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Jürgen Habermas

Jürgen Habermas
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jürgen Habermas Philosophe et sociologue XXe siècle Jürgen Habermas (, Düsseldorf) est un théoricien allemand en philosophie et en sciences sociales. Habermas considère « la réconciliation de la modernité qui se divise d’elle-même[1] » comme le motif de son œuvre monumentale. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et études[modifier | modifier le code] Habermas voit le jour à Düsseldorf, mais grandit à Gummersbach, une petite ville située tout près, où son père, Ernst Habermas, était secrétaire général du bureau urbain de la chambre de commerce et d’industrie de Cologne. Entre 1949 et 1954, Habermas fait des études aux universités de Göttingen (1949-50), de Zürich (1950-51) et de Bonn (1951-54). En 1953, Habermas accomplit son premier coup d’éclat en rédigeant, dans le Journal universel de Francfort, une critique de l’Introduction à la métaphysique de Heidegger, parue la même année. Théorie[modifier | modifier le code] Related:  Philosophes - psychanalystes (H)

Theodor W. Adorno Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Adorno. Theodor W. Adorno Theodor W. Adorno (Theodor Ludwig Wiesengrund), 1903-1969, est un philosophe, sociologue, compositeur et musicologue allemand. En tant que philosophe, il est avec Herbert Marcuse et Max Horkheimer l'un des principaux représentants de l'École de Francfort, au sein de laquelle a été élaborée la Théorie critique. En tant que musicien et musicologue, il est représentant de la seconde école de Vienne et théoricien de la Nouvelle Musique. Et c'est en tant que philosophe (esthétique), sociologue, musicologue et musicien qu'il introduit avec Max Horkheimer la notion interdisciplinaire d'industrie culturelle, première traduction en français du titre de l'essai fondateur Kulturindustrie dans La Dialectique de la raison. Nom et origine[modifier | modifier le code] Timbre pour le 100e anniversaire de la naissance de Theodor W. Un autre pseudonyme dans le cercle familial est Archibald Bauchschleifer.

Georges Bernanos Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Georges Bernanos Georges Bernanos vers 1940. Œuvres principales Georges Bernanos est un écrivain français, né le dans le 9e arrondissement de Paris et mort le à Neuilly-sur-Seine à l'âge de 60 ans. Georges Bernanos passe sa jeunesse en Artois et cette région du Nord constituera le décor de la plupart de ses romans. Dans ses œuvres, Georges Bernanos explore le combat spirituel du Bien et du Mal, en particulier à travers le personnage du prêtre catholique tendu vers le salut de l'âme de ses paroissiens perdus comme Mouchette. Biographie[modifier | modifier le code] Plaque sur la maison natale à Paris, 28 rue Joubert. Son père, Émile Bernanos, est un tapissier décorateur d'origine lorraine. Premiers engagements et premières œuvres[modifier | modifier le code] La maison des Bernanos à Fressin. Sous le soleil de Satan[modifier | modifier le code] Publié en en 1926 aux éditions Plon, ce premier roman est à la fois un succès public et critique.

Philosophie sociale et politique (Histoires, problèmes, applications) - Métaphysique allemande et philosophie pratique - EA 2626 - Université de Poitiers En raison de leur pluralisme et face aux pathologies auxquelles elles sont confrontées, les sociétés démocratiques se doivent de réinterroger sans cesse les conditions de leur propre possibilité, en examinant les normes et les valeurs autour desquelles se déploie la vie collective. Les chercheurs travaillant dans le cadre de cet axe de recherche se donnent pour objectif d’intervenir sur les problèmes politiques, éthiques et sociaux qui engagent des représentations du juste et du bien. Sans négliger les dimensions historiques dans lesquelles s’inscrivent les questions étudiées, leurs travaux portent en particulier sur les questions de principes et d’application. Au delà des questions relatives aux théories morales (utilitarisme, conséquentialisme, déontologisme, contractualisme, éthique de la vertu, etc.) et aux conceptions de la rationalité pratique qui les sous-tendent, les travaux portent sur leur mise en œuvre dans divers domaines de la vie sociale. Contacts Patrick Savidan (Pr.)

Petits bouleversements au centre de la table Que sont devenus le décor de table et le cérémonial de la réception aujourd’hui ? Telle est la question à laquelle veut répondre cette exposition, en faisant le constat de voies nouvelles proposées par une génération de créateurs s’intéressant à nos rapports renouvelés à la nourriture et à l’art de vivre à table. L’idée centrale de l’exposition est de faire participer le visiteur à un véritable festin céramique au cours duquel tous les sens – y compris le sens critique – sont mis en alerte. La vogue des décors de table grandioses a culminé aux XVIIe et XVIIIe siècles, liée au service « à la française », à son abondance de nourriture, de vaisselle et de serviteurs. Le centre de table –à la fois décoratif et utile car il réunissait souvent les salières, huiliers-vinaigriers et boites à épices, et comportait quelquefois des bras de lumière- devint à cette époque et pour ces raisons l’élément majeur de ces « plans de table » très architecturés.

Max Horkheimer Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Max Horkheimer (né le 14 février 1895 et mort le 7 juillet 1973) est un philosophe et un sociologue allemand, connu pour être le directeur de l'Institut de recherche sociale (Institut für Sozialforschung) origine de la célèbre École de Francfort de 1930 à 1969, et un des fondateurs de la théorie critique (Kritische Theorie). Biographie[modifier | modifier le code] Horkheimer, qui était issu d'une riche famille industrielle juive, a obtenu l'équivalent du baccalauréat à Munich en 1919. En 1930, il devient le professeur titulaire pour la philosophie sociale à l'Université de Francfort. Extrait d'une lettre de Walter Benjamin a Max Horkheimer lors de son internement au camps de Vernuche, 30 november 1939 En 1947, il a fait publier aux éditions Querido (Amsterdam) avec son collaborateur et ami de longue date Theodor W. Avec les philosophes Theodor W. Bibliographie en langue allemande[modifier | modifier le code] (Zs. mit Theodor W.

Hannah Arendt Signature Hannah Arendt, née Johanna Arendt[1] le 14 octobre 1906 à Hanovre et morte le 4 décembre 1975 dans l'Upper West Side (New York), est une politologue, philosophe et journaliste allemande naturalisée américaine, connue pour ses travaux sur l’activité politique, le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire. Elle soulignait toutefois que sa vocation n'était pas la philosophie mais la théorie politique (« Mein Beruf ist politische Theorie »)[2]. C'est pourquoi elle se disait « politologue » (« political scientist »)[3] plutôt que philosophe. Ses ouvrages sur le phénomène totalitaire sont étudiés dans le monde entier et sa pensée politique et philosophique occupe une place importante dans la réflexion contemporaine. Biographie[modifier | modifier le code] Vie et études en Allemagne[modifier | modifier le code] Hannah Arendt naît à Hanovre en 1906. Fuite hors d'Allemagne et exil aux États-Unis[modifier | modifier le code] Dernières années[modifier | modifier le code]

Philosophie des sciences Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sont abordées en philosophie des sciences, entre autres problématiques : la nature de la pensée scientifique, de son discours et de ses concepts ;les processus par lesquels la science devient une activité ;le rapport entre science et nature ;les manières de jauger la validité des théories en sciences ;la méthode scientifique ;les raisonnements scientifiques et leurs portées philosophiques ;les implications réciproques entre méthode scientifique et société... Nature du discours et des concepts scientifiques[modifier | modifier le code] La science est à la fois l'énoncé d'hypothèses concernant la nature du monde, et la vérification de ces théories comme adéquates à la réalité selon une méthode expérimentale, qui diffère selon les domaines. Rationalisme[modifier | modifier le code] Empirisme[modifier | modifier le code] L'empirisme pose comme principe la dépendance aux évidences. Réalisme scientifique et instrumentalisme[modifier | modifier le code]

Forum Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Le mot forum (prononciation /fo.ʁɔm/) désigne en français diverses choses. Nom commun[modifier | modifier le code] Antiquité romaine[modifier | modifier le code] Historiquement, dans la Rome antique, le mot latin forum désignait d'une manière générique la place publique d'échange forum (au pluriel fora),de façon plus précise, le vieux forum républicain de Rome ou forum romanum, auxquels furent adjoints les fora impériaux. Il désignait aussi le centre géométrique commercial, social, administratif, religieux et politique : dans chaque ville, il était le centre géométrique. Actuellement[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : forum, sur le Wiktionnaire Au sens moderne, en français, « forum » peut désigner : Culture[modifier | modifier le code] Toponymes[modifier | modifier le code] Antiquité romaine[modifier | modifier le code]

École de Francfort Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Parmi ses premiers membres, on compte Max Horkheimer (1895-1973), qui fut le directeur de l'Institut à partir de 1930, son collègue Theodor W. Adorno (1903-1969) avec qui il écrira après-guerre La Dialectique de la raison, sorte de critique de la société de consommation, Erich Fromm (1900-1980), considéré comme l'un des fondateurs du freudo-marxisme et qui mêla psychanalyse et sociologie quantitative, Walter Benjamin (1892-1940), écartelé entre ses influences messianiques hébraïques et un marxisme inspiré de Lukács (1895-1971), ou encore le juriste, davantage social-démocrate, Franz Neumann (1900-1954). L'arrivée d'Hitler au pouvoir contraint l'Institut à fermer ses portes et ses membres, dispersés, à l'exil. Une partie d'entre eux, notamment Horkheimer, Adorno et Marcuse (1898-1979) iront aux États-Unis, où ils rouvriront l'Institut à New York. En 1950, l'Institut rouvre ses portes à Francfort. Définition[modifier | modifier le code]

Épistémologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'épistémologie (du grec ancien ἐπιστήμη / epistếmê « connaissance, science » et λόγος / lógos « discours ») désigne soit le domaine de la philosophie des sciences qui étudie les sciences particulières, soit la théorie de la connaissance en général. Définition[modifier | modifier le code] L'épistémologie serait selon la « tradition philosophique francophone », une branche de la philosophie des sciences qui « étudie de manière critique la méthode scientifique, les formes logiques et modes d'inférence utilisés en science, de même que les principes, concepts fondamentaux, théories et résultats des diverses sciences, afin de déterminer leur origine logique, leur valeur et leur portée objective »[1]. Dans la tradition philosophique anglo-saxonne, l'épistémologie se confondrait avec la théorie de la connaissance, et ne porterait donc pas spécifiquement sur la connaissance scientifique. Qu’est ce que la connaissance (la question gnoséologique) ?

Disons-le | g.u.i. Le 13 décembre 2010, l'atelier Disons-le est donné aux BTS multimédia du lycée Le Corbusier à Illkirch avec Simon Kircher et Damien Cornu. Dans un premier temps, l'atelier tente de travailler une dimension interpersonnelle dans le langage. À partir de 2 images de paysage, de 2 sons, de 2 images de fête, de 2 objets, des duos se forme par accointance. Les 2 personnes deviennent les 2 interlocuteurs d'une conversation écrite numérique. Par la suite, chaque duo travaille à la destructuration du dialogue initial en relevant divers éléments : -combien de mots dans ce dialogue Dans un second temps, l'atelier se dirige vers les langages partagés et les codes communs. Galerie des calques :

Erich Fromm Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Erich Fromm Erich Fromm, né à Francfort le 23 mars 1900 et mort à Locarno le 18 mars 1980, est un psychanalyste humaniste américain d'origine juive allemande. Il est avec Adorno, Herbert Marcuse et d'autres, un des premiers représentants de l'École de Francfort. Par ailleurs, Erich Fromm fut l'un des premiers penseurs du XXe siècle à parler de l'idée d'un revenu de base inconditionnel[1]. L'homme et son œuvre[modifier | modifier le code] Erich Fromm est né à Francfort le 23 mars 1900. Erich Fromm est un psychanalyste analysé par Frieda Fromm-Reichmann (qui allait devenir sa femme) puis Hanns Sachs. Devenu psychanalyste américain installé en 1934, ses textes persillés de nombreuses références bibliques et ses citations tirées des romantiques allemands témoignent de ses origines juives allemandes. Erich Fromm est inséparable de l'école psychodynamique américaine. Erich Fromm et ses conceptions[modifier | modifier le code]

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