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Related: Museologia • Innovation sociale et environnementaleQu'est-ce que les beacons et à quoi servent-ils? - Chalifour, solutions numériques Les beacons représentent une nouvelle technologie très prometteuse et Apple l’a bien compris. Ils existent déjà depuis quelques temps, mais depuis la sortie de iBeacon d’Apple on commence à en entendre de plus en plus parler et d’autres compagnies se lancent maintenant elles aussi dans la technologie des beacons. L’utilisation des smartphones dans les commerces augmente à chaque année de façon considérable. Il a également été démontré, dans un article précédent, que plus les consommateurs utilisent leur smartphone en magasinant, plus ils achètent.
Adélaïde Vinay, curieuse des temps modernes Je suis une grande curieuse. Je questionne tout depuis toujours. J’en ai fait mon métier : étudier et creuser comment et (surtout) pourquoi les gens font ce qu’ils font - au delà de ce qu’ils savent ou disent sur eux-même. J’ai co-fondé ap², une agence de conseil en accompagnement du changement des comportements "for good". Nous mêlons les approches (a)nthropologiques et (p)sychologiques (vous l’avez compris! ap²) pour comprendre, anticiper et encourager le comportement humain dans des démarches d’innovation positive.
Marshall McLuhan Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Étudiant les transformations culturelles apportées par l'imprimerie dans le monde occidental, il considère que le médium de communication a plus d'importance que son contenu, comme il l'énonce dans la formule « Le message, c'est le médium »[n 1], et tente de prévoir les bouleversements qu'entraînera la télévision. Biographie[modifier | modifier le code] En 1934, il demande une bourse Rhodes pour aller étudier à Oxford, mais sa candidature est rejetée parce qu'il a défendu en entrevue la validité de l'étude des bandes dessinées[2]. En revanche, il est accepté à Cambridge (Royaume-Uni), où il passera deux ans.
Pistes de lecture pour l’avenir des musées [Museonet2.0] Pour ce premier article de fond, je souhaitais vous faire partager une des lectures qui m’a tenue en haleine tout l’été. Certain d’entre vous l’auront deviné, puisque je n’ai pu résister à en partager quelques phrases sur Twitter et Tumblr, ce livre n’est autre que « The participatory museum » de Nina Simon. Je ne vous ferais pas, même si la tentation est grande, une synthèse de tout l’ouvrage, mais en détacherais les points essentiels et vous inciterais vivement à le lire dans son intégralité ; les exemples et les études de cas que vous y trouverez formant autant de piste pour les musées et institutions culturelles futures. Je ne vais pas non plus vous présenter en détail son auteur, que j’ai souvent eu l’occasion de citer dans ce blog et que vous connaissez déjà très bien.
Musée virtuel, l'éternel retour Il m’est difficile de répondre par oui ou par non à ce type de débat : le projet de Google n’est en rien nocif. Toutefois, parmi les critiques que l’on peut formuler (analyse de la politique Google, organisation du site, etc.), j’aimerais privilégier une dimension du Google Art project, actualisée en ce mois d’avril 2012, qui relève d’un débat sempiternel autour de la notion de musée virtuel. Cette notion du Musée virtuel, concept mou et équivoque, Google la perpétue en en déclinant deux acceptions. Celles-ci nourrissent une perception simpliste de l’impact de la révolution numérique sur le rapport aux collections muséales. D’abord une conception du musée virtuel envisagé comme substitut simulé de l’espace du musée et de sa visite, grâce aux applications logicielles du Google Street view. (Voir mon billet sur l'Edition scientifique des musées en ligne: )
Les Meilleurs Masters en Muséologie 2017 L'étude de deuxième cycle en restauration et de conservation (bois, papier, textile, métal et céramique) dure deux ans, soit quatre semestres (120 crédits ECTS). À la fin de l'étude supérieures, les étudiants acquièrent le grade académique de master en conservation et restauration (bois, papier, textile, métal, céramique). [+] Restauration et de conservation (bois, papier, textile, métal et céramique) L'art écologique a toute sa place dans les galeries Temps de lecture: 7 min «La Fabrique du vivant» à Beaubourg, «Nous les Arbres» à la Fondation Cartier, «Jusqu'ici tout va bien» au 104, «Anthropocène Monument» aux Abattoirs de Toulouse, «Broken Nature» à la dernière Triennale de Milan, «Post Nature» à la dernière Biennale de Taipei, rétrospective Ólafur Elíasson à la Tate Modern ou encore solo show de Tomás Saraceno au Palais de Tokyo... La création contemporaine en lien avec les futurs écologiques a quitté ces dernières années les marges subversives de l'artivisme –néologisme formé à partir des mots «art» et «activisme»– pour prendre d'assaut les cimaises d'institutions de renom. Serait-ce le signe que les temps changent? On peut du moins y voir le symptôme d'une époque guettée par le changement climatique, les catastrophes naturelles, l'essoufflement des ressources et les fantasmagories collapsologues que tout un pan de la création contemporaine interroge, reformule, a fait sienne parmi ses sujets de prédilection.
Joseph Beuys Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. + Jeder Mensch ein Künstler — Auf dem Weg zur Freiheitsgestalt des sozialen Organismus, 1978 + Chaque personne un artiste — sur la voie de la forme libertaire de l'organisme social (performance) Affiche pour le dialogue à la New School pendant la première visite de Joseph Beuys aux États-Unis en 1974 - Courtesy Ronald Feldman Fine Arts, New York À la fois controversé et admiré, Joseph Beuys est considéré comme le pendant allemand des artistes Fluxus, et compte au niveau international comme l’un des artistes allemand majeurs de l’art contemporain.