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Related: Devoir de mémoire • La Francophonie/France • Aller plus loin • POLITICAL CONFLICTSUne exposition virtuelle sur la Première Guerre mondiale - OCIM À l’occasion du Centenaire de la Grande Guerre, le Département des Hauts-de-Seine invite le grand public à remonter le temps et (re)découvrir ce pan de l’histoire sur le site www.14-18.albert-kahn.hauts-de-seine.fr. L’exposition virtuelle 1914-1918 : la Première Guerre mondiale dans les Archives de la Planète présente l’importante collection de photographies et de films originaux du musée départemental Albert-Kahn qui est encore en grande partie inédite (vues en couleurs, sujets cinématographiques inhabituels…). L’achèvement en 2015, de la numérisation de la totalité des images du musée relatives à la Première Guerre mondiale, a permis d’appréhender pour la première fois dans sa globalité un corpus représentant 20 % du fonds d’images des Archives de la Planète, soit 10 000 autochromes, 500 photographies en noir et blanc et 800 séquences de films, couvrant une période allant de 1914 à 1926. Renseignements
14-18 : les 10 films qu'il faut avoir vu De Chaplin à Tavernier, la Grande Guerre a laissé des traces dans le septième art. Sélection des 10 films incontournables. La magnifique intuition de Chaplin qui ne connut pas la guerre mais y jette Charlot dès 1918 (Shoulder Arms), la terreur pure du livre, puis du film de Dalton Trumbo, Johnny got his gun (1971) qui déchiquète le corps humain, la stupéfiante reconstitution des Croix de bois par Raymond Bernard (1931) ou encore La Vie et rien d’autre (1989) et Capitaine Conan (1996), les deux films de Bertrand Tavernier... autant de chefs-d’œuvre – on évitera l’expression « films culte » – à avoir vu sur la guerre de 14. 1. Scène finale des Sentiers de la gloire, de Stanley Kubrick (1957) 2.
1914 - 1918 : quand la guerre est un jeu Une série photo exceptionnelle racontée par son auteur. Les Rencontres internationales de la photographie à Arles s’associent à la Société française de photographie (SFP, Paris) pour présenter cette « Guerre des gosses ».. Ces photographies et le commentaire sont signés Léon Gimpel, photographe normalement spécialisé dans les objets scientifiques ou l'aéronautique. Il a croisé en août 1915 dans Paris des petits soldats plein d’enthousiasme et les a mis en scène pour en faire une série d'images. On y voit les enfants mimant la guerre, y compris une exécution, dans des décors délabrés pour marquer le tragique de la situation. Leurs armes et leurs habits sont fabriqués à la hâte ou récupérés, rafistolés.
Première Guerre mondiale La première base présente plus de 1,4 million de fiches individuelles numérisées de militaires décédés au cours de la Grande Guerre et ayant obtenu pour la plupart la mention "Mort pour la France". La deuxième recense les fusillés en vertu d’une décision de la justice militaire et les exécutés sommaires au cours du conflit. La troisième comprend quelque 74 000 fiches individuelles numérisées de soldats ayant appartenu à l’aéronautique militaire.
C'est quoi, un poilu ? - 1 jour, 1 question Les poilus, c'est le surnom donné aux soldats qui ont combattu pendant la Première Guerre mondiale. On les appelait ainsi car ils étaient sales et mal rasés : ils faisaient la guerre dans des conditions extrêmement difficiles. Car la Première Guerre mondiale s'est déroulée principalement dans les tranchées, de longs fossés creusés sur les champs de bataille. Les poilus combattaient dans la boue et le froid, sans hygiène, ni confort. Leur seul confort : les provisions qu'arrivaient parfois à leur faire parvenir leur famille et le courrier qu'ils échangeaient avec elle. De nombreuses lettres ont ainsi été retenues dans un livre Paroles de poilus, ce sont de précieux témoignages sur cette guerre terrible qui a fait au moins 18 millions de morts.
Les perquisitions de locaux du Parti communiste clandestin de 1941 à 1944 : un essai de géolocalisation – PAPRIK@2F Depuis avril dernier, l’instrument de recherche du fonds de la section spéciale auprès de la cour d’appel de Paris (Z/4) est disponible sur la Salle des inventaires virtuelles des Archives nationales. Nous avons fait le choix dans l’élaboration de cet instrument de recherche de retranscrire les informations présentes sur les cartons de scellés dans la mesure du possible dans leur intégralité. Des adresses des locaux et domiciles perquisitionnés ont ainsi pu être collectées. À partir de ce recensement des scellés nous vous proposons ici un travail de géolocalisation des locaux utilisés par les militants communistes perquisitionnés par les autorités françaises durant la période 1939-1944.
24 avril 1915 - Le génocide arménien Le samedi 24 avril 1915, à Constantinople (*), capitale de l'empire ottoman, 600 notables arméniens sont assassinés sur ordre du gouvernement. C'est le début d'un génocide, le premier du XXe siècle. Il va faire environ 1,2 à 1,5 million de victimes dans la population arménienne de l'empire turc (ainsi que plus de 250.000 dans la minorité assyro-chaldéenne des provinces orientales et 350.000 chez les Pontiques, orthodoxes hellénophones de la province du Pont). Un empire composite Aux premiers siècles de son existence, l'empire ottoman comptait encore une majorité de chrétiens (Slaves, Grecs, Arméniens, Caucasiens, Assyriens....). En Anatolie, au coeur de la Turquie actuelle, les chrétiens représentaient 30% à 40% de la population.
Chronologie illustrée de la Révolution d’octobre 1917 3 mars : grève aux usines Poutilov à Petrograd 8 mars : manifestation dans le cadre de la journée internationale des femmes contre la vie chère et les difficultés du ravitaillement L’Humanité 13 mars 1917 « Des manifestations ont eu lieu à Petrograd […] La population est mécontente […] les ouvriers ont abandonné le travail pour protester contre la disette des vivres » 10 mars : grève générale à Petrograd durement réprimée par l’armée 11 mars : on compte des dizaines de morts dans les manifestations. Premières mutineries de militaires chargés de la répression. 12 mars : formation du soviet de Petrograd L’Humanité 29 juin 1917 : « Le Soviet de Petrograd » 15 mars : formation du gouvernement provisoire présidé par le prince Lvov.
Le site Monuments1418 - Prim à bord Le réseau Canopé de l’académie de Nancy-Metz propose en collaboration de la Communauté urbaine du Grand Nancy et la Direction des services de l’Éducation nationale de Meurthe-et-Moselle, le site Monuments1418 afin de valoriser les monuments aux morts, véritables lieux de mémoire auprès des élèves et de la communauté éducative. Il participe à la formation citoyenne des élèves, en les sensibilisant à l’action collective de mémoire et aux valeurs fondamentales de la République. Il constitue un support précieux pour un enseignement de l’histoire, des arts et de la littérature. Le site Monuments1418 propose : un jeu sérieux en support à l’apprentissage de la symbolique des monuments aux morts et qui permet de construire son propre monument avec une définition de chaque symbole.
Cours : La première guerre mondiale En 1914, l'Europe entre en guerre. La Triple Alliance (Autriche, Allemagne, Italie) s'oppose à la Triple Entente (France, Royaume-Uni, Russie). Après un affrontement des armées, le conflit se stabilise le long des fronts. La guerre des tranchées dure de 1915 à 1917. La victoire des alliés en 1918 conduit à une nouvelle carte de l'Europe.
L'émancipation des femmes en France depuis 1945 - Histoire-géographie - Éduscol Cette plateforme propose un ensemble de documents sonores et filmés (archives INA..) analysés et mis en perspective par des entretiens d'universitaires et de grands témoins. Les enseignants pourront les utiliser aussi bien dans leurs cours d'histoire que dans des séances d'EMC consacrées par exemple au thème de l'égalité. Ces archives et ressources documentaires sont organisées autour de cinq thèmes : Actualité à exploiter avec : Actualité en lien avec :
La blessure de Guillaume Apollinaire le 17 mars 1916 À la date du 17 mars 1916, le poète Guillaume Apollinaire a noté dans son carnet : « Bombardement. Je lisais à découvert au centre de ma section, je lisais le Mercure de France, à 4 heures un 150 éclate à 20 mètres, un éclat perce le casque et troue le crâne. » Celui qui au 96e régiment d’infanterie était le sous-lieutenant Kostrowitzsky venait d’arriver au Bois des Buttes, au pied du Chemin des Dames, trois jours plus tôt. Un poète dans la Grande Guerre Octobre 1917, la révolution de Lénine Au fil de plusieurs comités centraux de son organisation, Lénine a convaincu les bolcheviks du bien-fondé de sa stratégie de prise du pouvoir... Au fil de plusieurs comités centraux de son organisation, Lénine a convaincu les bolcheviks du bien-fondé de sa stratégie de prise du pouvoir : pas besoin des soviets et des ouvriers qui se reconnaissent en eux, il faut s’appuyer sur ses forces propres. L’insurrection est un art tout d’exécution.