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Peut-on apprendre en ligne

Peut-on apprendre en ligne
A TED 2011, Salman Khan est venu présenter la Khan Academy, une collection soigneusement structurée de plus de 2000 vidéos éducatives (voir la présentation vidéo avec sous-titres en français). La Khan Academy connaît un succès notable avec quelques 1 millions de visiteurs par mois qui regardent entre 100 et 200 000 vidéos par jour, souligne son créateur. Salman Khan a commencé incidemment. Analyste financier pour un fonds de pension, il donnait des cours de math à distance à des cousins via l’internet et a décidé de mettre quelques leçons sur YouTube, plus comme complément aux cours qu’il leur donnait qu’autre chose. Ses cousins ont été assez heureux d’avoir moins à le déranger pour accéder aux leçons et de pouvoir les suivre selon leur propre rythme. Le succès aidant, Salman Khan a quitté son travail et fondé une association à but non lucratif, la Khan Academy. Certaines classes pilotes à Los Altos ont remisé leurs manuels pour travailler avec la Khan Academy.

Le crédit mutuel limité ne marche pas non plus L’ensemble des personnes qui commencent à s’intéresser à la création monétaire par la force des choses, commence à se douter que la monnaie à création centralisée, la monnaie actuelle, n’est pas une monnaie équitable. L’Etat et les Banques ont le pouvoir quasi exclusif de création monétaire, et donc raflent tout (les Banques par l’effet de levier, les Etats par la dette infinie…). Alors on pense « monnaies complémentaires », mais se pose toujours la question fondamentale de comment je crée la monnaie. D’autres SEL ont compris l’avantage du crédit mutuel qui est déjà un meilleur système parce que décentralisé. Alors ces SEL rencontrent des problèmes… Forcément ! - Ne pas quitter le SEL en laissant un compte négatif (on entre on dépense tout le débit autorisé, et on repart…)- Ne pas garder un compte créditeur, les comptes doivent être « alternativement créditeurs et débiteurs »… Ces problèmes sont historiquement ceux liés à l’Etalon Or, qui ne marche pas évidemment. Mais si.

Décrochage scolaire : une nouvelle proposition de loi Accueil > Divers, Réformes en cours > Décrochage scolaire : une nouvelle proposition de loi 180 000 jeunes considérés comme « perdus de vue » par le ministère de l’éducation nationale contre 70 000 dans les années 1990 et 150 000 au milieu des années 2000, le constat du rapport, enregistré à l’Assemblée nationale le 25 mai 2011, fait au nom de la commission des affaires culturelles et de l’éducation sur la proposition de loi visant à lutter contre le décrochage scolaire est sans appel. La situation ne cesse de s’aggraver. La proportion des élèves en échec scolaire grave progresse fortement alors que celle des bons élèves augmente lentement. Et pourtant, les dispositifs mis en place ne manquent pas. La commission n’est toutefois pas parvenue à un accord sur la proposition de loi et c’est l’ensemble du texte qui est rejeté.

Quels sont les fondements du manuel numérique ? Quels sont les fondements du manuel scolaire numérique ? Pilier de notre culture scolaire, le manuel est en pleine mutation. La question de son évolution intrinsèque et de son intégration aux environnements numériques pédagogiques suscite la réflexion et le débat. Le développement des technologies numériques suppose-t-il en effet que les professeurs et leurs élèves constituent désormais eux-mêmes leurs propres guides, leurs propres instruments de travail ou faut-il continuer à leur proposer des manuels scolaires qui, renouvelés et enrichis, exploiteraient pleinement les potentialités de ces technologies ? A nos yeux le manuel scolaire n’est pas une ressource pédagogique comme les autres. Sans nous attarder sur un débat sémantique stérile (faut-il encore parler de « manuels » ?) Nous distinguerons donc deux types de fondements : sept fondements « pédagogiques et cinq fondements « numériques ». Fondements pédagogiques 1. 2. 3. 4. 5. 6. C’est l’un des apports majeurs du manuel. 7. 1. 2. 3. 4.

Khan Academy International : L'ex-millionnaire est un smicard heureux Un homme d'affaires autrichien a renoncé à son entreprise et à sa fortune pour vivre avec 1000 euros par mois dans une cabane. Un choix radical qui lui apporte le bonheur. Il y a un an, il habitait une luxueuse villa dans les montagnes autrichiennes. Un immense garage abritait sa limousine, cinq avions étaient à sa disposition. A 48 ans, Karl Rabeder était un homme d'affaires riche, reconnu et malheureux. Aujourd'hui il vit avec 1000 euros par mois dans une cabane de 20m2 sans confort, et il est , dit-il, «plus heureux qu'il n'a jamais été». «Quand on voit la photo prise de moi il y a un an devant mon chalet, j'ai l'air d'avoir dix ans de plus, fatigué et triste», dit Rabeder au magazine Spiegel . Une vie idyllique sans possession matérielle Pour se débarrasser de sa magnifique villa en bois et verre construite dans une verdoyante vallée tyrolienne, Rabeder imagine une méthode originale.

Inscrire les langues informatiques dans les programmes scolaires Le Monde.fr | | Par Mehdi Benchoufi (agrégé de mathématiques, président du Club JADE) et Eric Legrandic (agrégé de lettres, professeur au lycée Hoche de Versailles) Le rapport de la mission parlementaire de Jean-Michel Fourgous sur la modernisation de l'école par le numérique remis le 15 février au ministre de l'éducation nationale prévoyait de déployer, dans un exercice de prospective périlleux, le vaste chantier de l'e-éducation. Force est d'apprécier que du long plaidoyer pour transformer et assaisonner notre système éducatif à la sauce numérique, rien n'aura été réellement décidé. Pourtant, l'enjeu est saillant et le retard technologique qu'accuse la France et dont on peut accuser les décideurs publics de l'avoir silencieusement accompagné, est préoccupant. Or l'e-éducation constituerait un fantastique progrès, notamment si l'on développait dès l'école primaire l'enseignement des langues informatiques.

Les réseaux sociaux : outils d'apprentissage en devenir ? Les réseaux sociaux : Outils d’apprentissage en devenir ? RÉSUMÉ : L’arrivée en masse des réseaux sociaux et des espaces collaboratifs sur la toile a contribué à créer un Web social dont les pionniers acteurs du Web 2.0 viennent perturber tous les champs d’action de notre société dont notamment notre éducation. Cette nouvelle donne pédagogique incite des enseignants initialement réfractaires à intégrer cette dimension collaborative dans leur mode d’enseignement en pratiquant de nouveaux outils aujourd’hui maîtrisés par leurs élèves le plus souvent en dehors du circuit traditionnel d’enseignement. Bien que l’apprentissage en groupe soit encore très marginal en France et que l’ouverture au flux des pratiques du Web 2.0 encore une compétence à laquelle les enseignants ne sont pas forcément préparés, cet article fait le point sur l’état actuel du « Social Learning » et tente de dresser quelques pistes de développement en cours et à venir dans ce domaine. Bibliographie et webographie

De la rareté vers l’abondance Pour libérer notre société de ses maux, de ses problèmes multiples, une de mes recommandations est de faire péter les uns après les autres les verrous de la rareté. Qu’est ce que ça veut dire? Comment s’y prendre? Pour remplacer par quoi? D’abord, il me semble important de définir la rareté (cf wiktionnaire) : Choses qui sont en petit nombre, en petite quantité ; il est opposé à Abondance. La rareté peut être naturelle ou contrôlée. - Rareté naturelle : les rubis se trouvent en quantité limitée sur terre, les trèfles à quatre feuilles sont difficiles à trouver. - Rareté contrôlée : ressources, services ou produits peuvent être contrôlés et maintenus en quantité limitée, par exemple le nombre de Prix Nobel distribués ou les diamants. Pour vous expliquer une rareté contrôlée, @phyrezo vous présente en deux mots le contrôle des diamants : l’approvisionnement du marché est controlé par un oligopole de la production, un quasi monopole de la part de De Bears. Bien. Explosion du barrage

ducation & Formation - Article - Objectif « zéro papier » pour les écoles sud-coréennes Le ministère sud-coréen de l’Éducation, des Sciences et des Technologies a décidé d’allouer 1, 4 milliard d’euros (2,2 billions de Won) de budget pour faire passer les écoles au tout-numérique d’ici à 2015, échéance fixée pour ce programme baptisé « Smart Education ». Chosun Ilbo, le quotidien sud-coréen, a dévoilé le 30 juin 2011 ce projet d’envergure qui s’adresse aux 11 019 écoles et 7 760 220 élèves du primaire et du secondaire et dont les ambitions sont de doter chaque écolier d’une tablet PC, et de supprimer à terme tous les supports papier, d’équiper les établissements de réseaux wifi et mettre en place un système de cloud computing, hébergeant « dans les nuages » toutes les ressources nécessaires. L’annonce ne surprend guère, la société sud-coréenne étant réputée pour ses capacités technologiques et sa culture de l’excellence dans l’éducation. La Corée du Sud, avec ce programme « Smart Education », propose l’expérience la plus poussée dans ce domaine.

Our Proposals What We Need We’ve spent the last four years researching the problems caused by the current debt-based monetary system and how to fix them. This is what we think needs to change to fix our broken money system: History has shown that when banks have the power to create money, they create too much in the good times, causing financial crises, and then create too little money in the bad times, making recessions and unemployment even worse. who has the power to create money,how much money they create, andhow that money will be used. However this process is set up – whether it’s the Bank of England or a new committee that decides whether to create money – it must be accountable to Parliament and protected from abuse by vested interests. Currently, banks create money when they make loans, which means that for every pound in your bank account, someone somewhere else will be a pound in debt.

Pourquoi l'éducation tue la créativité et les chances de réussite Mardi 12 juillet 2011 2 12 /07 /Juil /2011 07:45 Une intervention de Ken Robinson dans une conférence TED où il défend la thèse que nos systèmes éducatifs tuent la créativité et ne sont plus adaptés dans le monde dans lequel nous vivons, les arguments développés par Ken avec humour malgré leur gravité : Une conférence qui date de 2006 encore plus d'actualité dans notre monde qui ne cesse d'aller de plus en plus vite : il est vraiment temps que nos systèmes éducatifs donnent la chance à nos enfants de pouvoir s'adapter à cette nouvelle donne en positionnant la créativité au coeur et en ne plus stigmatisant les erreurs permettant de la développer : idem pour nos entreprises qui veulent se développer dans les nouvelles donnes économique et numérique ! Et voici une vidéo animée de RSA qui développe les arguments de Ken : Billets en relation : Partager l'article ! inShare Par Julien Bonnel - Publié dans : Société 4

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