Les compétences les plus recherchées pour trouver un emploi selon LinkedIN | Le Huffington Post LIFE La Poste : Des experts s’inquiètent des conditions de travail des facteurs Ça va mal à La Poste. Et ce sont des experts indépendants qui l’affirment. Ce vendredi, huit cabinets ont adressé une lettre ouverte au président de la Poste et au gouvernement pour leur demander de réagir au plus vite face à la « dégradation rapide des conditions de travail » à la Poste, révèle RTL. La station s’est procuré cette missive, qu’elle dévoile en intégralité. D’après les experts, « les agents de La Poste subissent des réorganisations permanentes qui réduisent chaque fois les effectifs, et soumettent les agents qui restent à des cadences accélérées ». Des documents « cachés » par les directions Ils vont même jusqu’à écrire qu’une « logique purement taylorienne s’impose : les agents ne sont vus que comme des exécutants sommés d’appliquer la stratégie édictée par des cadres dirigeants – qui sont par ailleurs les seuls à voir leur effectif s’étoffer ». >> A lire aussi : La Poste: Une inquiétante vague de suicides frappe les postiers depuis trois ans Des négociations programmées
le groupe Pasquier Célèbre pour ses brioches et ses viennoiseries industrielles, le groupe Pasquier est l’une des premières entreprises à avoir testé la méthode dite du « management socio-économique » mise au point par l’Institut de socio-économie des entreprises et des organisations (Iséor). Concrètement, il s’agit de faire reculer l’absentéisme en regonflant la motivation de ses salariés. Première règle : chez Pasquier, qui compte 4000 salariés répartis sur 18 usines dans le monde, chaque site, spécialisé sur un métier, un produit ou un client, reste à taille humaine. L’objectif est d’éviter l’anonymat et les problèmes qui pourraient en découler. Autre règle mise en place dans les usines du groupe : « les salariés ont une très forte autonomie sur leur poste de travail, détaille Henri Savall, président-fondateur de l’Iséor. Ils se forment en permanence en fonction de l’évolution de l’activité sur leur site et définissent avec leurs managers des contrats d’objectifs ». «Replacer l’humain au cœur du magasin»
ENQUETE FRANCE 2. Cadences effrénées, forte pression, salaire minimum... Dans les coulisses des "drives" des supermarchés Publié le 30/10/2018 20:28 Mis à jour le 31/10/2018 11:34 Durée de la vidéo : 4 min Comment les services "Drive" des supermarchés peuvent-ils livrer en quelques minutes les courses à leurs clients ? Cinq minutes, ça c’est pour la théorie. Dans ce temps record, les salariés doivent trouver les codes correspondant aux commandes à livrer, les scanner avec un appareil appelé “douchette”, qui chronomètre chacun de leurs gestes et enfin livrer les sacs au client dans sa voiture. Dès qu’un nouveau client arrive, une alarme, pour le moins désagréable aux oreilles, retentit dans tout l’entrepôt. Ce rythme est tellement effrené qu'une salariée affirme parcourir 23 km par jour. Une situation dénoncée par les syndicats.