Histoire du cinéma 2
Le cinéma n'est pas capable, en lui même, de reproduire un mouvement continu Une des observation qui participa à la création du cinéma, est cette particularité physiologique de l'œil humain connue sous le terme de « persistance rétinienne ». Lorsque nous regardons un objet, son image se forme sur la rétine, « surface sensible » à la lumière qui tapisse le fond de l'œil. L'image ainsi captée par la rétine met une fraction de seconde à disparaître. De nombreux instruments furent construit sur ce principe, du simple thaumatrope (2 images tournant autour d'un axe) au praxinoscope à miroirs d'Émile Reynaud.
5000 films tombés dans le domaine public à télécharger gratuitement
Dès qu’une œuvre tombe dans le domaine public, elle peut être « uploadée » sur le site archive.org. La liste ne peut donc que s’agrandir. Pour les cinéphiles, c’est une véritable caverne d’Ali Baba. On peut déjà y trouver près de 5000 long-métrages, regardables en streaming, mais également disponibles en téléchargement (très souvent de haute qualité).
Le cinématographe Lumière
Contexte historique Les origines du cinéma La fascination constante des hommes pour les représentations animées a conduit de nombreux savants de l’époque moderne à concevoir des appareils permettant de projeter une succession d’images fixes. Ainsi, au XVIIIe siècle, les « optiques » des montreurs d’images ambulants, caisses à travers lesquelles le spectateur aperçoit des scènes lumineuses édifiantes, connurent un franc succès. Ce n’est cependant qu’à la fin du XIXe siècle que les tentatives de figuration du mouvement aboutirent avec la mise au point du cinématographe par Louis Lumière (1862-1948).
L'âge d'or du cinema français
En quelques mots : Alors qu'il vient de battre des records de vitesse, l'aviateur André Jurieux surprend tout le monde quand il se pose au Bourget en se déclarant triste que la femme qu'il aime ne soit pas là. Celle-ci est l'épouse du riche marquis de la Chesnaye, lequel s'apprête à rejoindre son château à la campagne avec des amis. Grâce à un ami de la famille, l'aviateur s'invite à la fête.
analyses de films, analyse de films
Voyages, 1999 Space Odyssey (A), 1968 In the Mood for Love, 2000
Woody Allen : “La vie n'a aucun sens”
On a bavardé avec Woody dans son hôtel parisien. Courtois, prolixe, manifestement content de discuter, le cinéaste-acteur n’en a pas moins de sombres obsessions qui ne s’arrangent pas avec l’âge. Il était midi à Paris, minuit dans la tête de Woody, cet angoissé affable, ce dépressif vivace, cet irréductible athée. Dans Magic in the Moonlight, vous opposez la croyance et le scepticisme. On a l’impression que vous vous reconnaissez dans les deux personnages, la médium (Emma Stone) et le rationnel (Colin Firth).
20 documentaires musicaux à voir absolument
C’est bientôt les vacances, celles des longs après midis hivernaux parfois difficiles à occuper: l’occasion parfaite pour se caler dans un fauteuil, et voir ou revoir quelques-uns des nombreux documentaires musicaux, souvent indispensables pour mieux comprendre le parcours et la destinée d’un artiste, ou simplement pour mesurer à quel point il mérite parfois que lui soit dédié tout un chapitre de l’histoire de la musique. Mowno est donc parti en quête de quelques-uns de ces trésors disponibles sur internet. Bien sûr, il en manque et non des moindres. En effet, cette liste serait beaucoup moins crédible et utile si on ne vous incitait pas aussi à vous pencher – d’une manière ou d’une autre – sur les excellents ‘Some Kind Of Monster’ de Metallica, ‘The Story Of Anvil’ de Anvil, et ‘Shut Up & Play The Hits’ de LCD Soundsystem.
“Blade Runner” : comment Ridley Scott finit par avoir le mot de la fin - Télévision
Exit la voix off et le happy end : entre sa première sortie en salles, en 1982, et sa version finale, en 2007, le thriller futuriste “Blade Runner” a gagné en noirceur. Une victoire pour le réalisateur, qui a bataillé ferme contre les producteurs afin de leur arracher le “final cut”. A (re)voir sur Arte, dimanche 8 octobre, à 20h55.