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Related: Informatique / numérique • Infrastructure internetInteropérabilité en informatique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’interopérabilité ou interfonctionnement en informatique est la capacité que possède un système informatique à fonctionner avec d’autres produits ou systèmes informatiques, existants ou futurs, sans restriction d’accès ou de mise en œuvre. Les deux termes sont normalisés par la CSA et la Commission électrotechnique internationale (ISO/IEC 2382-18:1999). Introduction[modifier | modifier le code] La notion d'interface est essentielle pour aborder l'interopérabilité.
Quand l’État vous disait qu’Internet n’avait aucun avenir Mon attention a été attirée sur le rapport Thery de 1994. Intitulé « Les autoroutes de l’information », il fut écrit par Gérard Théry, Alain Bonnafé, Michel Guieysse et adressé au Premier ministre de l’époque, Édouard Balladur. La lecture de ce rapport, presque 20 ans après, est fort instructive Elle révèle comment trois technocrates français parmi les plus compétents (Théry est polytechnicien et ingénieur des télécoms) voyaient l’avenir des autoroutes de l’information et le rôle que l’internet allait y jouer. En substance, l’existence de ce dernier est reconnue, mais il est rapidement écarté. On lit en effet : France: sauvons internet 0 ont signé la pétition. Ensemble allons jusqu'à 200 000 Publié le 29 Juin 2011Le gouvernement Sarkozy veut censurer internet par un décret qui pourrait bloquer des sites et pages de recherche que nous utilisons tous les jours. Mais un tollé national peut stopper cet assaut contre la liberté d'expression. Ce nouveau décret permettrait aux ministres de retirer tout contenu internet menaçant selon eux "l'ordre public", sans passer par un juge. C'est pourquoi un Conseil en charge de l'Internet créé par Sarkozy a condamné cette mesure comme étant inconstitutionnelle, et les experts internationaux sont en état d'alerte.
Singularité technologique Au-delà de ce point, le progrès ne serait plus l’œuvre que d’intelligences artificielles, ou « supraintelligence » qui s’auto-amélioreraient, de nouvelles générations de plus en plus intelligentes apparaissant de plus en plus rapidement, créant une « explosion d'intelligence » créant finalement une puissante superintelligence qui dépasserait qualitativement de loin l'intelligence humaine[1],[2],[3]. Le risque serait que l'humanité perde le contrôle de son destin[4]. L'auteur de science fiction Vernor Vinge est même convaincu, dans son essai La venue de la singularité technologique, que la singularité signifierait la fin de l'ère humaine[3], la nouvelle superintelligence continuant de s'améliorer et d'évoluer technologiquement à une vitesse incompréhensible pour les humains[5]. Cette notion de singularité technologique aurait été envisagée par John von Neumann dès les années 1950[6] et ses conséquences ont été débattues dans les années 1960 par I. J.
Neutralité : le CSA milite pour utilisation préférentielle de la bande passante Le CSA, pour pousser les acteurs de type Netflix à investir en France, compte agiter une carotte de taille : avantager ceux qui se plieront à ses règles. Parmi les avantages, une bande passante plus importante sera notamment proposée. Une mise à mal de la neutralité du Net dont est bien conscient Olivier Schrameck, le président du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel. Olivier Schrameck Bienvenue à l’e-G8, le Davos du web La grand messe d'Internet voulue par Nicolas Sarkozy se tient jusqu'à ce mercredi à Paris, avant le G8 de Deauville. Et la couleur industrielle de l'événement en effraie certains. Explications, avec des vrais morceaux de Maurice Lévy dedans. De la même manière que Cannes donne envie aux gens de faire des films, l’e-G8 doit être une vitrine du web.
Internet Corporation for Assigned Names and Numbers Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Internet Corporation for Assigned Names and Numbers Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN, en français, la Société pour l'attribution des noms de domaine et des numéros sur Internet) est une autorité de régulation de l'Internet. C'est une société de droit californien à but non lucratif ayant pour principales missions d'administrer les ressources numériques d'Internet, tels que l'adressage IP et les noms de domaines de premier niveau (TLD), et de coordonner les acteurs techniques[1]. Missions[modifier | modifier le code]
Comment l’État a participé à la création de l’internet Par Steve Fritzinger, depuis les États-Unis. Dans son désormais célèbre discours « You didn’t build that » [Vous n’avez pas construit ça, NDT], le président Obama a dit : « L’internet n’a pas été inventé tout seul. La recherche d’État a créé l’internet pour que toutes les entreprises puissent gagner de l’argent avec l’internet ». L’affirmation d’Obama correspond à l’histoire conventionnelle de l’internet.
Qui contrôle Internet ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Damien Leloup Après la publication de notre article consacré au projet Commotion, qui permet de créer des réseaux informatiques non censurés et faciles à déployer dans des pays dictatoriaux, de nombreux lecteurs nous ont interpellés pour savoir qui contrôle aujourd'hui Internet. En raison de sa nature décentralisée, Internet n'est pas "contrôlé" par un unique organisme, Etat, ou entreprise. Contrairement à une idée répandue, le réseau n'est pas non plus une "jungle" totalement libre : à tous les échelons, de nombreux organismes exercent ou peuvent exercer un contrôle ou une censure sur les informations qui y circulent. Les stuctures les plus fondamentales d'Internet sont sous le contrôle de l'Icann, l'Internet corporation for assigned names and numbers.
Bradley Manning Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Bradley (Chelsea) Manning Bradley Manning en 2012. Biographie[modifier | modifier le code] Petite enfance[modifier | modifier le code] Manning est né à Crescent dans l'Oklahoma, de Susan Fox, originaire du pays de Galles, et son mari, Brian Manning. Qui a vraiment créé Internet ? Par le Minarchiste, depuis Montréal, Québec. Le gouvernement est-il responsable de la création d’Internet ? Pour plusieurs, sans interventionnisme gouvernemental, l’internet n’aurait pas vu le jour. « During my service in the United States Congress, I took the initiative in creating the Internet. », Al Gore, 1999 (voir ceci).
Gouvernance d'Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme de gouvernance d'Internet désigne l’élaboration et l’application par les États, le secteur privé, et la société civile, dans le cadre de leurs rôles respectifs, de principes, normes, règles, procédures de prise de décisions et programmes communs propres à modeler l’évolution et l’usage d'Internet, selon la définition du groupe de travail sur la gouvernance d'Internet donnée lors du Sommet Mondial sur la Société de l'Information[1]. La gouvernance d'Internet se distingue du E-Gouvernement (ou administration électronique), s'étendant à toutes normes juridiques et techniques prises à l'égard d'Internet ; toutefois, l'administration électronique ne peut se passer de telles normes. Les réglementations et l'organisation de la gouvernance d'Internet ont fait l'objet de différents débats entre parties prenantes du Net, avec des visions différentes sur la manière de faciliter la libre communication des idées et de la connaissance.
Les Ateliers: Esthétiques numériques Les logiciels de modélisation 3D permettent de représenter des surfaces et des volumes avec des logiques issues des mathématiques et de l'informatique. Mais comme tout outil, leur usage a tendance à orienter/formater notre imaginaire. Nous représentons souvent ce que le logiciel nous laisse modéliser sans trop de difficulté, et l'esthétique du projet émane alors aussi de l'outil. Notre objectif ce semestre est d'aborder la modélisation 3D comme un potentiel de création et d'élaborer des méthodes de recherches dans l'outil lui même, notamment en évitant la dualité dessin manuel versus modélisation. Internet est en réalité contrôlé par 14 personnes qui détiennent 7 clés secrètes Tout ce que vous auriez aimé savoir sur le fonctionnement de l'Internet sans jamais avoir osé le demander. Cela ressemble à quelque chose tout droit sorti d'un livre de Dan Brown, mais ce n'est pas le cas : tout l'Internet est contrôlé par sept clés physiques et réelles. James Ball, rédacteur chez The Guardian, a été récemment autorisé à observer le rituel hautement sécurisé connu sous le nom de cérémonie des clés. Les personnes qui dirigent la cérémonie font partie d'une organisation appelée the Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN). ICANN est chargé d'attribuer des adresses Internet numériques aux sites Web et aux ordinateurs et de les traduire en adresses Web que les gens entrent dans leurs navigateurs. Par exemple, entrez 64.27.101.155 dans votre navigateur et cela vous amènera sur la page Web de Business Insider.