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Related: Moyen-ÂgeMoyen Âge - L'art au Moyen âge L'art byzantin au VIe siècle A l’abri des invasions barbares, l’empire byzantin observait de nombreuses traditions de l’empire romain on y parlait le grec et on y admirait les créations de l’Antiquité. Le règne de l’empereur Justinien (527-565) et de son épouse, l’impératrice Theodora, fut une période particulièrement éclatante : conquête de nouveaux territoires, rédaction de lois, commande d’oeuvres d’art importantes. L'époque des invasions, les Mérovingiens en Gaule Les barbares venus de l’est s’étaient peu à peu établis dans l’empire d’Occident. A la fin du V’ siècle, ils avaient créé des royaumes en Italie, en Espagne, en Gaule : Burgondes dans l’est, Wisigoths dans le sud-ouest, Francs dans le nord.
Le chevalier Le chevalier L'époque des chevaliers a débuté vers l'an 900 et s'est terminée à la fin de la période que les historiens appellent le Moyen-Âge, vers l'an 1500. On appelle chevaliers les combattants qui ont les moyens d'avoir un armement. C'est un groupe fermé: seul un fils de chevalier peut devenir chevalier. Cavaliers à cheval, revêtus d'une lourde armure (cotte de maille, heaume.) et armés d'une épée, ils forment la cavalerie lourde nécessitant un équipement coûteux. On le devient par la cérémonie de l'adoubement : on remet les armes et on fait un signe de croix avec l'épée sur le jeune homme.
La Dame à la licorne Le toucher, le goût, l'odorat, l'ouïe et la vue... Ces six tapisseries, tissées autour de 1500, représentent les cinq sens sur un fond rouge habité d'une nature foisonnante. Reste le sixième sens, commenté par l'inscription « À mon seul désir », qui a inspiré de nombreuses hypothèses. Sans exclure une signification dans le registre de l'amour courtois, il pourrait désigner le libre-arbitre : la femme à la coiffe apprêtée et aux vêtements recherchés renonce aux plaisirs temporels. Ces tapisseries « millefleurs » se caractérisent par une flore abondante: fleurs, orangers, pins, houx ou chênes et sont peuplées d'un bestiaire paisible (singe, chiens, lapins, héron). Dans cette nature paradisiaque qui invite à la contemplation, la licorne est tantôt actrice et tantôt simple spectatrice.
Art et nature au Moyen Âge La nature est omniprésente dans l'art du Moyen Âge, comme elle l'est dans la vie des hommes et des femmes de cette époque, où une forte majorité de la population vit à la campagne et où les villes abritent des jardins et même des portions de vignes et de champs. Pièces luxueuses ou plus modestes, objets religieux ou profanes, éléments du décor ou objets de la vie quotidienne, témoignent tous de l'intérêt jamais démenti de l'art médiéval pour la nature. Les animaux peuplent les œuvres d'art, la végétation est partout présente, parfois foisonnante. Qu'est ce que la nature au Moyen Âge ? La citadelle de sisteron - Site et Monument English Pavillon A.T.M. 1, allée de Verdun - 04200 Sisteron Tél. 04 92 61 06 00 Fax 04 92 61 29 54 Citadelle Tél. 04 92 61 27 57 Mentions légales
Louis XI et les arts S’il est un domaine auquel Louis XI n’est pas associé en général, c’est bien celui des arts. Le roi de France (1461-1483) est le plus souvent vu comme un politique très habile, voire retors et pour certains tyrannique. Son image est loin de celle d’un prince mécène à l’italienne, ou même du bibliophile Charles V (roi de 1364-1380). Pourtant, contrairement à ce qu’a pu affirmer Jean Favier dans sa biographie du souverain, il semblerait bien que Louis XI se soit intéressé aux arts, mais dans la logique de sa façon de gouverner : pas par goût, par intérêt politique. Louis XI et l’art instrument politique
Le temps des chevaliers en Europe Le terme même de chevalerie évoque à nos esprits tout un univers onirique et fantastique qui nous parle de dépassement de soi, d'honneur, de fidélité, de gratuité et de courtoisie dont la littérature, puis le cinéma se sont largement fait l'écho. Monté sur un puissant destrier, coiffé du heaume et caparaçonné d'acier, le chevalier, maniant l'épée « d'estoc et de taille » arbore fièrement ses couleurs. Belle, loyale, vaillante et courageuse, la chevalerie témoigne encore aujourd'hui de ce que fut réellement le Moyen Âge. Une origine germanique Le culte des armes s'affirme au sein des sociétés germaniques qui fournirent nombre de recrues à l'Empire romain finissant. Pour les Germains, être libre c'est être en armes et le passage de la jeunesse à l'âge d'homme est marqué par un rituel décrit dans un célèbre texte de l'écrivain latin Tacite : « la coutume veut que nul ne prenne les armes avant que la cité ne l'en ait reconnu capable.
Histoire des croisades (6/14) : Cohabitation, échanges et vision de l'Autre On a souvent tendance à réduire les croisades à un affrontement armé entre deux blocs que l’on définit selon leur religion, une étape dans le long « choc des civilisations » entre Occident et Islam,…Pourtant, comment ne pas imaginer qu’une présence de près de deux siècles des Latins en Orient pourrait avoir aussi créé d’autres types de relations que la guerre, par exemple des échanges économiques mais peut-être aussi culturels ? Comment se passait la cohabitation entre les Latins et les musulmans, et comment chacun voyait l’Autre ? Un certain isolement des « Francs » La tour Jean sans Peur (Paris médiéval) : Histoire et patrimoine En plein cœur de Paris, rue Etienne Marcel, se dresse l’un des derniers vestiges encore visible du Paris médiéval, la tour Jean sans Peur. Marque ostentatoire de la présence bourguignonne dans le Paris troublé des débuts du XVe siècle, elle est un passage obligé pour tout passionné d’histoire médiévale, en particulier de la Guerre de Cent Ans. Le royaume de France et l’appétit des ducs Le contexte est pour le moins agité, et il faut donc y revenir. A la mort de Charles V en 1380 lui succède son fils Charles VI. Son père était surnommé « le Sage », mais Charles VI va montrer des signes de faiblesse provoqués par des accès de folie.
Le château de Bouillon (Belgique) - Histoire et patrimoine Au cœur de la vallée de la Semois se dresse très certainement la plus grande et impressionnante forteresse de Belgique, dominant de ses larges remparts la petite localité de Bouillon. Cette dernière doit sa célébrité à son ancien duc, Godefroy de Bouillon, qui se distingua lors de la première croisade aussi bien en jouant un rôle héroïque dans la prise de Jérusalem qu’en refusant le titre de roi qu’on lui proposa pour celui plus humble d’avoué du Saint-Sépulcre. Quant à son château qu’il vendît pour financer son départ en Terre sainte en 1096, il fut à de nombreuses reprises remanié notamment par Vauban pour se présenter aujourd’hui comme un remarquable vestige de l’architecture militaire.
Blois : ville d’art et d’histoire : Histoire et patrimoine Blois. Lorsque nous l’évoquons, nous pensons avant tout à son château royal, magnifique exemple de l’évolution de l’architecture française du Moyen Âge au XIXe siècle. Néanmoins, Blois est également une vieille ville qui a vu s’écouler plus de 1000 ans de l’histoire de France et dont le riche patrimoine bâti reflète également cette évolution de l’architecture française. Blois présente ainsi un panorama de styles architecturaux aujourd’hui mis en valeur par son label « ville d’art et d’histoire » et les animations qui en découlent. Riquewihr (Alsace) : Histoire et patrimoine Riquewihr, ancienne cité médiévale, est une petite ville située entre les Vosges et l’Alsace, au cœur du vignoble, classé parmi les « plus beaux villages de France ». Fleurie en été avec le traditionnel géranium, elle se pare de ses décorations pendant la période de Noël pour accueillir les deux millions de visiteurs annuels. La ville qui s’étend sur un rectangle de deux cent sur trois cent mètres, compte une dizaine de sites et monuments classés parmi les Monuments Historiques, ainsi qu’une quarantaine de maisons et bâtiments inscrits sur l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques. En 1898 la Société d'Archéologie de Riquewihr est fondée afin de préserver son patrimoine, c'est-à-dire d’empêcher la destruction des maisons anciennes et de les restaurer. L’histoire de Riquewihr
Le Paris médiéval : Histoire et patrimoine Les beaux jours arrivant et alors que s’achève l’exposition « Paris rayonnant » au musée de Cluny, il est temps d’en profiter pour nous promener dans la capitale, avec pour commencer une découverte du Paris médiéval, dont on connaît les plus grands monuments mais qui sait aussi se faire plus discret ; il faut donc savoir où chercher… Commençons d’abord par le centre, le cœur même de Paris avec l’île de la Cité : la cathédrale Notre-Dame, entreprise par l’évêque Maurice de Sully vers 1160, mais terminée presqu’un siècle plus tard : incontournable malgré la foule ; il faut aussi s’amuser à observer le parvis, où l’on peut deviner le tracé des rues médiévales ! Sur la même île fut érigée par Saint Louis la Sainte-Chapelle entre 1243 et 1248, pour abriter la Couronne d’épines et d’autres reliques. Son entretien intérieur laisse un peu à désirer, mais elle vaut tout de même le détour.