Jeu et pédagogie ou pédagogie par le jeu : pourquoi il faut jouer toute l’année en classe (et ailleurs)
Vaste sujet me direz-vous ? Et vous auriez raison. Je pense qu’on pourrait y consacrer quelques livres. Pour me présenter en quelques mots sur le plan professionnel : enseignante en élémentaire et intervenante en orthopédagogie (quel mot bizarre…). J’ai créé une structure d’accompagnement pédagogique portant le nom d’HeuréCAP. Autrement dit, mon truc à moi, c’est d’accompagner les enfants en difficulté voire même en souffrance scolaire, avec ou sans trouble(s) des apprentissages.
Renforcer sa capacité de résilience
L'essentiel - La résilience est la capacité de contrôler ses réactions au stress et de rebondir après une épreuve pour aller de l'avant. - Chacun subit des revers, mais ils ont moins d'impact sur les personnes qui réagissent de façon constructive. - Il est possible d'améliorer sa résilience.
7 conseils pour maintenir la concentration des enfants
En matière de concentration, travail, activités physiques et repos doivent s’équilibrer. Voici quelques conseils et idées à appliquer pour maintenir la concentration des enfants pendant des exercices (d’écriture notamment). 1.Avant (et pendant les exercices si besoin), effectuer avec l’enfant quelques respirations profondes pour évacuer les tensions (corporelles et émotionnelles).
« Le vrai secret de la mémoire, c’est d’apprendre plusieurs fois la même information »
A l’occasion du lancement de Mémorable, la nouvelle application du Monde, le neurologue Bernard Croisile était notre invité lors d’un tchat, jeudi 23 mai. Chef du service de neuropsychologie de l’hôpital neurologique de Lyon, il est l’auteur de Tout sur la mémoire (éd. Odile Jacob, 2009). De combien de « types » de mémoires disposons-nous (à court terme, moyen-long terme) ? Bernard Croisile : Il y a plusieurs stocks : la mémoire des souvenirs personnels, dite « la mémoire épisodique » ; la mémoire des savoirs ou mémoire sémantique ; et la mémoire procédurale, c’est-à-dire les gestes.
Pédagogie de l'autonomie
Empowerment Au plan individuel, Eisen (1994) définit l'empowerment comme la façon par laquelle l'individu accroît ses habiletés favorisant l'estime de soi, la confiance en soi, l'initiative et le contrôle. Certains parlent de processus social de reconnaissance, de promotion et d'habilitation des personnes dans leur capacité à satisfaire leurs besoins, à régler leurs problèmes et à mobiliser les ressources nécessaires de façon à se sentir en contrôle de leur propre vie (Gibson, 1991 p. 359).
L'erreur, grande absente de l'expérimentation scientifique en classe : Articles : Didactique * : Thot Cursus
Au début de l'année 2009, Les Cahiers Pédagogiques ont eu la bonne idée de rééditer un article de Jean-Pierre Astolfi (récemment décédé), publié sept ans auparavant. L'article s'intitule "L'oeil, la main, la tête. Expérimentation et apprentissage". Jean-Pierre Astolfi était professeur en Sciences de l'éducation à l'Université de Rouen. Il a travaillé pendant plusieurs années sur le statut de l'erreur dans le système éducatif, et cet article fournit un bon exemple de sa position à ce sujet. Constater n'est pas comprendre
Maux de dos - Les causes émotionnelles des maux de dos
Le dos représente le soutien et le support de la vie. Si mon fardeau est trop lourd, si je manque de support ou si je ne me sens pas assez supporté, mon dos réagira en conséquence et des douleurs peuvent faire leur apparition. Un dos souple indique une certaine souplesse mentale et une grande ouverture d'esprit contrairement aux raideurs dorsales qui signifient orgeuil, pouvoir et refus de céder. La posture adoptée donne des indications sur ce que je vis et sur ma façon de transiger avec les sitautions de ma vie.
«L’erreur est la condition même de l’apprentissage»
Stanislas Dehaene est professeur de psychologie cognitive expérimentale au Collège de France (Paris). Il publie Apprendre! Les talents du cerveau, le défi des machines (Ed. Odile Jacob), qui fourmille d’astuces et de récits d’expériences. L’occasion de l’interroger sur les «recettes» d’un apprentissage réussi, inspirées des neurosciences, de la psychologie cognitive et des sciences de l’éducation.
Enseigner plus explicitement : Pourquoi ? Qui ? Quand ? Quoi ? Où
Télécharger tout le dossier (PDF - 20 pages - 2,1 Mo) Enseigner de manière plus explicite pour répondre à quels problèmes ? (Réponse de Patrick Rayou en 28 min 30) "La personne A se mésentend avec la personne B parce que la personne A est dans une logique parfaitement claire et cohérente pour elle, la personne B est dans une autre logique. Elles parlent d'un objet commun mais appréhendé de manière différente. La difficulté est d'accéder à la logique de l'autre."
Pédagogie PNL
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Repères historiques[modifier | modifier le code] En 1982, Robert Dilts et Todd Epstein animent le premier séminaire (5 jours au Canada) centré spécifiquement sur les stratégies d'apprentissage[5]. En 1987, le centre de formation New Learning Pathways (États-Unis) propose, en Belgique, un séminaire sur les stratégies d'apprentissage.
Réduire la charge cognitive - FormaVox
Lors d’une formation ou d’une présentation en public, vos participants sont activement sollicités dans le but d’assimiler une certaine quantité d’informations. Le problème, c’est que quand la quantité d’informations est trop importante, ou lorsque le contenu présenté atteint un niveau de complexité trop élevé, un phénomène de saturation se produit dans le chef de votre public : il s’agit de la surcharge cognitive. Je vous propose d’approfondir ici le concept de charge cognitive, et de voir en quoi ce phénomène est crucial pour éviter à vos participants de se ruer sur une boite d’aspirine, une fois votre intervention terminée ! Découvrez en quoi consiste le phénomène de surcharge cognitive afin de favoriser l’assimilation de votre contenu par vos participants. Avant d’aborder concrètement le concept de la charge cognitive, laissez-moi préciser 3 éléments importants à propos du fonctionnement de notre cerveau en situation d’apprentissage (lors d’une formation, conférence ou présentation) :
Test psychologique: Questionnaire Alzheimer
Ce test, le Questionnaire Alzheimer ("Alzheimer's Questionnaire"), a été publié par le neurologue américain Marwan Sabbagh et ses collègues en 2010 (1). Il représente l'avancement scientifique actuel pour le dépistage de la maladie d'Alzheimer et du déficit cognitif léger. Il est beaucoup plus récent que ce que vous pouvez trouver actuellement sur les sites francophones de santé et d'associations. Dans une étude pilote menée avec près de 200 personnes, le test, administré par des professionnels, permettait d'identifier les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer dans 98% des cas et d'un déficit cognitif léger (ou trouble cognitif léger) de type amnésique dans 86% des cas. Les personnes qui présentent un déficit cognitif léger, caractérisé par une perte de perte de mémoire plus importante que la perte normale liée à l'âge, ont un risque accru de développer la maladie d'Alzheimer au cours des prochaines années.