L'usage du smartphone et des réseaux sociaux chez les adolescents en 2018. L’usage des appareils mobiles et des plateformes sociales chez les adolescents provoque chez certains parents doutes et préoccupation. C’est pour cette première raison que l’institut Common Sense a mené une étude auprès de milliers d’adolescents entre 13 et 17 ans pour connaître leurs habitudes, leurs usages et leurs comportements sur leur mobile et les réseaux sociaux.
Le centre de recherche a corroboré les données qu’il avait obtenu en 2012 à celles de 2018 pour déterminer l’évolution de l’expérience des adolescents. 81 % des adolescents utilisent les réseaux sociaux Sur la question de la consultation des réseaux sociaux, Common Sense note que les usages ont radicalement changé depuis 2012. Si le nombre d’adolescents qui les utilisent est resté stable avec environ 81 % des interrogés, le nombre de jeunes consultant les réseaux sociaux plusieurs fois dans la journée a plus que doublé en 6 ans. Mesurer et modéliser le bien-être au travail. Espaces de discussion en entreprise : un vecteur de performance.
Développer le dialogue au sein des entreprises, c’est une des tendances fortes du moment en matière de qualité de vie au travail.
C’est aussi le sujet que l’Anact (Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail) a choisi de mettre au cœur de sa douzième semaine pour la qualité de vie au travail, qui s’est déroulée en juin dernier. Pour l'occasion, son directeur général, Hervé Lanouzière, a tenu à préciser : "Aujourd’hui, les salariés et les employeurs sont d’accord pour dire que les espaces de discussion manquent dans les entreprises. Le sujet intéresse à la fois les organisations syndicales et le Ministère du Travail, dans le cadre de la Loi sur le dialogue social. " Alors qu’il existe déjà dans les entreprises des moments de discussion formalisés (entretiens individuels annuels, réunions du Comité d’Entreprise), que pourraient apporter ces "espaces de discussion" ? Renforcer le dialogue, une demande forte des salariés Trouver la bonne formule. Soutien social et espace de discussion du travail – Semaine de la Qualité de vie au Travail #QVT 2019.
D’abord, intéressons-nous à la notion de soutien.Les recherches en psycho-sociologie estiment que le manque de soutien serait un des facteurs de stress au travail donc bel et bien un véritable levier pour favoriser le bien-être professionnel.
Il est nommé soutien social car il sous entend que le soutien est ce que nous ressentons au contact de ceux qui nous entourent, c’est la relation d’aide donnée par les autres : collègues, managers, direction, clients, fournisseurs, familles, amis…etc.. Qu’entend-on par soutien ? Et bien je crois que c’est l’association de plusieurs choses. Mais je pense que ça passe d’abord par une écoute attentive, respectueuse et bienveillante, lorsque nous nous sentons comprimé-e-s par notre travail ou par notre vie personnelle.
Cela implique d’avoir autour de soi des personnes ressources qui pourront nous prêter un peu plus d’attention que d’habitude. Le soutien peut donc prendre plusieurs natures. La Maison du Travail, association d'accueil des salariés en situation de souffrance au travail. Le Monde, 21.02.2011 La discordance s’accroît, en France, entre la souffrance qui continue de s’aggraver dans le monde du travail et le débat qui s’intensifie dans l’espace public cependant que des mouvements de protestation se manifestent de plus en plus bruyamment dans la cité.
Cette discordance pose des problèmes sérieux à ceux qui sont préoccupés par l’action en vue d’expérimenter de nouvelles méthodes d’organisation du travail. Des solutions existent en effet, mais elles se heurtent à des obstacles dont l’analyse est indispensable avant d’appeler à quelque action que ce soit. A supposer qu’on parvienne à lever ces obstacles, sur quels principes pourrait-on fonder une action visant la reconstruction des rapports entre le travail et la vie ? Groupes-de-parole-au-travail. Garantir la santé organisationnelle de son entreprise au quotidien Le cabinet APSST est déclaré en tant que prestataire de formation professionnelles et est habilité IPRPauprès de la DIRECCTE Siret N° 399 642 677 00039 Organisme de formation Déclaré à la DIRECCTE.
Ambiances et changements en analyse de groupe. 172Que seraient les pratiques analytiques de groupe sans la prise en compte de ce que chacun nomme de façons diverses mais qui recouvre une réalité phénoménologique incontournable de la vie des groupes ?
L’émotionnalité groupale ou l’affectivité groupale, dans laquelle les phénomènes de « dynamique de groupe », d’ambiances, d’atmosphère de groupe sont bien souvent inclus, participe aux multiples effets, recherchés, souhaités, craints ou néfastes du groupe sur la tâche qu’il s’est donnée, offrant une qualité « énergétique » aux liens intersubjectifs, une teinte mobile et changeante aux groupements humains et à leur activité psychique. 173Ces phénomènes spécifiquement groupaux entre l’émotionnel et le sensoriel, articulant l’individuel et le collectif, bien qu’étant régulièrement mentionnés et approchés, n’en demeurent pas moins obscurs. C’est cette obscurité qui nous a conduit à poursuivre une recherche sur les ambiances de groupe (Bittolo, 2004). - Le groupe de parole en entreprise. Parler, c’est exister en tant que sujet, c’est témoigner, expliquer, partager, donner son point de vue.
Dans le contexte particulier de l’entreprise, la parole donne du sens à l’activité, confère une place singulière à chacun et libère les tensions. La parole et le collectif comme source de santé Les travaux de S. Caroly(1) portent sur le dynamisme de l’activité collective comme ressource potentielle de la santé des travailleurs ; la santé étant définie comme l’absence de symptômes pathologiques mais aussi comme une dimension positive du bien être, un développement des compétences et des capabilités.