http://www.liberation.fr/societe/2014/11/06/en-finir-avec-la-fabrique-des-garcons_1137816
Related: Inégalités garçons-filles à l'école • EMMÊLER • Sexisme et discrimination • genre and coLes filles sont meilleures que les garçons dans les disciplines «masculines» Selon une étude relayée par le Telegraph, de nouveaux chiffres montrent que les adolescentes sont plus susceptibles d’obtenir de bonnes notes dans des cours pratiques destinant à des professions au sein d’industries traditionnellement dirigées par des hommes. Cette étude, réalisée par Pearson, premier éditeur mondial, fait état d’un fossé grandissant entre les sexes. «Selon ces chiffres, les filles sont en tête dans la plupart des disciplines dès l’âge de 5 ans, et le fossé ne cesse ensuite de s’agrandir au fur et à mesure des études obligatoires.» L’an dernier, environ 62% des filles ont obtenu de bons résultats dans au moins cinq matières de l’équivalent britannique du brevet. Contre seulement 55% des garçons. Au moins un garçon sur 10 a également échoué dans l’obtention d’au moins un C (passable) à l’âge de 16 ans –soit un taux d’échec deux fois supérieur à celui des filles du même âge.
Masculinité hégémonique Quand on parle du genre, au singulier, on l’envisage à la fois comme une construction sociale, comme un processus relationnel et comme un rapport de pouvoir imbriqué dans d’autres rapports de pouvoir. Pour comprendre ce qui suit, il faut notamment bien comprendre cette idée de processus relationnel. Le genre crée de la division et de la binarité : il produit deux groupes, sur le mode de l’opposition, le groupe des « hommes » et celui des « femmes ». La « différence des sexes » est donc toujours aussi une opposition : on apprend les caractéristiques de son genre par opposition à celles de l’autre genre. #Commeunefille, la 2ème vidéo d'Always contre les stéréotypes Laura Gabrieli mercredi 15 juillet 2015 Always, la marque de produits d’hygiène féminine, vient de lancer une nouvelle vidéo intitulée #Commeunefille, Rien ne t’arrête ». Une campagne plus féministe que jamais. « Sois belle et tais toi », « Footballeur, c’est un métier d’homme », « La lutte est un sport masculin »… Autant d’idée reçues qui, aujourd’hui encore, limitent l’épanouissement des jeunes filles. La nouvelle campagne de la marque Always dénonce les effets que peuvent avoir les attentes sociétales sur la confiance des futures femmes.
La théorie du genre (djendeure). Mais pour avoir la réponse à cette question, il faudrait pouvoir disséquer un militant de La Manif Pour Tous, et vous savez que je suis résolument opposée à la vivisection. D’ailleurs il manque encore quelques signatures pour l’Initiative Citoyenne Européenne contre la vivisection, dépêchez-vous d’aller la signer avant le 1er novembre, ou vous aurez la mort de millions de chiots et chatons sur la conscience: Articles à lire sur la théorie du genre, le sexisme… Ca fait genre Petits rappels sur le genre Des phrases chocs pour dénoncer les "femmes-objets" dans la publicité - Il était une pub « J’aime offrir une fellation à mon sandwich », « J’aime coucher avec des hommes qui ne connaissent pas mon nom », « Le secret pour me faire craquer ? Un homme qui sent le vagin ! ». Des phrases chocs pour dénoncer une coutume devenue trop commune dans la publicité : utiliser la femme comme objet. La raison d’utiliser la femme-objet pour promouvoir sa marque est assez triviale. La femme et le sexe sont objets de désir chez l’homme.
Les filles bien meilleures en lecture et les garçons un peu plus forts en maths Il arrive que les études en sciences humaines s’appuient sur des échantillons de taille insuffisante. Ce n’est pas le cas de celle que Gijsbert Stoet, chercheur à l’institut de science psychologiques de l’université de Leeds, en Angleterre, et David Geary, de l’université du Missouri, ont publiée dans la revue PloS One le 13 mars 2013. Les données qu’ils ont étudiées proviennent du Programme for International Student Assessment (PISA) concernant 1,5 million d’élèves des deux sexes âgés de 15 ans et répartis dans 75 pays pour les années 2000, 2003, 2006 et 2009. En particulier au sujet des performances en mathématiques et en lecture. L’analyse globale montre que les garçons sont meilleurs en mathématiques tandis que les filles battent les garçons en lecture.
Les métiers n'ont pas de sexe Les hommes dans la petite enfance « Dans le métier d’éducateur de jeunes enfants, une réelle mixité serait souhaitable. La place des hommes n’est pas encore faite. Lors de mes stages, parents et professionnels-les m’ont exprimé leur attachement à trouver une mixité dans les structures pour la complémentarité, l’ambiance d’équipe, les références de l’enfant et pour combattre les stéréotypes hommes-femmes encore très tenaces au 21ème siècle.”
La rue, fief des mâles L'espace urbain est ultrasexué, pensé par et pour les hommes. Au point que les femmes érigent des barrières inconscientes et traversent les lieux publics bien plus qu'elles ne s'y attardent. LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Fanny Arlandis Sur le trottoir ou dans le métro, on croise des vieux, des jeunes, des hommes, des femmes. A première vue, l'espace public est mixte. A première vue seulement.
Et si les rôles des hommes et des femmes étaient inversés dans la pub ? La réclame tombe parfois, trop souvent, dans des travers sexistes. Les femmes sont soumises et un peu bêtes, les hommes virils et dominateurs. Trois étudiants de l'université canadienne de Saskatchewan, Sarah Zelinski, Kayla Hatzel et Dylan Lambi-Raine, se sont mis en tête pour un cours sur le genre d'inverser les stéréotypes des publicités dans une vidéo mise en ligne sur YouTube (et déjà vue plus de 800 000 fois depuis début avril). En introduction, ils compilent une sélection de campagnes anciennes et récentes où les femmes ne sont que des objets dédiés au plaisir des hommes. «Ces standards de beauté mis en avant affectent la manière dont les hommes et les femmes perçoivent le corps féminin, écrivent-ils, entre 2000 et 2009, il y a eu une augmentation de 36% des opérations d'augmentation mammaire.»
Les filles sont meilleures que les garçons à l'école. Depuis 100 ans et dans toutes les matières Temps de lecture: 2 min Depuis quelques années, de nombreuses études montrent que les filles ont de meilleurs résultats à l'école que les garçons, à tel point qu'aux Etats-Unis, les discussions tournent aujourd'hui autour de ce «nouveau» déséquilibre éducatif et des moyens d'aider les garçons à combler leur retard. Le constat est aussi une des raisons pour lesquelles Hanna Rosin, contributrice de Slate.com, annonçait récemment le déclin masculin et l'arrivée d'une ère dans laquelle les femmes accèdent enfin au pouvoir dans son livre The End of Men (voici venu le temps des femmes).
Égalité des filles et des garçons Les équipes montrent la voie Remise du prix du projet égalitaire « Filles / Garçons » à l'Ecole élémentaire du Peyrouat de Mont-de-Marsan Mardi 23 juin 2015, au Théâtre municipal de la Ville et au terme d’une restitution artistique présentée par les 152 élèves de l’école, dans une mise en scène de Wahid CHAKIB, Jean-Jacques LACOMBE, IA-DASEN des Landes, a remis, au nom d’Olivier DUGRIP, recteur de l’académie de Bordeaux, Chancelier des Universités d’Aquitaine, le Prix académique du projet égalitaire « Filles/Garçons » 2015 aux enfants et aux adultes qui ont animé le projet. « Allez les filles, osez le sport ! »
Chez Sopra Steria, la fragile victoire d'une salariée moins payée que les hommes "Ambitieuse", "soucieuse de progresser vers des responsabilités d'animation", un "profil de gestionnaire de haut niveau". Lorsqu'en 2005, Nora* est embauchée par l'entreprise informatique Steria, le bilan de compétences qu'elle vient d'achever dresse d'elle un portrait flatteur. La SSII devenue plus tard Sopra Steria la recrute comme cadre technique. Nora affiche sur son CV un DESS d'ingénieur des systèmes d'information et 18 mois d'expérience comme analyste programmateur, puis administrateur systèmes et réseaux. Le sexisme expliqué à ceux qui n'y croient pas - Une heure de peine... . Il y a des gens qui, simplement, refusent d'y croire : ça n'existerait pas, et puis c'est naturel, et de toutes façons, c'est la même chose pour les hommes. Freud racontait une histoire rigolote qui sonnait un peu comme ça, à propos d'un chaudron percé, mais passons : je ne suis pas là pour faire la psychanalyse du déni. Je vais plutôt essayer d'expliquer pourquoi le dernier argument, selon lequel les hommes aussi seraient discriminés, ne marche pas.