untitled Le créateur de la linguistique moderne : Ferdinand de Saussure, était un véritable génie ; il était est né en Suisse. Il a totalement créé un corpus de concepts permettant d’analyser le langage de façon radicalement nouvelle, par l’observation extérieure, comme en ethnologie, et sans jugement normatif sur la qualité des textes produits. Ses cours, auxquels assistaient peu de gens, seulement la fine fleur des futurs linguistes s’intitule : Cours de linguistique générale (CLG). Il a été publié pour la première fois en 1915, a partir des notes de ses élèves. Il a été publié par les Editions Payot en 1973.
TAZ - Hakim Bey Le Net et le Web L'autre facteur contribuant à l'émergence de la TAZ est si vaste et si ambigu, qu'il nécessite un chapitre à lui seul. Nous avons parlé du Net, qui peut être défini comme la totalité des transferts d'information et de communication. Pour un savoir engagé, par Pierre Bourdieu (Le Monde diplomatique, février 2002) Intellectuel et militant Depuis les grèves de novembre et décembre 1995 en France, les interventions de Pierre Bourdieu ont été l’objet de critiques, souvent violentes, notamment de la part des journalistes et des intellectuels médiatiques dont il avait analysé le rôle social. Ce qui semble les avoir choqués avant tout, c’est qu’un « savant » intervienne aussi activement dans le domaine « politique ». L’implication du sociologue dans l’espace public remonte néanmoins au début des années 1960, à propos de la guerre d’Algérie.
L’anarchisme sans mythes L’anarchie avait poussé sur la litière d’un échec, celui de la Révolution française, aussi le catéchisme de Bakounine servit pendant des lustres à la définition du militant révolutionnaire « dur pour lui-même, le révolutionnaire doit l’être aussi pour les autres. Il doit étouffer tout sentiment de sympathie, d’amitié, d’amour, de reconnaissance, toute amitié envers ses parents au profit d’une passion unique, froide : celle du travail révolutionnaire. Pour lui, ne doit exister qu’une joie, qu’une consolation, qu’une récompense, qu’une satisfaction : le succès de la Révolution. Nuit et jour, il ne doit avoir qu’une idée, qu’un but : l’impitoyable destruction. En poursuivant froidement et constamment ce but, il faut qu’il soit prêt à mourir lui-même et prêt aussi à tuer de ses propres mains tous ceux qui l’empêcheraient d’atteindre ce but ».
Textes & Livres Les précurseurs du langage et de la communication. Structure des états ou structure des processus ? A partir d'une recherche en cours à l'hôpital Necker-Enfants Malades (programme PILE) Par Bernard Golse Allocation universelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le revenu de base est un revenu versé par une communauté politique à tous ses membres, sur une base individuelle, sans conditions de ressources ni obligation de travail, selon la définition du Basic Income Earth Network (BIEN)[1]. Il reconnaît la participation de l'individu pour la société, indépendamment de la mesure de l'emploi. Cette proposition est aussi appelée : « revenu universel »[2], « revenu inconditionnel »[2], « revenu inconditionnel suffisant »[3], « revenu d'existence »[4], « revenu minimum d'existence »[5] « revenu social »[6], « revenu social garanti »[4], « allocation universelle »[4], « revenu de vie »[7], « revenu de citoyenneté »[8], « revenu citoyen »[9],[10], « dotation inconditionnelle d'autonomie »[11] ou « dividende universel »[4].
L’art de tuer Jaurès, par Benoît Bréville et Jérôme Pellissier (Le Monde diplomatique, juillet 2014) Jean Jaurès n’a pas attendu le centième anniversaire de son assassinat pour être victime de récupérations. Pendant la campagne présidentielle de 2007, M. Nicolas Sarkozy en avait fait une référence récurrente, allant jusqu’à prononcer son nom trente-deux fois dans un même discours : « Il récusait la lutte des classes », affirmait-il alors. Deux ans plus tard, c’est l’extrême droite qui, sur une affiche électorale, attribuait au penseur socialiste une citation frauduleuse — « A celui qui n’a plus rien, la patrie est son seul bien » —, pour en conclure que « Jaurès aurait voté Front national ». L’audace de certains dirigeants politiques étant sans limites, le Parti socialiste (PS) profite actuellement des commémorations de 1914 pour comparer l’adversaire de la guerre à... M.
Libertés et libéralismes - Anarchisme et libéralisme. Une démarcation - ENS Éditions 1Cette contribution ne procède pas à une comparaison exhaustive entre libéralisme et anarchisme en tant que doctrines politiques constituées. Partant d’un contexte idéologique qui propose de fréquents rapprochements entre ces deux courants (notamment au travers de l’appellation « libéral-libertaire »), nous proposons d’abord une cartographie lexicale et problématique, puis une confrontation doctrinale qui tient compte de la dimension idéologique de l’habillage libéral du néolibéralisme contemporain, avant d’interroger, pour finir, les rapports de filiation historique qu’il est possible d’établir entre anarchisme et libéralisme. 1 Dans la vie politique franco-allemande, c’est souvent la figure de Daniel Cohn-Bendit qui est cens (...) 2 On notera que le terme « libertaire » a été créé par différence avec l’adjectif « libéral ». On do (...) 5 Nozick, 2008.
Conférence avec Evelio Cabrejo-Parra - Le blog de plaisirdelire.over-blog.fr Pourquoi lire aux bébés ? Comment la lecture à haute voix peut-elle nourrir les compétences naturelles de l'enfant à construire du sens et participer à son organisation psychique, cognitive et culturelle ? Evelio Cabrejo-Parra, lors d'une conférence passionnante, s'est attaché à répondre à ces questions en expliquant de façon très claire les liens intimes entre acquisition du langage chez l'enfant et construction progressive du sens. En retraçant comment le bébé, dès le ventre maternel, s'approprie peu à peu la musique de la langue, il a montré combien il est important de proposer à l'enfant des "musiques" différentes.
Communisme libertaire De Anarchopedia. La tendance anarchiste communiste ou "communiste libertaire" associe deux termes dont l'un, anarchisme, définit le mouvement libertaire qui veut la liberté politique pour les individus, mandatement impératif, fédéralisme, rejet de l'État, lutte contre toutes les formes d'oppression et l'autre, communisme, qui de l'adage « à chacun selon ses besoins, de chacun selon ses capacités » veut la liberté économique en partant des besoins des individu-e-s. Les besoins sont recensés par communes, par quartiers, par entreprises. À partir de ce recensement, la production doit ensuite être organisée et cela sans limitation autre que les capacités et les besoins des intéressé-e-s. L'idéal de l'anarcho-communisme est une société composée de fédérations libres de collectifs libres et égalitaires. En d'autres mots, un réseau à grande échelle de petits collectifs locaux où l'adhésion est libre et sans restrictions.