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Pédagogie à distance : les enseignements du e‑confinement. On ne peut se passer ni du social ni de l’éducation, ni des technologies qui nous connectent.
C’est ce que cette crise pandémique nous montre et que ceux qui pratiquent la formation à distance soutiennent depuis longtemps. Celle-ci s’est radicalement transformée en « e-learning » ces dix dernières années, en fusionnant éducation ouverte et connectée avec médias sociaux, que ce soit sous la forme de MOOC ou de portails ouverts comme TEDx, Khan Academy, accessibles via YouTube notamment. Les écoles et universités ont abordé la question avec grande méfiance, avec des approches panachées (« blended »), avec des espaces numériques de travail ou des plates-formes comme Moodle.
Mais la logistique de la formation à distance et les pédagogies attenantes sont très différentes de celles de l’enseignement face à face. De fait les écoles, notamment les écoles primaires, y sont peu préparées et cette transition forcée peut se faire au détriment des élèves les plus désavantagés. Des enjeux spécifiques. Au lieu de renvoyer les enfants à l'école, faites-leur lire un livre par semaine. Temps de lecture: 3 min C'est la question du moment: faut-il ou non renvoyer ses chérubins à l'école?
À cette question essentielle, je m'empresse de répondre non, un avis d'autant plus éclairé que d'enfants, à ma connaissance, je n'en ai pas. N'étant pas de nature sadique et considérant que l'existence est tout sauf un cadeau, j'ai préféré passer mon tour. Mais en aurais-je eu, je me serais bien gardé de les expédier au collège d'à côté. Pas tant par préoccupation sanitaire (même si...) que par conviction que l'école, notamment à partir du collège, n'est qu'une vaste garderie où l'on apprend le dégoût de vivre.
Pense-t-on sérieusement qu'on apprenne quelque chose au collège? J'avoue rester ébahi quand j'entends des parents d'élèves s'inquiéter pour le niveau scolaire de leur progéniture si d'aventure le confinement venait à être prolongé. Je ne vois rien dans la fréquentation de mes semblables qui témoignent d'un esprit particulièrement éclairé –au contraire.
Ce que les dormeurs «agités» nous apprennent sur les rêves. «Docteur, j’ai fait un rêve cette nuit.
Dans ce rêve, j’étais assis à l’arrière d’un bus. Il existe une technique pour endormir votre bébé en quelques minutes. Cela a commencé avec un bruit d’aspirateur et un tout petit bébé (le mien) âgé d'un mois: «Tu vois, ça ne le dérange pas du tout!»
, constate une amie. Je suis un peu étonnée mais mon fils s’est endormi au milieu de ce qui me semble à moi être un vacarme désagréable. «Les bébés aiment ce genre de sons, me confirme une autre copine. Moi j’endormais ma fille en me faisant des brushing, elle adorait le bruit du séchoir.» Le monde merveilleux des sons pour faire dormir les nourrissons Quelques semaines plus tard, dans ce genre de dîner pendant lesquels on a vraiment envie que bébé s’endorme pour pouvoir profiter de sa soirée, une autre amie me dit qu’elle va m’aider: «- Passe lui des bruits blancs! - Euh, je ne sais pas de quoi tu parles en fait... - Mais tu sais, tous les bruits de machines, aspirateurs, ventilateurs, ça marche super bien. J'ai mis cette musique dès ce soir là... et ça a marché. C’est la première fois que je vois des vidéos de huit ou dix heures.
Laisser ou ne pas laisser un bébé pleurer: telle n'est pas la question. Temps de lecture: 11 min Pour lancer une polémique sur les réseaux sociaux parentaux, rien ne vaut un petit article sur les pleurs de bébé.
Mélangez quelques propos péremptoires, un peu de concours du meilleur parent, de fascination pour des sociétés lointaines censées être plus proches de l’humain «naturel», le tout saupoudré de psychobiologie alarmiste et c’est parti pour une foire d’empoigne d’une quinzaine de jours! Laisser pleurer ou ne pas laisser pleurer, telle est la question, simple et clivante. Loin de moi l’idée de promouvoir le retour de la terrible vision passéiste du bébé-tube digestif, sur lequel on pratiquait jusque dans les années 1970 des opérations sans anesthésie...
Les guerres de tranchées parentales Dans ces articles, la manière de gérer les pleurs de bébé n’est presque jamais présentée comme un choix éducatif. Y a-t-il une bonne méthode pour réagir aux pleurs d'un nourrisson? Des hurlements inconsolables aux nuits entrecoupées, les pleurs des bébés sont souvent redoutés par les nouveaux parents.
Ils sont le paradigme des difficultés des premiers mois qui offrent à leur entourage, pour le meilleur et pour le pire, une réserve infinie de sujets de conversation: conseils éducatifs hétéroclites, témoignages de situations cataclysmiques, et injonctions en tout genre. Au mois de mai 2016, une étude parue dans une des plus grandes revues de pédiatrie américaine, a tenté de réhabiliter les méthodes d’éducation au sommeil de type «5-10-15» qui prônent l’apprentissage progressif de l’autorégulation et impliquent de «laisser pleurer» le bébé cinq minutes, puis dix, puis quinze, etc.