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Jiddu Krishnamurti

Jiddu Krishnamurti
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Krishnamurti dans les années 1920 Jiddu Krishnamurti (ou Jidhu Krishnamurti) (en télougou జిడ్డు కృష్ణ మూర్తి et en tamoul கிருஷ்ணமூர்த்தி), né à Madanapalle (Andhra Pradesh) le 12 mai 1895 et décédé à Ojai (Californie) le 17 février 1986, est un homme d'origine indienne promoteur d'une éducation alternative. Apparue au sein de la théosophie et de la contreculture des années 1960, sa pensée exerça une influence notable sur des auteurs et des personnalités de différentes disciplines. D'abord présenté dès son adolescence par la société théosophique de l'époque comme un messie potentiel, il a opéré un revirement un peu plus tard pour développer une thèse radicalement opposée, reposant principalement sur l'idée qu'une transformation de l'humain ne peut se faire qu'en se libérant de toute autorité[2]. Biographie[modifier | modifier le code] « L'instructeur du monde »[modifier | modifier le code] Une autre direction[modifier | modifier le code] Related:  Théosophie2021 Janvier

Hindouisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « bon article ». La particularité de l'hindouisme est de n'avoir ni prophètes ni dogmes centraux[7]. L'hindouisme se présente comme un ensemble de concepts philosophiques issus d'une tradition remontant à la protohistoire indienne[9], la pratique hindouiste étant sans doute issue d'une tradition orale très ancienne, proche de l'animisme[10]. Au-delà du syncrétisme théologique, l'hindouisme d'avant les invasions islamiques et le colonialisme européen qui soumirent l'Inde à leur autorité[11] était un vecteur pour toutes les sciences : le droit, la politique, l'architecture, l'astronomie, la philosophie, la médecine, etc., comme d'autres savoirs qui avaient en commun le substrat religieux. Étymologie[modifier | modifier le code] Hindū, ou hindou, est le nom persan désignant l'Indus, d'abord rencontré dans l'ancien persan, correspondant au mot védique sanskrit Sindhu, – l'Indus[12]. De 1000 à 600 avant J.

Stephen Gilligan Stephen G. Gilligan (born December 26, 1954) is an American author, psychologist and psychotherapist. Gilligan was one of the first students and developers of the work of Milton H. In the anthology, "Ericksonian Approaches to Hypnosis and Psychotherapy" (1980), his article, "Ericksonian Approaches to Clinical Psychotherapy," shows keen (one might say "remarkable") insight into the core of Erickson's approach and style of "Indirect Hypnotherapy." Where Erickson emphasized hypnosis as a communication, Gilligan took this as a starting point to pioneer a field he called Self-relations Psychotherapy, which takes Erickson's viewpoint that all symptoms are communication. Gilligan is the author of several books on psychotherapy, including Therapeutic Trances (1986), The Courage to Love (1997), and The Hero's Journey (with Robert Dilts, 2009). Background and research[edit] Publications[edit] Therapeutic Trances: The Cooperation Principle in Ericksonian Hypnotherapy (Routledge, 1986)with Jeffrey K.

Anthroposophie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'anthroposophie est un courant de pensée et de spiritualité créé au début du XXe siècle par Rudolf Steiner. Selon lui il s'agit d'une « science de l'esprit », une tentative d'étudier, d'éprouver et de décrire des phénomènes spirituels avec la même précision et clarté avec lesquelles la science étudie et décrit le monde physique. Cette démarche n'est toutefois pas reconnue comme une science, elle se fonde sur les premiers travaux philosophiques de Rudolf Steiner, dont les premiers ouvrages (Une théorie de la connaissance chez Goethe, Vérité et science, La philosophie de la liberté) sont consacrés à l'élaboration de son concept, qu'il rattache en particulier à Goethe, mais aussi à toute la tradition idéaliste allemande. Les principes de l'anthroposophie ont été appliqués dans divers domaines, comme dans les écoles Steiner, l'agriculture biodynamique, la médecine anthroposophique. Étymologie[modifier | modifier le code] 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Société théosophique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Emblème de la Société théosophique. Helena Blavatsky (au centre, debout), Henry Steel Olcott (au centre, assis) et Damodar Mavalankar (3e de gauche) à un congrès de la Société de théosophie à Bombay (Mumbai) en 1881. La Société théosophique est une association d'inspiration néospiritualiste ne rappelant la théosophie que par certains points et n'ayant avec elle aucun lien de filiation [1]. Elle se destine à enseigner un syncrétisme liant le bouddhisme, l'occultisme, l'ésotérisme et des éléments empruntés à divers autres traditions religieuses. Fondée à New York le 17 novembre 1875, par Helena Petrovna Blavatsky, ainsi que par le Colonel Henry Steel Olcott, William Quan Judge, Charles Sotheran, le Dr Seth Pancoast, George H. Annie Besant succéda au Colonel Olcott à la tête de la Société théosophique de 1907 à 1933, et donna au mouvement une impulsion mondiale. Histoire de la Société théosophique[modifier | modifier le code] B.

Paul Watzlawick Paul Watzlawick (July 25, 1921 – March 31, 2007) was an Austrian-American family therapist, psychologist, communications theorist, and philosopher. A theoretician in communication theory and radical constructivism, he commented in the fields of family therapy and general psychotherapy. Watzlawick believed that people create their own suffering in the very act of trying to fix their emotional problems. He was one of the most influential figures at the Mental Research Institute and lived and worked in Palo Alto, California. Life[edit] After he graduated from high school in 1939 in his hometown of Villach, Austria, Watzlawick studied philosophy and philology at the Università Ca' Foscari Venice and earned a doctor of philosophy degree in 1949. In 1960, Don. Work[edit] At the Mental Research Institute in Palo Alto, California Watzlawick followed in the footsteps of Gregory Bateson and the research team (Don D. Interactional view[edit] Five basic axioms[edit] Additional notions[edit] Legacy[edit]

Traditionalisme (pérennialisme) Les figures les plus connues de ce courant sont René Guénon, Julius Evola, Ananda Kentish Coomaraswamy et Frithjof Schuon. La Tradition, au sens philosophique, est, selon Stéphane François, « essentiellement et fondamentalement d’ordre spirituel et métaphysique. Elle renvoie à une Tradition unique, « primordiale », c’est-à-dire antérieure à toutes les traditions locales. Selon Antoine Faivre, les trois postulats du Traditionalisme, ou du pérennialisme, sont l'existence d'une Tradition primordiale, l'incompatibilité entre modernité et Tradition et la possibilité de retrouver cette Tradition par la gnose qui permet, en principe, d'arriver à une connaissance complète du divin par une ascèse intellectuelle et spirituelle[3]. Le Traditionalisme ne constitue pas un mouvement uni ou monolithique, mais un ensemble de courants dont les positions peuvent souvent diverger. L'exotérisme est l'aspect extérieur de la tradition. Selon Frithjof Schuon :

Rudolf Steiner Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Steiner. Rudolf Steiner Son enseignement est à l'origine de projets aussi divers que les écoles Waldorf, l'agriculture biodynamique, les médicaments et produits cosmétiques Weleda, le mouvement Camphill et la Communauté des Chrétiens. Chronologie biographique[modifier | modifier le code] Avant l'anthroposophie[modifier | modifier le code] En 1884, Steiner devient le précepteur des enfants des époux Specht, et se consacre au jeune Otto qui est hydrocéphale. En 1888, de janvier à juillet, il participe à la rédaction de l'hebdomadaire allemand Deutsche Wochenschrift. À partir de 1899, il commence à enseigner l'histoire, les sciences et la technique de l'expression orale à l'Université Populaire de Berlin fondée par Wilhelm Liebknecht. Le développement de l'anthroposophie[modifier | modifier le code] La théosophie[modifier | modifier le code]

Jay Haley Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Haley. Jay Haley Jay Haley (- ) est un pionnier américain de la thérapie familiale, membre fondateur de l'École de Palo Alto. Biographie[modifier | modifier le code] En 1953 Jay Haley est en maîtrise en communication à l’Université Stanford de Palo Alto quand Gregory Bateson l'invite à travailler avec lui au sein de son projet sur l'étude du paradoxe de l'abstraction dans la communication. En 1962, Haley rejoint Jackson et Weakland au sein du Mental Research Institute of Palo Alto où travaillent également Paul Watzlawick, Virginia Satir, Jules Riskin et Richard Fisch. En 1967, il rejoint Salvador Minuchin au “Philadelphia Child Guidance Clinic” où il poursuit ses intérêts en formant des étudiants pendant dix ans. Œuvres[modifier | modifier le code] Stratégies de la psychothérapie [« Strategies of Psychotherapy »], Toulouse, Erès,‎ 2009, 327 p. Références bibliographiques[modifier | modifier le code]

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