Le parisien magazine. blockchain, la révolution dont tout le monde parle En 1993, Marc Andreessen, étudiant américain, mettait au point le premier navigateur Internet. Personne n’aurait deviné que cette invention allait permettre au Web, qui était alors un réseau compliqué réservé aux informaticiens, de devenir un outil utilisé désormais par 3,2 milliards de personnes. Aujourd’hui, Marc Andreessen, à la tête de son propre fonds d’investissement, parie sur une nouvelle technologie : la blockchain, « la révolution la plus importante depuis Internet », a-t-il confié au New York Times. Beaucoup, comme l’auteur canadien Don Tapscott, partagent son avis. La blockchain permettrait en effet de se passer de tous les intermédiaires dans les échanges commerciaux ou administratifs.
De l'EMI à la translittératie : sortir de notre littératie La translittératie est une notion, un concept, une démarche d’apprentissage non encore stabilisée, sur laquelle la recherche française réfléchit et publie depuis plus de cinq ans. D’un point de vue étymologique, la translittératie est le « passage d’un système d’écriture à un autre » (Delamotte, Liquète, Frau-Meigs, 2014) mais est traversée par plusieurs courants. Nouvelle approche de l’information intégrable aux projets d’Education aux Médias et à l’Information, la translittératie serait-elle à l’origine d’une mutation future de notre métier de professeur documentaliste ?
La #translittératie pour les Nuls Pour y voir plus clair ! – Thèse d’Olivier Le Deuff sur les littératies, La culture de l’information en reformation : – Le groupe de recherche en Littératie Médiatique Multimodale du réseau des Universités du Québec : – Les séminaires du GRCDI (Groupe de Recherche sur la Culture et la Didactique de l’information) : avec l’intervention d’Alexandre Serres, Repères sur la translittératie : et celle de Pierre Fastrez, Translittératie et compétences médiatiques : TIC'Édu thématique n°01 Sommaire I. Zoom sur... culture(s) numérique(s) S’il est devenu courant de parler de révolution pour désigner les transformations profondes de nos pratiques socioculturelles actuelles, modifiées dans leur dimension technique, il reste encore à réfléchir aux mutations qu’elles induisent, ou pas, et aux continuités entre les pratiques d’hier et celles d’aujourd’hui : construit-on, partage-t-on et reçoit-on (de) l’information dans des conditions radicalement différentes ? Les nouveaux supports induisent-ils de nouveaux langages ?
Chercher pour trouver 1996-2011 Responsable du site : Audrey Laplante, professeure adjointe École de bibliothéconomie et des sciences de l'information (EBSI), Université de MontréalConception et réalisation originale : Hélène Guertin et al.MBSI, professeure, Collège de Maisonneuve (1974-2002)avec la collaboration de Paulette Bernhard, professeure honoraire, École de bibliothéconomie et des sciences de l'information (EBSI), Université de Montréal. Tous droits réservés © 1996-2011 Hélène Guertin et al. | Documents consultésAvertissement : Les textes sur ce site présentent les idées des auteurs et en aucun cas une position officielle de l'école ou de l'université. L'utilisation du genre masculin a été adoptée afin de faciliter la lecture et n'a aucune intention discriminatoire. Form@net : Scénarios pour développer les compétences informationnelles (Québec / France)
Comment transformer Internet en machine à remonter le temps ? Comment repenser Internet comme un lieu d’archivage de l’histoire, et pas seulement comme un lieu de stockage de données du présent ? Comment renforcer la mémoire d’Internet ? Depuis ses tout débuts, au milieu des années 90 jusqu’à l’acmé que constituent aujourd’hui les réseaux sociaux, Internet s’est présenté comme une sorte de diffraction du présent : un vaste maintenant, toujours repoussé, toujours réactualisé, un présent qui n’en finirait jamais d’être au présent. Or internet a déjà plus de 20 ans et qu’en sera-t-il dans 50, 100, 200 ans ? C’est tout l’enjeu de la seconde révolution d’internet, qui se déroule en ce moment, et qui a pour but d’ajouter le temps comme principe d’indexation.
Déconstruire le conspirationnisme Ce 12 février, l’entretien du SIG consacré aux théories du complot et au conspirationnisme a réuni Rudy Reichstadt, directeur de l’Observatoire du conspirationnisme - Conspiracy Watch, Laurent Bazin, journaliste et co-auteur de « Tous paranos ? Pourquoi nous aimons tant les complots », et Nicolas Vanderbiest, chercheur à l’université de Louvain spécialiste en e-réputation. A cette occasion, ils ont pu décrypter les ressorts psychosociologiques du conspirationnisme et discuter le rôle d’Internet dans ses mécanismes de développement. "On nous cache tout, on nous dit rien!"
Socle commun de connaissances, de compétences et de culture <div>Source : Page web du Socle commun </div><div>education.gouv.fr</div>www.education.gouv.frRetrouvez ce texte réglementaire sur la page du Bulletin officiel <div>Domaine 1 : les langages pour penser et communiquer</div><div><br></div><div>Le domaine des langages pour penser et communiquer recouvre quatre types de langage, qui sont à la fois des objets de savoir et des outils : la langue française ; les langues vivantes étrangères ou régionales ; les langages mathématiques, scientifiques et informatiques ; les langages des arts et du corps. Ce domaine permet l'accès à d'autres savoirs et à une culture rendant possible l'exercice de l'esprit critique ; il implique la maîtrise de codes, de règles, de systèmes de signes et de représentations. Il met en jeu des connaissances et des compétences qui sont sollicitées comme outils de pensée, de communication, d'expression et de travail et qui sont utilisées dans tous les champs du savoir et dans la plupart des activités.
Convertir vos documents PDF en livres numériques animés avec un logiciel! 2 Shares Share Tweet Email Flip PDF Pro est un logiciel de flipbook qui ne peut pas être ignoré dans l’enseignement moderne. Ils aident les professeurs à présenter les matériaux scolaires avec l’effet plus vivant et interactif, en convertissant leurs documents statiques PDF en livres numériques animés.
Propriété intellectuelle et économie numérique — Enseigner avec le numérique La présente étude de l'Institut national de la propriété industrielle (INPI), préfacée par la Secrétaire d’État au Numérique, Axelle Lemaire, est un recueil de 18 articles de réflexion rédigés par des chercheurs et des experts indépendants. Ces contributions sont organisées en 4 grandes thématiques : la matière première de l’économie numérique, la répartition et la protection des droits de propriété intellectuelle, la propriété intellectuelle comme actif immatériel de l’économie numérique et la propriété intellectuelle à l’épreuve de l’évolution constante de l’économie numérique. Si les multiples regards de ce document sont destinés à l'origine aux responsables de la propriété industrielle en entreprise ou à leurs conseils, les acteurs de l'éducation engagés dans des dispositifs innovants y puiseront de précieux renseignements. Sources et références complémentaires
« Une histoire française du Web… » Chargée de recherche au CNRS, à l’Institut des sciences de la communication, Docteur en histoire contemporaine et habilitée à diriger des recherches, lauréate du prix de l’Inathèque, Valérie Schafer est spécialiste d’histoire des télécommunications et de l’informatique. Comment devient-on historienne d’Internet, du Web et des cultures numériques ? Valérie Schafer : Pouvoir se penser historien de l'Internet, du Web ou encore des cultures numériques est, en fait, très récent. La reconnaissance de l'histoire de l'informatique date déjà de quelques décennies, celle de l'histoire du numérique émerge seulement. Mais les sensibilités académiques évoluent. À titre personnel, c’est via un DEA puis ma thèse avec le professeur Pascal Griset, commencée en 2002, que j’ai abordé l’histoire de l’informatique et des télécommunications, en m’intéressant à l’histoire des réseaux Cyclades et Transpac.
Les adolescents et Internet : en finir avec les idées reçues Ils s’appellent Zoé, Mathys, Julie ou encore Loïc. Ce sont des adolescents qui n’ont pas connu « le monde sans internet ». Pour cette raison, On dit souvent d’eux qu’ils sont des « digital natives » dotés de capacités innées, inscrites même dans leur développement biologique . On voit en eux aussi souvent des consommateurs passifs du numérique, aliénés aux logiques économiques déployées sur les réseaux. On va même jusqu’à les considérer comme des « mutants », étranges êtres d’une sphère lointaine… et pourtant si proche. Bref, de Zoé, Mathys, Julie et les autres, on dit beaucoup de choses. Les Communs d’abord ! : un média dédié aux communs Lancé en janvier 2017, Les Communs d’abord ! est un média web indépendant dont le but est de donner une visibilité aux multiples initiatives, publications et débats liés au mouvement des communs. Focus sur ce blog collaboratif, s’adressant à tous ceux qui désirent approfondir leur connaissance du sujet. Nous vous en parlions à l’occasion de la conférence d’Hervé Le Crosnier dans le cadre du cycle « Pour un numérique critique et humain » : le sociologue estime que le rôle central des communs a été accéléré et réaffirmé par l’apparition d’Internet et l’ère du numérique. Pour rappel, les biens communs, ou tout simplement communs, sont des ressources, gérées collectivement par une communauté, celle-ci établissant des règles et une gouvernance dans le but de les préserver et de les pérenniser.