la croissance des offres de qualité et de la consolidation d’un marché distinct. Les clés de succès d’un positionnement axé sur la gastronomie reposent sur plusieurs éléments: Le territoire est la colonne vertébrale de l’offre gastronomique. Le slow food Certifications et routes gourmandes Source:
Agrotourisme au Québec Les arts culinaires : patrimoine culturel de la France Comme de nombreux interlocuteurs l'ont relevé, notre cuisine française reste un « phare » de la cuisine mondiale, une référence en matière d'excellence et de rigueur. Rencontre entre un patrimoine et un savoir-faire, elle est l'expression d'une créativité humaine qui se traduit dans des alliances, assemblages ou sublimation des saveurs, dans un accord entre vins et plats qui est un « point d'orgue » de notre gastronomie.... Lors de ses auditions, votre rapporteur a entendu de multiples illustrations de cette renommée : nos « grands chefs », qui ont porté la cuisine au niveau d'un art, mais aussi nos boulangers ou oenologues, sont sollicités à l'étranger, où leur savoir-faire est reconnu et s'« exporte » bien ; ils contribuent ainsi au rayonnement culturel de notre pays. De même, la France est un point de passage quasi incontournable pour les chefs étrangers, qui viennent se former dans nos écoles ou auprès de chefs français. * 4 Voir le compte-rendu de l'audition de M.
Voyager pour goûter le monde : essor du tourisme culinaire On ne parle pas ici de tourisme gastronomique, un tourisme élitiste qui amène les bien nantis bien vêtus, d’un étoilé Michelin à l’autre. Non, il s’agit d’une nouvelle forme de tourisme qui permet de découvrir les produits locaux et de goûter les spécialités régionales. Dans cette mouvance, les marchés deviennent des attractions touristiques d’autant plus intéressantes qu’ils permettent le contact avec la population. Le touriste culinaire voyage pour manger. Comme le soulignaient Amélie Racine et Maïthé Levasseur dans Le tourisme durable par la voie culinaire, paru en décembre dernier dans veilletourisme.ca, « la gastronomie est devenue un élément indispensable pour connaître la culture et le mode de vie d’un territoire. » Elles citent le Global Report on Food Tourism de l’OMT selon lequel « la popularité du tourisme culinaire résulte de la croissance des offres de qualité et de la consolidation d’un marché distinct ». L’Italie et la France dans le peloton de tête
Le tourisme rural tient son université annuelle es 400 professionnels du tourisme rural présents à Bergerac depuis mardi soir sont en formation, pas en vacances. Nuance. Hier, pour la première des trois journées de leur université de rentrée, ils ont avalé des kilos et des kilos de théorie, entre réflexion globale sur l'innovation et mini-conférences sur les outils de promotion, la structuration touristique ou encore les stratégies de fidélisation de la clientèle. « Le tourisme rural mérite que l'on en débatte sur un plan théorique, indique Luc Mazuel, délégué général de l'association Source, à qui l'on doit l'organisation de l'université du tourisme rural chaque année. Entre tourisme balnéaire et tourisme de montagne, le tourisme rural a des spécificités à défendre. » Exercices pratiques Pour digérer au mieux la théorie, les participants à l'université participent aujourd'hui à une série d'exercices pratiques sur le terrain.
Le tourisme culinaire dans l'offre des voyagistes L’Adventure Travel Trade Association (ATTA) a mené un sondage en juillet 2015 auprès de 281 acteurs du réseau de distribution provenant de 54 pays (dont 44 % d’Amérique du Nord) et spécialisés dans le tourisme d’aventure. L’objectif était de mesurer l’importance de l’offre culinaire dans leurs produits. Un intérêt marqué pour le tourisme culinaire Les acteurs du tourisme d’aventure participant au sondage sont principalement des voyagistes et des réceptifs (80 %), mais aussi des agents de voyages (7 %) et des fournisseurs de services touristiques (4 %). Ils estiment à 50 % la part de leur clientèle intéressée par des activités culinaires lors de leur circuit, en particulier celle ayant de 51 à 60 ans. Plus de la moitié (55 %) des voyagistes et des réceptifs ont intégré des expériences culinaires dans certaines de leurs offres. Plus de la moitié (55 %) des voyagistes et des réceptifs ont intégré des expériences culinaires dans certaines de leurs offres. Les activités préférées des voyageurs
Déguster l'Aveyron – Le blog Tourisme Culinaire & Gastronomique en plein essor - Gourmand'ici La gastronomie fait partie intégrante du patrimoine culturel et historique d’un territoire. Ceci est particulièrement vrai en France, destination reconnue pour son patrimoine culinaire, inscrit depuis 2010 à l’Unesco. Le lien entre tourisme et gastronomie ne date pas d’hier mais il semble se renforcer depuis quelques années. Il faut d’abord différencier le tourisme gastronomique du tourisme culinaire : – Les touristes gastronomiques font de leurs expériences culinaires haut de gamme la principale raison de leur voyage. On les retrouve dans des restaurants étoilés, des relais châteaux, des domaines viticoles, etc. – Le touriste culinaire lui, ne recherche pas spécialement le « bien manger » mais le « manger vrai » : découvrir des traditions du terroir, goûter aux spécialités régionales, rapporter des produits typiques… Cette tendance en plein essor est directement liée à un besoin de « retour au local » .
Les Produits Aveyronnais : Roquefort, Aligot, Tripous, Vins, ... Les plats et les spécialités Sur l'Aubrac (Espalion, Saint-Geniez d'Olt, Estaing, Saint-Chély-d’Aubrac, Entraygues, Saint-Amans, Laguiole, Sainte-Geneviève-sur-Argence, Mur-de-Barrez, Conques) Soufflé au fromage, truite au jambon, cuisses de grenouilles, gras doubles, petites (tripous), cabri à l’oseille, civet de lièvre, grive fourrée au foie gras, aligot, cèpes, cabécous, fouace, chocolat de Bonneval, vin d’Entraygues, ratafia d’Estaing, fromage AOC Laguiole. Autour de Villefranche-de-Rouergue (Villefranche-de-Rouergue, Najac, La Salvetat-Peyralès, Rignac, Montbazens, Decazeville, Aubin, Cransac, Capdenac, Villeneuve-d’Aveyron, Rieupeyroux) Estofinado, pied de veau poulette, tripoux, ris d’agneau, cabri à l’oseille, foie gras, confit d’oie, fritons d’oie, civet de lièvre, cèpes, conserves aux truffes, escalope aux pointes d’asperges, chou farci, cabécous, fouace, veau d’Aveyron, eau-de-vie de prunes et de noix. Autour de Rodez Autour de Millau et de Saint-Affrique
I- LA GASTRONOMIE REFLET DE L'IDENTITE 1-Empreinte sociale et culturelle de la gastronomie. La gastronomie représente plus largement le patrimoine culturel d’un pays. Ainsi, la façon de manger que ce soit assis sur une chaise, avec une fourchette et un couteau, des baguettes ou encore ses mains est le miroir de l’identité culturel d’une société. Par l’étude de la cuisine d’un pays, la situation géographique, démographique, économique et même sociale apparaît clairement. Le modèle alimentaire français est une véritable institution. En France, le modèle alimentaire apparaît comme une véritable institution, la quasi-totalité des individus respectant globalement ses normes. À partir de ce modèle alimentaire est née ce qu'on a l'habitude d'appeler la gastronomie française. Parce que le repas gastronomique est perçu comme une version améliorée du repas de tous les jours, la plupart des Français considèrent la gastronomie comme accessible. Il est donc important pour chaque nation de contrôler son « image culinaire ».
scoop it Gastronomie et tourisme, comment mieux faire ? [ID-Tourisme]ID-Tourism, cabinet d'ingénierie marketing du tourisme C’est bien connu chez ID-tourisme, on aime bien mettre en lumière des problématiques liées au tourisme (et on aime bien manger aussi), alors cette fois-ci, en complément de l’ID-Talks 26, on va parler de la gastronomie française et surtout du fait qu’elle pourrait être mieux mise en valeur en France notamment auprès de la clientèle étrangère. En effet, même si le repas gastronomique français est mondialement connu, l’offre autour de la gastronomie n’est pas pour autant bien commercialisée, comme l’explique Guillaume Cromer dans sa dernière vidéo. Classée au patrimoine mondial culturel immatériel de l’UNESCO depuis 2010, « le repas gastronomique met l’accent sur la convivialité, l’humanisme de la table et le bien-être ensemble » voilà ce que signifie son inscription à l’UNESCO et c’est plutôt une bonne manière de définir l’importance de notre cuisine, du temps passé à table et de toutes les traditions françaises qui vont avec ! Dominika, Tchèque et en France depuis 2 ans Maëlle Nègre