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Neurosciences Archives - Apprendre, réviser, mémoriser

Neurosciences Archives - Apprendre, réviser, mémoriser
Pourquoi exiger des élèves qu’ils retiennent des choses alors qu’on n’a rien fait pour les aider à mémoriser ? Comment “jouer” avec l’oubli ? Expliquer aux élèves comment le cerveau et la mémoire fonctionnent La mémoire (ou plutôt les mémoires) n’est pas un stock d’éléments pour se rappeler des souvenirs. Les neurosciences nous invitent à repenser cette définition car la mémoire est au cœur de toutes les activités scolaires. Un souvenir est une agrégation d’éléments mémoriels de structures extrêmement différentes (sémantiques, émotionnels, visuels…). Les différents types de mémoire La mémoire à court terme La mémoire à court terme à une capacité limitée : elle maintient en mémoire les informations disponiibles pour un traitement immédiat et est dépendante des capacités intentionnelles. La mémoire de travail La mémoire à long terme Elle possède une capacité illimitée. La mémoire explicite La mémoire explicite est déclarative et consciente. La mémoire implicite A quoi la mémoire sert-elle ?

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Comment les neurosciences revisitent la formation professionnelle (6 vote(s), note: 4,83 / 5) Loading... Les neurosciences redéfinissent les dispositifs d’apprentissage. Quels sont les grands principes pédagogiques qui bénéficient de l’apport des neurosciences ? Les méthodes pédagogiques actives ! Celles dont les techniques (comme la mise en situation, le jeu de rôles, les exercices pratiques) mettent le stagiaire en mouvement. Neuromythes et enseignement : connaître les mythes sur le fonctionnement du cerveau pour mieux enseigner — LRN Masson, S. (2015). Neuromythes et enseignement : connaître les mythes sur le fonctionnement du cerveau pour mieux enseigner. Éducation Canada, 55(3), 32-35. url: labneuroeducation.org/s/Masson2015h.pdf De récentes études ont montré que les enseignants croient souvent à des neuromythes, c'est-à-dire à de fausses conceptions sur le fonctionnement du cerveau.

Programme et présentations 2017 Compte-rendu de la journée sur le Café PédagogiqueReportages réalisés par Ludomag dans le cadre d’Eidos64Compte -rendu de la journée sur Thot CursusDossier spécial Eidos64 sur EducavoxStorify de la journée par Stéphanie De VanssayStorify de la journée par Jean-François Ceci 9h00-9h30 : Accueil café et remise des badges 9h30-10h50 : Ouverture de la journée suivie de la première conférence : Comment étudier? Perspective de la neuroscience Shutterstock / Antonio Guillem Le 10 mai dernier, Steve Masson, professeur à la faculté des sciences de l’Éducation de l’UQAM, a présenté un webinaire intitulé « Comment étudier? Perspective de la neuroscience ». La présentation avait pour but de fournir à des élèves du secondaire des stratégies d’étude efficaces appuyées par certains principes neuroscientifiques.

Les neuromythes constituent un obstacle au changement dans le domaine de l’éducation Qu’est-ce qui fait obstacle au changement et à l’amélioration de l’éducation? Je crois qu’un des obstacles est lié au fait que les enseignants possèdent souvent de fausses conceptions sur le fonctionnement du cerveau de leurs élèves. Ces idées fausses (souvent appelées des neuromythes) représentent un obstacle au changement et à l’amélioration de l’éducation, parce que, lorsqu’un changement s’oppose à une conception bien établie, il y a toujours une tendance naturelle et compréhensible à résister à ce changement. Je crois également qu’une des façons de surmonter cet obstacle est d’intégrer, dans la formation des enseignants, un cours de neuroéducation, un domaine en émergence dont le but est d’améliorer l’enseignement en comprenant mieux le fonctionnement du cerveau des élèves. Un des obstacles au changement : les neuromythes Parlons d’abord des neuromythes.

Vive les « neuroprofs » ! - 8 novembre 2012 De l’aveu de Nathalie Ré, sa prof d’histoire-géo, Tony [le prénom a été changé, NDLR] était « complètement à la ramasse ». A la fin de sa formation Neurosup, on a demandé à ce collégien redoublant d’Ernest-Bichat à Lunéville (Meurthe-et-Moselle), ce qu’il en pensait. Il a conclu son mot par cette phrase : « Et maintenant, j’aime l’école ». Depuis, Tony est passé de 5 à 11 de moyenne. « J’ai été épatée, confie Nathalie Ré, émue. Neurosup a changé l’image qu'il avait de lui. » L'intelligence reconsidérée à la lumière des neurosciences éducatives Pascale Toscani est maître de conférences en psychologie cognitive. Depuis le début de sa carrière, elle lutte contre l’idée reçue, avant tout dans le domaine scolaire, que tout serait joué avant l’âge de six ans. Elle s’est spécialisée en neurosciences de l’éducation, un domaine de recherche qui a pour but d’aider les enseignants à intégrer dans leur pratique professionnelle, les connaissances sur le cerveau. Elle s’intéresse particulièrement au concept de “plasticité cérébrale“, c’est à dire la capacité qu’a le cerveau de s’adapter en permanence à son environnement. De fait, elle s’intéresse au concept d’intelligence et à celui d’apprentissage tout au long de la vie.

Eléna Pasquinelli, "du labo à l’école : science et apprentissage" Eléna Pasquinelli est chercheur en philosophie et sciences cognitives, professeur à l’école normale supérieure de Paris, membre de l’institut Jean Nicod ( ENS, EHSS, CNRS ), membre de « la main à la pâte », voilà pour la riche carte de visite. Elle s’attache, depuis sa thèse, à montrer comment les apports de la recherche en sciences de la cognition et du cerveau peuvent permettre d’améliorer les pratiques éducatives à l’école et en dehors de celle-ci. Son parcours entre recherche et éducation l’ont conduite à publier « Les écrans, le cerveau et l’enfant » ( éditions Le Pommier 2012 ) et à participer à l’élaboration du rapport de l’Académie des sciences consacré au numérique « L’enfant et les écrans » ( éditions Le Pommier 2012 ), voilà pour ses publications récentes . Son nouvel ouvrage « du labo à l’école : science et apprentissage » s’inscrit dans la même démarche.

elenapasquinelli Research activity My domain of research is the philosophy of cognitive sciences and m y research interests are in mind-brain-behavioral studies and their application to domains of social interest, namely: education, the media and technology. Science and society Neurosciences : oublie-t-on le comportement ? « L’hypothèse non formulée est que si nous rassemblons suffisamment de données sur les parties, le fonctionnement de l’ensemble deviendra clair. Si nous comprenons parfaitement les molécules qui se déplacent à travers une synapse, ou les impulsions électriques qui circulent le long d’un neurone, ou le réseau de connexions formé par de nombreux neurones, nous finirons par résoudre les mystères de l’#apprentissage, de la mémoire, de l’émotion et plus encore. « L’erreur consiste à croire qu’un plus grand nombre de recherches de ce genre nous permettra, dans un futur toujours indéfiniment reporté, de comprendre ce que sont les pleurs d’une mère ou la manière dont je me sens actuellement », explique John Krakauer (l’un des cinq chercheurs en question, NDT).

Les neuromythes Extraits du webinaire de M. Steve Masson, professeur au département de didactique de l’UQAM - www.labneuroeducation.org Tout le monde possède des intuitions sur la façon dont le cerveau fonctionne. - Anecdotes - Internet - Magazines - Livres Article publié dans une revue scientifique avec évaluation des pairs

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