Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences
D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention
Intelligences
Accueil > Dossiers et articles > Intelligences Qu'il est difficile de définir de manière univoque ce qu'est l'intelligence ! La notion a en effet beaucoup évolué avec le temps.
Neurosciences et apprentissage
Interview Pierre Marie Lledo : Neurosciences et apprentissage Pierre Marie Lledo est Directeur de recherche au C.N.R.S, Chef d’unité « Perception et Mémoire » à l’Institut Pasteur, Directeur du laboratoire « Gènes, Synapses et Cognition » du C.N.R.S et Directeur d’Enseignement à l’Institut Pasteur. Sur le même thème 5 neuromythes invalidés par les neurosciences Steeve Masson explique dans cette vidéo qu’il existe beaucoup de fausses croyances sur le cerveau qui sont en fait des neuromythes. Les recherche en neurosciences n’ont pas encore réussi à démontrer qu’il existe des styles d’apprentissage propres à chaque individu (auditif, visuel, kinésthésique).
5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation
Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI !
Neurosciences et pratiques pédagogiques diversifiées élèves TSA
Ce document a été réalisé à l’initiative d’un groupe de travail issu du groupe départemental Handiscol, consacré aux troubles sévères du langage. Sa conception et sa mise au point ont été confiées à un enseignant spécialisé, M. Matillat, qui a travaillé avec une conseillère pédagogique spécialisée, Mme Gardie ; tous deux ont bénéficié de l’appui de Mme Gonzalez, médecin neurologue au centre L’Escale (Hôpitaux Lyon Sud). La commande visait essentiellement deux objectifs : Faciliter la compréhension par les équipes d’écoles d’éléments issus de recherches récentes en neuropsychologie, intégrés aux bilans d’élèves tels qu’ils peuvent être transmis par les familles ou directement par des partenaires de soins ; Donner, à partir de la présentation d’analyses de quelques cas individuels, des pistes de travail pédagogique. Tel qu’il est ici mis à disposition, ce document doit être lu, visionné, comme une introduction aux problématiques, toujours ouvertes, des troubles sévères du langage.
18 schémas cognitifs inadaptés qui contribuent aux troubles de la personnalité
Mise à jour 2017 - Voici les modèles cognitifs du développement des traits de personnalité inadaptés des psychologues américains Aaron T. Beck et Jeffrey E. Young qui constituent de grands classiques de la psychologie cognitive. Pour Aaron T.
Notre vision : changer l’école avec les neurosciences cognitives
Notre équipe est composée d’experts de l’éducation. Nous sommes bénévoles, engagés et extrêmement actifs depuis maintenant cinq années. Nous sommes soutenus et conseillés par d’éminents spécialistes universitaires et institutionnels.
Neurosciences: que se passe-t-il quand on se souvient ? - 31 août 2014
Tokyo (AFP) - Les émotions associées à des souvenirs peuvent être réécrites, permettant d'adoucir des événéments douloureux du passé et à l'inverse d'assombrir des moments heureux, suggère une étude menée sur des souris au Japon et aux Etats-Unis et publiée mercredi dans la revue scientifique Nature. "Cette propriété (de renversement) de la mémoire est utilisée cliniquement pour traiter" des maladies mentales, "cependant les mécanismes neuronaux et les circuits du cerveau qui autorisent ce changement de registre émotionnel demeurent largement méconnus", soulignent les chercheurs en préambule. L'objet de l'étude est de décrypter ces procédés sous-jacents, ouvrant la voie à de nouvelles pistes pour soigner des pathologies comme la dépression ou les troubles de stress post-traumatique. Elle "valide aussi le succès de la psychothérapie actuelle", explique à l'AFP le directeur de recherche Susumu Tonegawa. - Transformer une répulsion en attirance - A l'avenir, M.
TEST : Suis-je plûtot visuel, auditif ou kinésthésique ? - Blog de Mme Radenac
Par Pascale Radenac (Collège Saint-Exupéry, Vélizy Villacoublay (78)) le 11 septembre 2009, 06:26 - documents - Lien permanent Extrait de l'article paru dans ça m'interesse Il n'y a pas deux personnes qui apprennent de la même manière.
Cogni-sciences
L’activité du groupe Cognisciences porte sur l’étude des processus du développement, d’acquisition et d’apprentissage du nourrisson à l’enfant. Notre approche s’appuie sur les neurosciences et la clinique du normal au pathologique (langage oral, motricité fine et globale, langage écrit, attention, calcul) Les différents travaux menés portent sur : 1) Le développement cognitif de l’enfant de 6 mois à l’adolescence 2) Le langage oral : acquisition, retards et troubles spécifiques du développement du langage (dysphasies...). 3) Le langage écrit : la lecture, le décodage, la fluence et la compréhension, les difficultés, les troubles spécifiques (les types de dyslexies).
[Dossier] Sciences cognitives et apprentissage – 3/5 - le blog de Solerni – plateforme de MOOCs
Dans les premières parties de ce dossier, nous avons vu qu’en moyenne, le cerveau humain possède dès la naissance un capital de cent milliards de neurones qui restera relativement constant tout au long de sa vie. En revanche, la véritable variable, c’est la connectivité entre les neurones qui évolue au gré des situations: en fonction des expériences et sollicitations, les connexions entre neurones seront tantôt mises en place et tantôt recyclées pour d’autres usages. Les sciences cognitives définissent ainsi l’apprentissage dans sa forme élémentaire comme la réaction cérébrale d’un individu à un stimulus : une information est perçue, traitée puis intégrée par le biais de modifications structurelles des réseaux neuronaux : c’est la plasticité cérébrale ou synaptique. Rôle du cerveau dans l’apprentissage : plasticité synaptique Pour pouvoir apprendre, il faut pouvoir mémoriser afin d’être en capacité de réutiliser une notion, un concept, ou une procédure. Mémorisation et apprentissage
Et si les neurosciences bousculaient le management ?
Dopées par les progrès foudroyants de l'imagerie cérébrale, les neurosciences ont le vent en poupe. Leurs découvertes, au-delà de la sphère clinique, concernent au final tout type de relation humaine, y compris celles dans le monde du travail. « Nous avons pu localiser et comprendre quelles zones cérébrales s'activent lorsque nous ressentons des émotions, positives et négatives. Fait remarquable, ce sont les mêmes circuits qui s'activent dans notre cerveau lorsque nous sommes en relation avec autrui, confronté à ses émotions. Nous ressentons véritablement les émotions de l'autre et même ses états...
Qu'est-ce que la Neuroéducation ?
Issue d’une rencontre entre le dr. Pierre Huc, Neurologue, Psychiatre et Brigitte Vincent-Smith, Professeur de Didactique des langues étrangères/secondes (Ottawa, Canada), l’Institut de Neurodidactique International promeut la compréhension des neurosciences pour permettre d’appliquer ses découvertes à l’apprentissage. Cet enjeu nous passionne, évidemment membre de l’INI, nous nous sommes rendues à Collioure au dernier symposium du 16 et 17 mai 2014 qui a largement tenu ses promesses !
Bloom… à toutes les sauces (ou presque)
Mis à jour le (Mardi, 14 Juillet 2009 19:18) Ecrit par Anna Dans le support Rédiger une consigne, je parle de la taxonomie de Bloom pour l'intérêt qu'elle présente dans la formulation des objectifs d'apprentissage. Mais ce classement est également utile à d'autres niveaux pour le formateur à distance. En effet, il peut servir à évaluer le potentiel pédagogique d'une ressource. Je profite de cette édition pour proposer la version révisée de sa taxonomie.