Nos trois cerveaux face à la pyramide de Maslow En découvrant il y a peu de temps, à la lecture d’un livre sur le développement personnel, la pyramide des besoins d’Abraham Maslow, j’ai immédiatement pensé au cerveau triunique, une théorie neurologique proposant de considérer le cerveau humain comme étant composé de trois couches.Modestement, mais avec détermination, je vous invite, chez lecteur, à être témoin de la mise en présence de nos deux challengers. Rapprochement ou confrontation ? Un article qui vous parlera d’amour, de cerveau dans le ventre... et de notaires. Des besoins à la pelle Il existe une quantité importante de références [1] [2] - notamment dans certains articles Agoravox [3] - concernant la pyramide des besoins de Maslow, mais par commodité je me permettrais d’en rappeler les bases. La modélisation sous forme de pyramide matérialise aussi la relation entre ces besoins : théoriquement un besoin ne peut être satisfait si l’un des besoins plus profonds ne l’a pas été. Mon notaire a trois cerveaux... Pour conclure...
Voyage au delà de mon cerveau ~ Jill Bolte Taylor Un très beau témoignage de la neurobiologiste Jill Bolte Taylor, l'épreuve qu'elle a vécu suite à un accident vasculaire cérébral, lui aurait permis d'accéder à une vision plus large et plus profonde de la vie, et de ce que nous sommes en réalité, expérimentant ainsi ce qu'est la pleine conscience. "Cette attaque m'a plus appris sur le cerveau que toute ma carrière académique." "Privée de mon hémisphère gauche, j'ai expérimenté la communion avec le tout, la disparition du "je". "J'ai découvert le "nous" à l'intérieur de moi." "Nous sommes des êtres d'énergie, connectés les uns avec les autres, par le biais de la conscience de notre cerveau droit, comme une seule famille humaine. "Qui sommes-nous ? Jill Bolte Taylor A voir absolument, la vidéo ci-dessous où elle témoigne de son expérience de manière forte et émouvante,..... et avec humour aussi. Merci à Margareth d'avoir porter ce témoignage à ma connaissance....un beau message avec lequel je me sens complètement en phase.
Les 6 super-neurotransmetteurs de votre cerveau Les neurotransmetteurs suivants sont les plus importants du cerveau pour le contrôle qu’ils exercent sur les neurones. Ce sont aussi les plus étudiés, et ceux qui sont le plus souvent la cible des molécules naturelles (nutrition) ou de synthèse (médicaments). Acétylcholine : le mémorisateur L’acétylcholine est le seul neurotransmetteur majeur qui n’est pas fabriqué à partir d’un acide aminé (constituant de base des protéines). Il est synthétisé à partir d’une substance de l’alimentation, la choline, et de la forme active de l’acide pantothénique (vitamine B5). L’acétylcholine est un neurotransmetteur « à tout faire » qui intervient dans le contrôle des mouvements, y compris le pouls, ainsi qu’une multitude de fonctions physiologiques. Pour résumer, l’acétylcholine commande la capacité à retenir une information, la stocker et la retrouver au moment nécessaire. Pour favoriser la synthèse de l'acétylcholine Dopamine : le moteur Pour favoriser la synthèse de dopamine GABA : le relaxant
Les secrets de notre cerveau Ayant fait l’expérience d’une forme rare d’accident vasculaire cérébral et d’une lourde opération chirurgicale du cerveau, le Dr. Taylor a observé et stimulé la « reconstruction » son propre cerveau de l’intérieur. Aujourd’hui, elle témoigne et fascine : elle s’est désormais « engagée à informer le public sur la beauté et la résilience de l’esprit humain, sur la réadaptation neurologique, et la valeur essentielle du don d’organe (notamment du cerveau) pour la recherche » . La 4ème de couverture de « Voyage au-delà de mon cerveau » annonce la couleur : nous sommes face à une expérience unique ! Le jour où Jill Bolte Taylor, chercheuse en neurosciences à Harvard, est victime à trente-sept ans d’un accident vasculaire cérébral, sa vie bascule : elle assiste à la dégradation de ses facultés au point qu’en l’espace de quelques heures elle ne peut plus marcher, parler, lire, écrire, ni même se rappeler à quoi sa vie ressemblait jusque-là. Éléments biographiques: Vidéo de la conférence : A lire
Les ondes cérébrales du cerveau et niveau de conscience | Portail sur les expériences avancées de Conscience Les ondes cérébrales et le cerveau… Comprendre les bases du fonctionnement cérébral nous aide à mieux nous comprendre et à utiliser à bon escient des outils tels que ceux que nous utilisons dans les expériences exceptionnelles de conscience très élargie ou d’expériences extraordinaires. Nous verrons que le niveau d’énergie et l’alignement lors d’une expérience reste important pour introduire de la conscience à des niveaux vibratoires correspondant aux différents stades ondulatoires du cerveau. Le cerveau est certes un territoire énigmatique, mais depuis une cinquantaine d’années, la science a élucidé certains de ses mystères. Ainsi, simplement en écoutant des enregistrements conçus à cet effet ou à l’aide de petits appareils émettant des signaux lumineux, semblables à des stroboscopes, on peut accélérer ou ralentir les ondes cérébrales ou encore synchroniser les ondes de l’hémisphère droit avec celles de l’hémisphère gauche. Mécanismes de la conscience Influences extérieures Association
Les ondes cérébrales Des chercheurs ont découvert que nos différents états de conscience correspondent à des ondes cérébrales spécifiques. La fréquence de nos ondes cérébrales change en fonction de nos états mentaux. Les ondes Bêta 13 Hz et plus : concentration, état de veille actif, affirmations et intentions spirituelles. La ondes Alpha 8 à 12 Hz : rêve éveillé, méditation, hypnose, visualisation… Les ondes Thêta 5 à 7Hz : visualisation lucide, début de la phase vibratoire, états de transe ; hypnose et méditation profondes, état hypnagogique. Les ondes Delta 0,5 à 4 Hz : Guérison, conversion de rêve et réveil onirique, sommeil profond. Les ondes bêta correspondent à notre état de veille normal. L’état thêta est aussi appelé « état crépusculaire », car il se situe entre la veille et le sommeil. Ces ondes sont encore plus lentes que les ondes thêta, leur fréquence se situant sous la barre des 4Hz. Le procédé Hemisync Sans Hemisync Avec Hemisync Source : Like this:
Les chercheurs ont fait un pas de géant pour comprendre la façon dont notre cerveau génère des émotions Des chercheurs ont découvert que malgré leur diversité et leurs différentes méthodes de fonctionnement, les émotions étaient enregistrées dans le cerveau de manière très conventionnelle. C’est une grande avancée dans la compréhension de notre système cognitif que DGS vous explique en détail. Une étude menée par Adam Anderson et son équipe de l’Université de Cornell a mis en évidence le fait que les émotions étaient en fait générées par une seule partie du cerveau, contrairement à ce que les précédentes recherches avaient prouvé. « Nous avons découvert que des modèles spécifiques d’activité cérébrale dans le cortex orbitofrontal, une zone du cerveau associée aux émotions, agissaient comme un code qui capture les sentiments subjectifs d’un individu », explique Adam. Le cerveau est en fait capable de créer un large spectre d’émotions subjectives. Nous avons trouvé cette étude très intéressante. Nous en savons désormais un peu plus sur la manière dont notre cerveau génère nos émotions.
Neurones miroirs (I) Une découverte monumentale mais ignorée En 1996, Giacomo Rizzolatti, neurologue de l’Université de Parme, fit la surprenante découverte des neurones miroirs. Une découverte qui, bien que très peu connue du grand public, pourrait être à l’origine d’une révolution scientifique majeure dont on ne pressent que quelques contours. 1. Découvertes des neurones miroirs. Evoquer les neurones miroirs en un seul billet risque de laisser de côté nombre d’implications scientifiques mais aussi philosophiques. Rappel des faits. « Les neurones miroirs constituent une classe particulière de neurones initialement identifiés dans le cortex précentral du macaque. Depuis 1996, la présence des neurones miroirs a été confirmée par nombres d’études ouvrant la voie vers une compréhension des mécanismes perceptifs ainsi que des processus cognitifs essentiels comme l’interprétation des actions perçues. Chez l’homme, on a observé la présence des neurones miroirs dans le cerveau encore immature du jeune enfant. 2.
Atteinte de synesthésie, elle peut voir la musique. Elle a décidé de peindre ce qu'elle entend. Melissa McCracken est synesthète. Atteinte de synesthésie, un phénomène neurologique rare, elle peut notamment voir les sons, qui pour elle, ont une certaine forme, une certaine couleur et sont aussi en mouvement. Pour un synesthète, deux ou plusieurs sens sont associés. Par exemple, les lettres de l’alphabet peuvent paraître colorées avec une couleur bien spécifique pour chaque lettre. La synesthésie est connue et étudiée depuis le 18e siècle, mais c’est surtout à la fin du 20e que le phénomène a commencé à être pris au sérieux par les scientifiques. “En tant que synesthète, la musique que j’entends est traduite en un flux de textures et couleurs. Voici une série de toiles réalisées par Melissa McCracken. Chaque toile représente la musique telle que celle-ci peut être “vue” par Melissa. Radiohead – Lucky David Bowie – Life On Mars? John Lennon – Imagine Prince – Joy In Repetition Jimi Hendrix – Little Wing Soulive – Interlude II John Mayer – Gravity Led Zeppelin – Since I’ve Been Loving You
28 avril 2016 - Les chercheurs ont fait un pas de géant pour comprendre la façon dont notre cerveau génère des émotions Des chercheurs ont découvert que malgré leur diversité et leurs différentes méthodes de fonctionnement, les émotions étaient enregistrées dans le cerveau de manière très conventionnelle. C’est une grande avancée dans la compréhension de notre système cognitif que DGS vous explique en détail. Une étude menée par Adam Anderson et son équipe de l’Université de Cornell a mis en évidence le fait que les émotions étaient en fait générées par une seule partie du cerveau, contrairement à ce que les précédentes recherches avaient prouvé. L’équipe a demandé à 16 participants de regarder 128 scènes visuelles pendant 3 secondes chacune, puis de leur donner une note de 1 à 7, par rapport au sentiment négatif ou positif qu’ils ont ressenti. Nous avons trouvé cette étude très intéressante.
19 janvier 2017 - La création par la pensée Durant des décennies, on a associé les pouvoirs de l'esprit à l’ésotérisme. Cependant, la mécanique quantique, modèle théorique et pratique aujourd'hui dominant dans le monde de la science, a démontré la corrélation existant entre la pensée et la réalité. D’étonnantes expériences ont été menées dans les laboratoires les plus avancés et viennent corroborer ce fait. L'étude sur le cerveau a avancé considérablement au cours des dernières décennies grâce à la tomographie. Les expériences en neurologie ont démontré une chose qui semble tirée par les cheveux : quand nous regardons un objet, certaines parties du cerveau se mettent en activité…. Si le cerveau reflète la même activité lorsqu’il voit que lorsqu’il sent, alors on peut se poser la question suivante : qu’est-ce que la réalité ? « La solution est que le cerveau ne fait pas de différence entre ce qu’il voit et ce qu’il imagine parce que les mêmes réseaux neuronaux sont impliqués. La pharmacie du cerveau L’esprit créateur
Quand le cerveau précède la pensée La plupart des fois où nous pensons prendre une décision, nous ne faisons en fait que valider un choix déjà effectué une dizaine de secondes plus tôt par notre propre cerveau. C’est la troublante conclusion à laquelle sont parvenus des chercheurs allemands au cours d’une étude d’imagerie cérébrale. Leurs travaux paraîtront en mai dans la revue «Nature Neuroscience». Libre choix John-Dylan Haynes et ses collègues du Bernstein Center for Computational Neuroscience de Berlin (Allemagne) ont utilisé la technique de l’IRM fonctionnelle pour tenter de déterminer ce qui se passe dans le cerveau d’un individu juste avant qu’il prenne une décision. Placés dans un caisson IRMf qui enregistrait les variations d’activité de leur cerveau, les sujets étaient invités à appuyer quand ils le voulaient sur un bouton placé devant eux; ils devaient également indiquer à l’expérimentateur à quel moment ils avaient pris consciemment la décision d’appuyer sur le bouton. Décision anticipée
Les neurosciences le disent : nous ne sommes pas libres de vouloir, mais seulement d’accepter ou refuser d’agir En 1983, le psychologue Benjamin Libet, qui fut chercheur au département de physiologie à l’université de Californie, a fait une découverte expérimentale surprenante, celle du « délai de la perception consciente » : « Le cerveau nécessite une assez longue période d’activation appropriée – allant jusqu’à environ une demi-seconde – pour parvenir à susciter la conscience d’un événement ! » Ainsi, quand nous prenons une décision, notre cerveau génère un signal dont nous n’avons pas conscience, mais qui conduit à l’opération mentale consciente de prise de décision quelque 500 millisecondes plus tard. Au moment où nous avons conscience de prendre la décision, il y a déjà 0,5 s qu’une activité cérébrale détectable par des appareils appropriés (IRM, imagerie par résonance magnétique, par exemple) a été impulsée ! « Nos pensées conscientes émergeraient inconsciemment » Le « véto conscient »
«Le libre arbitre n’existe pas» Patrick Haggard - Le Temps Patrick Haggard ne croit pas aux fantômes. En tout cas, pas au «fantôme dans la machine», cette âme ou conscience, indépendante du cerveau, qui guiderait les humains. Avec son groupe de recherche de l’Institut de neurosciences cognitives de l’University College de Londres, il étudie la cause de nos actions: ce qui les initie, comment nous les contrôlons. Pour lui, plus on connaît les processus cérébraux de décision, moins l’existence du libre arbitre paraît vraisemblable, du moins dans le sens cartésien du terme. C’est cette vision que le chercheur présentera le 13 septembre à l’EPF de Lausanne, lors de TEDxHelvetia, avatar suisse des prestigieuses conférences TED organisées partout dans le monde (LT des 22 et 29.08.2012). Le Temps: Qu’est-ce qui vous fait douter de l’existence du libre arbitre? Patrick Haggard: J’étudie ce qui se passe dans le cerveau et cause nos actions «volontaires». – Quels mécanismes contredisent le modèle cartésien? – Quelles expériences réalisez-vous? – C’est ça.