Edito - Le guide du manifestant - Manifestations Philippe Meirieu : Pourquoi ce site ? Septembre 2005 Il peut paraître prétentieux de proposer un site, qui plus est « officiel », consacré au travail d'une personne et des multiples collaborateurs avec lesquels elle a eu la chance de travailler. J'ai, pourtant, longtemps résisté aux multiples demandes qui me poussaient à prendre une telle initiative. N'ayant, au départ, ni les compétences techniques pour élaborer un tel site, ni les moyens de le faire réaliser par un prestataire extérieur, je ne voyais pas comment concrétiser ce projet. Par ailleurs, il existe déjà de nombreux sites de grande qualité consacrés à l'actualité éducative et à la pédagogie et qui, pour beaucoup, me font souvent l'amitié de mettre en ligne certains de mes textes et certaines de mes propositions. Je me suis pourtant décidé, à la rentrée 2005, à élaborer ce site et à le faire progressivement monter en puissance en l'alimentant régulièrement. C'est pour tout cela que j'ai décidé d'engager la construction de ce site. Philippe Meirieu
Lucie, 179 euros de loyer contre un projet de quartier Avec le dispositif Kaps, Lucie, étudiante nantaise de 22 ans, bénéficie d’une coloc à loyer modéré. En échange, elle mène des actions sociales dans un quartier populaire. Clémentine et Lucie (au premier plan), chez elles, à Nantes (Loire-Atlantique) (Benjamin Belliot-Niget/Rue89) Meubles (très) dépareillés : OK. Le coin cuisine (Benjamin Belliot-Niget/Rue89) Lucie et ses deux colocs, Clémentine et Niklaus, sont arrivés là grâce à un dispositif appelé Kaps. « Je vois une annonce qui dit, en gros, si tu veux une coloc pas chère, contacte l’Afev [l’Association de la fondation étudiante pour la ville, ndlr]. L’étudiante en langues étrangères appliquées de 22 ans vole de ses propres ailes. « Une fois les APL [aides personnalisées au logement, ndlr] déduites, je peux mettre entre 100 et 150 euros dans le loyer, 200 vraiment max. Changer la place du Pays basque Dans ce 80 m² en rez-de-chaussée, elle est largement dans les clous. 400 étudiants sur 15 villes Du jardinage avec les gosses du quartier
Radio Campus Paris | de 17h30 à 5h30 sur le 93.9 FM et 24h/24 sur le net Ecole de Cinéma - Portes Ouvertes à l'EICAR le samedi 12 décembre, de 10 à 17 heures Rendez-vous le samedi 7 décembre 2013, de 10h à 17h ! Rencontrez les enseignants et les responsables pédagogiques, parlez-leur de vos projets, posez-leur vos questions. Nous vous accueillerons pour vous faire visiter l'École -les studios, les plateaux, les auditoriums, les amphis et les salles de cours, les ateliers et les matériels- située au cœur du Parc des Portes de Paris, qui regroupe 80% des plateaux télé. Les responsables de Département, les professeurs et étudiants vous présenteront les formations en audiovisuel et les métiers auxquels elles préparent et pourront répondre à vos questions, examiner votre projet et vous présenter les modalités d'admission. ► Comment nous rejoindre ?
Accompagnement scolaire- lire-ecrire.org Air Libre Échange | Système d’échange local de services, de savoirs REFEDD - Réseau français des étudiants pour le développement durable Restaurants gratuits à Paris :: Actualités Paris Evous À Paris, il y a quelques restaurants où l’on peut manger un couscous ou des moules frites gratuitement pour le prix d’une consommation ou d’un ticket-concert. Des ambiances festives garanties ! Venir tôt La Cordonnerie- 142 rue Saint-Denis, Paris 2ème- Métro Étienne Marcel ou Réaumur-Sébastopol- Couscous gratuit les jeudis et les samedis à 20h30.- De bons groupes de musique mettent une très bonne ambiance Le Grenier- 152 rue Oberkampf, Paris 11ème- Métro Ménilmontant- Couscous gratuit le samedi à partir de 19h La Providence- 88ter, avenue Parmentier, Paris 11ème- Métro Parmentier- Couscous gratuit à partir de deux consommations le vendredi et le samedi soir. Le Tribal café- 3 Cour des Petites Ecuries, Paris 10ème- Métro Château d’Eau- Moules frites offertes le mercredi et le jeudi soir- Couscous offert le vendredi et le samedi soir- Une ambiance orientale garantie Le French K-Wa- 6 rue Planchat, Paris 20ème- Métro Avron- Le mercredi à 20h30
Planet Éducalibre (Article issu du blog de Stéphanie de Vanssay) J’ignore si ce qui m’est arrivé, qui n’est pas grave en soi mais hautement inadmissible, est général chez les éditeurs scolaires, mais je crains hélas que ce ne soit fréquent… Depuis toujours je suis partageuse et depuis assez longtemps sur Internet aussi… Quand je me creuse la tête pour trouver des idées d’activités pertinentes avec les élèves, quand je fais une séance qui « marche bien », quand les élèves accrochent particulièrement, je me dis que tant qu’à faire, si ça peut aussi servir à d’autres c’est pas plus mal. Ainsi j’ai l’impression de « rentabiliser » mon travail et le temps passé dessus, et je ne me prive pas d’ailleurs de piocher moi aussi à droite et à gauche dans ce que produisent mes collègues. Inutile de perdre du temps à refaire ce que d’autres ont déjà fait ! Aussi quand il y a quelques semaines mon collègue Guillaume m’a dit sur Twitter : « L’éditeur X t’a contacté pour ton activité sur la pyramide de sucres ?