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Revenu garanti pour tous : quand la réalité devance l'utopie - Réduction des inégalités De Milton Friedman à James Tobin, l’idée d’un revenu minimum garanti suscite l’intérêt de nombreux économistes depuis quarante ans, mais n’a jamais vraiment été appliquée, à part sous la forme de programmes expérimentaux... mais néanmoins riches d’enseignement. Une des expériences les plus récentes et abouties à ce jour de mise en place d’un revenu garanti a été impulsée par la Namibian Basic Income Grant Coalition (Coalition namibienne pour le revenu de base), dans un village de Namibie. Durant deux années (2008-2009), les 930 villageois de moins de 60 ans d’Otjivero-Omitara, recevaient ainsi un revenu de base mensuel (BIG, pour Basic Income Grant) représentant l’équivalent de 9 euros par mois, sans aucune autre condition que celle d’habiter le village et alors qu’un tiers des Namibiens vivent avec moins d’un dollar par jour. L’économie locale dynamisée

Lettre à mon banquier Il y a un peu plus d’un mois, je suis tombé sur la vidéo d’Eric Cantona proposant une alternative aux manifestations traditionnelles dans les rues, celles-ci n’ayant plus le moindre effet sur nos dirigeants autistes. Étant déjà informé de la nature prédatrice des banques grâce au documentaire L’argent dette de Paul Grignon, son raisonnement m’a aussitôt semblé pertinent. Peu de temps après, quel ne fût pas ma surprise de découvrir qu’une initiative franco-belge avait lancé cette initiative, et en appelait à une action de « bank run » à la date du 7 décembre 2010, et que cette initiative s’étendait à de nombreux autres pays grâce à l’internet. Hélas, mon compte étant quasiment à sec, je ne voyait pas comment participer concrètement et significativement à cette action.

L'article L. 112-6 du code monétaire et financier autorise la perception de son salaire en espèces lorsqu'il est inférieur à 1 5 I. ― Ne peut être effectué en espèces ou au moyen de monnaie électronique le paiement d'une dette supérieure à un montant fixé par décret, tenant compte du lieu du domicile fiscal du débiteur et de la finalité professionnelle ou non de l'opération. Au-delà d'un montant mensuel fixé par décret, le paiement des traitements et salaires est soumis à l'interdiction mentionnée à l'alinéa précédent et doit être effectué par chèque barré ou par virement à un compte bancaire ou postal ou à un compte tenu par un établissement de paiement ou un établissement de monnaie électronique qui fournit des services de paiement. Lorsqu'un professionnel achète des métaux à un particulier ou à un autre professionnel, le paiement est effectué par chèque barré ou par virement à un compte ouvert au nom du vendeur. Le non-respect de cette obligation est puni par une contravention de cinquième classe. III. ― Les dispositions qui précèdent ne sont pas applicables :

Crise monétaire : quel débat ? Le débat avance avec la crise, et en France, dans les vieux médias centralisés, seul Frédéric Taddéï dans son émission « ce soir ou jamais » traite réellement le sujet invitant sur son plateau des citoyens qui ont des avis pertinents et non conservateurs sur la question. Dans sa dernière émission du 7 décembre il recevait un des fondateurs du site bankrun2010.com qui avait surfé sur la vidéo de Cantona, et il y a deux semaines il avait reçu Paul Jorion. Mais ça patine… Jorion ne sort pas de son idée « d’interdire les paris sur les prix » ce qui ne veut pas dire grand chose. Tout le monde parie sur les prix dès qu’il investit dans quelque chose de « concret » ou de « virtuel » ce qui du point de vue de la définition de la valeur ne constitue en rien une différentiation pertinente.

Ouvrir le débat sur le Mécanisme Européen de Stabilité : une urgence aux mains des citoyen-ne-s À l’heure où la crise de la dette et ses conséquences ne sont plus réservées aux pays du Sud, l’Union Européenne a décidé de se doter d’un Mécanisme Européen de Stabilité sensé permettre la gestion des crises au sein de la zone euro et remplacer de façon permanente les temporaires Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF) et Mécanisme Européen de Stabilité Financière (MESF) à partir de 2013. Non seulement la signature de ce traité instituant ce mécanisme au niveau européen s’est faite durant l’été 2011 (période de vacances estivales où la vigilance des citoyen-ne-s est déforcée) mais surtout son contenu a pratiquement été passé sous silence dans la presse et par nos dirigeants. Depuis l’automne 2011, une vidéo de quelques minutes présentant le MES sous-titrée dans de nombreuses langues circule sur la toile à l’initiative du groupe de journalistes allemands Abgeordneten-check. Devant une telle atteinte à la souveraineté des peuples, nous devons réagir. |3| Article 12 voir l’article

L’actualité de la crise: L’HISTOIRE ÉDIFIANTE du New York Times Billet invité. « Tous les mois, le mercredi, neuf membres d’une société de l’élite de Wall Street se rencontrent dans Midtown Manhattan [le quartier des affaires de New York]. Ils partagent un même objectif : protéger les intérêts des grandes banques qui agissent sur le vaste marché des produits dérivés, l’un des plus profitables – et controversé – de la finance. Conjoncture : La dette de l'Espagne toujours plus chère Après un avertissement de l'agence de notation Moody's, Madrid a réussi à lever 2,4 milliards d'euros auprès des investisseurs. Mais le vrai test pour le pays interviendra au début 2011. Mal vue par les marchés, l'Espagne a dû payer le prix fort ce jeudi pour réunir 2,4 milliards d'euros. Madrid a placé pour 2,401 milliards d'euros d'obligations à long terme à des taux record, après que Moody's a averti qu'elle envisage de dégrader sa note «Aa1». Le Trésor voulait placer entre 2 et 3 milliards, les investisseurs lui ont proposé 4,55 milliards. L'offre a donc été raisonnablement sursouscrite.

Goldman Sachs — La grande machine à bulles Depuis la parution de cet article, Goldman Sachs a publié ses résultats : ils sont meilleurs que jamais. Et les bonus sont en augmentation. Ces dernières nouvelles sont une parfaite confirmation de l’enquête de Matt Taibbi. À celles et ceux qui le peuvent, je conseille de lire l’article dans sa version originale, le style y est excellent. Une crise déclenchée et entretenue par l’excès de liquidité (2/5) - Un trader de la Bourse de Frankfort, le 17 août 2007. REUTERS/Kai Pfaffenbach - ««« Retourner à l'introduction ««« Retournez à la 1re partie: Nous sommes au coeur d'une crise de l'économie réelle publicité Le mot important est «inutile». En 2011, l’Etat cherche de l’argent. Partout. L’année 2010 s’est refermée sur un bilan économique catastrophique : l’état continue de s’endetter à un rythme affolant, tout simplement jamais atteint dans l’histoire française récente (sur les 1500 dernières années, à la louche). On pouvait craindre qu’il en serait de même pour l’année suivante. Mais grâce aux fines équipes de politiciens en place, on peut heureusement se rassurer : 2011 sera bien pire.

L'informatisation responsable de la crise ? Le nœud de leur raisonnement est le suivant : alors que sur le marché des produits destinés à la consommation et à l'investissement les prix convergent vers leur niveau d'équilibre par le jeu de l'offre et de la demande, sur le marché des biens patrimoniaux (produits financiers, bâtiments, stocks de matières premières), par contre, les prix divergent. Sur ce dernier marché, en effet, le constat d'une hausse de prix nourrit l'anticipation d'une hausse future (« ça monte, donc ça va continuer à monter »). L'espoir d'une plus-value suscite une hausse de la demande qui fait encore monter le prix, jusqu'au moment où l'anticipation se retourne (« ça a trop monté, ça ne va pas pouvoir continuer »). Alors le prix s'effondre, traverse le niveau d'équilibre sans s'y arrêter et baisse jusqu'à un nouveau retournement de l'anticipation (« ça a trop baissé, ça ne va pas pouvoir continuer ainsi »).

Prêts aux banques Objectif : rester à flow…Fin 2008, en pleine crise financière mondiale, l’Etat français décide de venir en aide aux banques avec un double objectif. Il faut tout d’abord protéger les épargnants (particuliers/professionnels) et les banques elles-mêmes (salariés/actionnaires). Et ensuite, favoriser le financement de l’économie via les crédits aux entreprises et aux ménages. En effet, alors que la faillite des banques était impensable il y a quelques années, le cas de la très puissante banque d’investissement Lehman Brothers a jeté le doute quant à nos propres banques. Bien que cela ne faisait aucun doute, Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France, arguait malgré tout que les banques françaises n’avaient « absolument pas besoin de fonds propres » ni « d’être recapitalisées ».

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