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Jean-Jacques Rousseau

Jean-Jacques Rousseau
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Jacques Rousseau, né le à Genève et mort le (à 66 ans) à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois francophone. La vie de Jean-Jacques Rousseau est une vie d'indépendance et d'instabilité. Il quitte d'abord Genève à seize ans pour la Savoie, où il reçoit un complément d'éducation et une initiation à l'amour par Mme de Warens avant de gagner Paris en 1742, pensant faire carrière dans la musique. Il mène alors une existence difficile, cherchant divers protecteurs et vivant avec Thérèse Levasseur, qui lui donnera cinq enfants, tous confiés à l'Assistance publique. Rousseau entre dans l'histoire des idées avec ses brefs essais : Discours sur les sciences et les arts (1750) et Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes (1755), en opposant l'état de nature qui faisait le bonheur de l'humanité, à l'état social, source des insatisfactions générales. Biographie Famille et enfance Débuts difficiles Related:  Critiques, polémistes, essayistesPhilosophes - psychanalystes (H)WIKIPEDIA

Montesquieu Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Montesquieu en 1728 (peinture anonyme). Œuvres principales Montesquieu, avec entre autres John Locke, est l'un des penseurs de l'organisation politique et sociale sur lesquels les sociétés modernes et politiquement libérales s'appuient. Ses conceptions – notamment en matière de séparation des pouvoirs – ont contribué à définir le principe des démocraties occidentales. Biographie À cette époque l'Angleterre s'est constituée en monarchie constitutionnelle à la suite de la Glorieuse Révolution (1688-1689) et s'est unie à l'Écosse en 1707 pour former la Grande-Bretagne. Il se passionne pour les sciences et mène des expériences scientifiques (anatomie, botanique, physique, etc.). Puis il oriente sa curiosité vers la politique et l'analyse de la société à travers la littérature et la philosophie. Il travaille ensuite plusieurs années, accumulant notes et réflexions; vers 1739, il commence son maître-livre, De l'esprit des lois. Philosophie Postérité

Voltaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Œuvres principales Compléments François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le à Paris, ville où il est mort le (à 83 ans), est un écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Son œuvre littéraire est variée : son théâtre, ses poésies épiques, ses œuvres historiques, firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au XVIIIe siècle mais elle comprend également des contes et romans, les Lettres philosophiques, le Dictionnaire philosophique et une importante correspondance, plus de 21 000 lettres retrouvées. Tout au long de sa vie, Voltaire fréquente les Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour le peuple, mais il est aussi en butte aux interventions du pouvoir, qui l’embastille et le contraint à l’exil en Angleterre ou à l’écart de Paris. Biographie Débuts (1694-1733) Études chez les Jésuites (1704-1711) Notes

Victor Hugo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Portrait de Victor Hugo par Nadar. Œuvres principales Victor Hugo Écouter, né le à Besançon et mort le à Paris, est un poète, dramaturge et prosateur romantique considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. Il est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a joué un rôle majeur dans l’histoire du XIXe siècle. Victor Hugo occupe une place marquante dans l’histoire des lettres françaises au XIXe siècle, dans des genres et des domaines d’une remarquable variété[3],[4]. Victor Hugo a fortement contribué au renouvellement de la poésie et du théâtre. Biographie Enfance et jeunesse Maison natale de Victor Hugo à Besançon. En 1817, il participe à un concours de poésie organisé par l'Académie française sur le thème Bonheur que procure l’étude dans toutes les situations de la vie. Jeune écrivain La mort de sa mère le 27 juin 1821 l’affecte profondément[20]. François–Victor naît en octobre 1828. Années théâtre Exil

Constitution de 1791 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Constitution française du 3 septembre 1791 est la première expérience d’un régime libéral en France. Celle ci apparaît en période révolutionnaire dans l'optique d'un changement de régime. Ce texte, promulgué deux ans après la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen et les articles de Constitution de 1789, est la première constitution écrite qui transfère la souveraineté du Roi à la Nation. Fondée sur les principes de la souveraineté de la Nation et de la séparation des pouvoirs (ou, plus précisément, de la balance des pouvoirs), elle institue en France une monarchie constitutionnelle. Origines de la Constitution de 1791[modifier | modifier le code] Les constituants de l’Assemblée nationale, issue des États généraux réunis en 1789 par Louis XVI, jurent le 20 juin de la même année lors du serment du Jeu de paume de ne pas se séparer avant la rédaction et l’adoption d’une constitution. Les inspirations[modifier | modifier le code]

François-René de Chateaubriand Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. François-René, vicomte de Chateaubriand[N 1], né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est un écrivain romantique et homme politique français. Il est considéré comme l'un des précurseurs du romantisme français et l'un des grands noms de la littérature française. Il participera aussi au goût pour l'exotisme de l'époque en évoquant l'Amérique du Nord où il a voyagé dans Atala (1801) ou Les Natchez (1826) ou encore dans le récit de son voyage en Méditerranée dans Itinéraire de Paris à Jérusalem en 1811. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et mariage[modifier | modifier le code] En janvier 1789, il participe aux États de Bretagne. Son frère présente pour François-René une demande d'admission à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem auprès du prieur d'Aquitaine Louis Joseph des Escotais et justifie de ses quartiers de noblesse. L’exilé[modifier | modifier le code] Chateaubriand à l'armée de Condé.

Bruno Bettelheim Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il s'est rendu célèbre par la publication de livres de vulgarisation où il explique les théories pédagogiques et psychothérapiques, mises en œuvre à son École d'orthogénie de l'Université de Chicago qu'il a dirigée pendant trente ans. Son statut de psychanalyste est sujet à controverse[1]. Éléments biographiques[modifier | modifier le code] Bruno Bettelheim effectua son parcours universitaire en philosophie à Vienne (Autriche), où est conservée sa thèse de doctorat. Bettelheim fut l'un des derniers juifs à passer un doctorat à l'université de Vienne (en esthétique, une des branches de la philosophie) avant l'Anschluss de mars 1938. Il enseigna à l'Université de Chicago, dirigea une école consacrée aux enfants émotionnellement perturbés dont certains étaient psychotiques ou autistes. Bettelheim fut aux États-Unis l'un des plus éminents et ardents défenseurs du livre Eichmann à Jérusalem[4] de la philosophe Hannah Arendt[5].

Jean de La Bruyère Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean de La Bruyère, né à Paris le [1] et mort à Versailles le [2], est un moraliste français. La Bruyère est célèbre pour une œuvre unique, Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle (1688). Cet ouvrage, constitué d’un ensemble de brèves pièces littéraires, compose une chronique essentielle de l’esprit du XVIIe siècle. La Bruyère fut l’un des premiers écrivains à mettre en avant le style littéraire, en développant un phrasé rythmé dans lequel les effets de rupture sont prépondérants. Biographie[modifier | modifier le code] Le jeune duc de Bourbon était alors âgé de seize ans, et il venait d’achever sa seconde année de philosophie au collège de Clermont, qui était dirigé par les jésuites. Le succès[modifier | modifier le code] Page de garde de la troisième édition datée de 1688.Page de garde de la dixième édition datée de 1699. La Bruyère à l’Académie[modifier | modifier le code] La fin de sa vie[modifier | modifier le code]

Magna Carta Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Magna Carta. La Magna Carta Libertatum ou Grande Charte est une charte de soixante-trois articles arrachée par le baronnage anglais au roi Jean sans Terre[note 1] le 15 juin 1215 après une courte guerre civile notamment marquée par la prise de Londres, le 17 mai, par les rebelles. Les barons étaient excédés des exigences militaires et financières du roi et de ses échecs répétés en France, en particulier à Bouvines et à La Roche-aux-Moines. L’affirmation, largement répandue en France, selon laquelle la Magna Carta « a été rédigée en 1215, sur le sol français, dans l'abbaye cistercienne de Pontigny par des Anglais émigrés, en révolte contre leur roi, Jean sans Terre »[1], est historiologiquement infondée : les historiens anglais[2] et les études les plus récentes[3] ne constatent en fait rien de tel. Cette « Grande Charte des libertés d'Angleterre » garantit le droit à la liberté individuelle[6]. La France[modifier | modifier le code]

Œuvres de Denis Diderot Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article contient la liste des œuvres de Denis Diderot triées par genre. La liste est suivie par une liste des éditions collectives de références et d'un tableau de synthèse. La catégorie correspondante regroupe les titres qui font déjà l'objet d'un article détaillé. Pour une étude détaillée de la bibliographie matérielle de Diderot, on consultera avec intérêt l'importante bibliographie rassemblée par David Adams[1]. Fictions[modifier | modifier le code] Romans[modifier | modifier le code] Contes[modifier | modifier le code] Théâtre[modifier | modifier le code] Dialogues[modifier | modifier le code] Essais[modifier | modifier le code] Critique et comptes rendus[modifier | modifier le code] Peinture[modifier | modifier le code] Philosophie[modifier | modifier le code] Théâtre[modifier | modifier le code] Auteurs[modifier | modifier le code] Littérature[modifier | modifier le code] Articles de l'Encyclopédie[modifier | modifier le code]

Sigmund Freud Sigmund Freud photographié par Max Halberstadt, vers 1921. Signature Sigmund Freud, né le 6 mai 1856 à Freiberg (empire d'Autriche) et mort le 23 septembre 1939 à Londres, est un neurologue autrichien, fondateur de la psychanalyse. Freud regroupe une génération de psychothérapeutes qui, pas à pas, élaborent la psychanalyse, d'abord en Autriche, en Suisse, à Berlin, puis à Paris, à Londres et aux États-Unis. Le terme de « psycho-analyse » apparaît pour la première fois en 1896 dans un article écrit en français, publié dans cette langue le 30 mars 1896, puis en allemand le 15 mai 1896. Tout en devenant une figure de premier plan au XXe siècle, Sigmund Freud a dû faire face de son vivant à de nombreuses critiques comme celle de Karl Kraus, qui récuse l'interprétation sexuelle d’œuvres littéraires, ou celle d'Egon Friedell, qualifiant la psychanalyse de « pseudo-religion juive » et de « secte ». Biographie[modifier | modifier le code] Les biographes de Freud[modifier | modifier le code]

George Orwell Œuvres principales Eric Arthur Blair, plus connu sous son nom de plume George Orwell ([dʒɔː(ɹ)dʒ ˈɔːwel])[a], né le 25 juin 1903 à Motihari (Inde) pendant la période du Raj britannique et mort le 21 janvier 1950 à Londres, est un écrivain, essayiste et journaliste britannique. Son œuvre porte la marque de ses engagements, qui trouvent eux-mêmes pour une large part leur source dans l'expérience personnelle de l'auteur : contre l'impérialisme britannique, après son engagement de jeunesse comme représentant des forces de l'ordre colonial en Birmanie ; pour la justice sociale et le socialisme[1],[2], après avoir observé et partagé les conditions d'existence des classes laborieuses à Londres et à Paris ; contre les totalitarismes nazi et stalinien, après sa participation à la guerre d'Espagne. Il est membre du Syndicat national des journalistes et du Parti travailliste indépendant. Biographie Une éducation anglaise Au service de l'Empire Des débuts d'écrivain difficiles Orwell en Espagne Ci-gît

Shlomo Sand Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sand. Il fait partie des nouveaux historiens israéliens. Il est professeur à l'Université de Tel Aviv depuis 1985. Biographie[modifier | modifier le code] Shlomo Sand a passé ses deux premières années de vie en camps de réfugiés juifs polonais, en Allemagne. Après l'expérience traumatisante de la guerre des Six Jours (1967) à laquelle il a participé comme simple soldat, il a milité dans l'extrême gauche israélienne favorable à deux Républiques différentes (israélienne et palestinienne) dans la perspective d'une confédération. Ainsi, en 2008, il a publié Comment le peuple juif fut inventé. L'ouvrage, qui s'inscrit dans le sillage des chercheurs postsionistes[2], a suscité débats et controverses[3], y compris chez les historiens du peuple juif[4]. Ouvrages[modifier | modifier le code] L'Illusion du politique. Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

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