Fusion froide. La fusion froide est ce qui semble être une fusion nucléaire réalisée dans des conditions de température et de pression ambiantes, utilisant des techniques dérivées d'une expérience réalisée par Martin Fleischmann et Stanley Pons en mars 1989.
Leur expérience se caractérisait par un dégagement de chaleur non explicable par la quantité d'énergie électrique reçue (faisant fondre l'électrode). Histoire de la fusion froide Le 23 mars 1989, deux électrochimistes, Martin Fleischmann et Stanley Pons, secouaient le monde en annonçant, dans une retentissante conférence de presse, avoir trouvé un moyen de produire des réactions de fusion nucléaire, à température ambiante, avec un dispositif expérimental tenant sur un coin de table. Une découverte présentée aussitôt dans les médias comme « aussi importante que celle du feu » car elle semblait ouvrir la voie à l'exploitation facile d'une source d'énergie « propre, bon marché et quasiment inépuisable ».
La découverte du siècle. Fusion Froide - énergie avec la Fusion Froide ! Fusion Froide. Fusion Froide. E-cat : Un réacteur à fusion froide à la maison dès 2013. Et en plus c'est pas cher, j'achéte !
Si tout se passe bien, vous devriez bientôt pouvoir adjoindre à votre chauffage central actuel un dispositif révolutionnaire de 400 à 500 dollars / euros vous permettant de chauffer votre maison avec une simple cartouche recyclable à base de poudre de nickel, pour moins de 20 dollars/euros par an. Jusqu’il y a peu le prix du dispositif avait été estimé à 4000 dollars. Grâce à la volonté de son concepteur, l’ingénieur Andrea Rossi (1950), au partenariat industriel avec National Instruments aux Etats-Unis, et une fabrication hautement automatisée, le prix a été divisé par dix, de façon à couper l’herbe sous le pied des copies par retro-engineering qui ne manqueront pas d’apparaître une fois le système lancé à grande échelle.
Sources pour cet article : L’interview d’Andrea Rossi le 15 janvier par le journaliste scientifique Sterling Allan (Pure Energy Systems News). Résumé en anglais ici. Fusion froide : le retour ? Une photo du dispositif d'Araka.
Crédit : Physicsworld L’information commence à se répandre sur le Web. Un scientifique distingué de l’université d’Osaka, Yoshiaki Arata, serait parvenu à atteindre l’un des Saint-Graal de la physique : la fusion froide. Le 23 mai 2008, il en aurait fait la démonstration devant un parterre de près de 60 scientifiques et membres de compagnies japonaises. Pour couronner le tout, plusieurs journaux et chaînes de télévision, comme la célèbre NHK, étaient présents. Avec son collègue Yue-Chang Zhang, Arata a fait la démonstration d’une sorte de réacteur chimique dans lequel un courant de deutérium à l’état gazeux, un isotope de l’hydrogène, rencontrait de l’oxyde de zirconium contenant du palladium (ZrO2–Pd), le même métal utilisé par Fleischmann et Pons en 1989 dans leur expérience d’électrolyse.
Des résultats déjà annoncés en 1998. Une autre "fusion froide", elle, très prometteuse. Cette centrale peut produire un kilowatt d’électricité au tiers du prix du kilowatt nucléaire, et vingt fois moins cher que le kw photovoltaïque ou éolien.De plus, elle ne nécessite pas d’aller piller les pays d’Afrique comme le nucléaire, pas plus que d’aller y faire la guerre sous de faux prétextes qui ne parviennent à tromper personne.Le principe en est simple et génial, tout comme l’était son inventeur Français, Edgar Nazare.
Celui-ci fait partie des 48 « Savants maudits, chercheurs exclus » répertoriés dans l’excellent livre de Pierre Lance sous ce titre aux éditions Guy Trédaniel, dont je conseille la lecture. Imaginez une sorte de cheminée, largement évasée à sa base, de 300 à 600 mètres de haut. Ce qui était difficile à concevoir il y a 50 ans est aujourd’hui aisé à réaliser, quand on construit des tours de 800 mètres de haut. Vous trouverez tous les détails utiles ici, avec une technicité bien plus grande, j’ai juste voulu rendre l’exposé le plus simple possible à comprendre. Test concluant pour la fusion froide. Le 7 août dernier le prof.
Fusion catalysée par muons. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La fusion catalysée par muons est un procédé qui pourrait permettre théoriquement des réactions de fusion nucléaire sans aucune technique de confinement, grâce à un rapprochement des noyaux des atomes consécutif au remplacement de leurs électrons de liaison par des muons. Ce procédé, qui autoriserait en théorie la fusion dans les conditions ambiantes de température et de pression, a été originellement qualifié de fusion froide, terminologie que l'on préfère désormais réserver à d'autres procédés plus controversés. En raison du faible rendement de ce procédé, son utilisation future comme source d'énergie semble actuellement peu probable.
Principe de fonctionnement[modifier | modifier le code] Les muons sont des particules élémentaires dont la masse est environ 207 fois plus élevée que celle des électrons (~ 105,658 MeV/c2 contre ~ 0,510 999 MeV/c²). L'idée originelle de cette technique est due à Andrei Sakharov et à F.C. Jean-Paul Biberian.
La fusion froide et l’invention d’Andrea Rossi. Catalyseur d'énergie de Rossi et Focardi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le catalyseur d'énergie, ou E-Cat (pour Energy Catalyzer), est un appareil inventé en 2010 par l'inventeur Andrea A. Rossi et le professeur Sergio Focardi. Cet appareil est, selon ses créateurs, le premier équipement destiné à l'usage domestique de fusion froide du nickel, bien que la communauté scientifique n'y voie qu'une pseudo-science. Historique de l'étude des réactions nickel-hydrogène (Ni-H)[modifier | modifier le code]
Fusion froide: selon Rossi l’E-cat pourrait atteindre un COP infini. Fusion froide: en attendant l’E-cat, la Nasa et une société suédoise vont de l’avant… D’autres concurrents de l’E-cat, en provenance de la Suède et des Usa, en particulier de la Nasa, qui a admis être déjà depuis longtemps intéressée à la question des Lenr, pointent le petit bout de leur nez.
Une entreprise du pays nordique, la Climeon, a en effet fait valoir un brevet qui pourrait inquiéter l’ingénieur italien Andrea Rossi, tandis que, de son côté, l’Agence spatiale américaine propose comme chauffe-eau un réacteur nucléaire qui ne fonctionne ni par le biais de la fission ni par le biais de la fusion chaude. La technologie suédoise n’est pas vraiment décrite de façon détaillée, étant donné que le brevet fait encore l’objet de discussions, cependant, comme nous l’apprenons à travers le site de la société en question, « Climeon est en train de développer un processus appelé C3 afin de convertir l’eau chaude en énergie électrique, totalement différente par rapport à toute autre méthode disponible aujourd’hui ».
Fusion froide: l’E-cat de Rossi parmi les nouveautés de la science en 2013. Fusion froide: répliques réussies. Le réacteur de Piantelli obtient le brevet. Le réacteur à fusion froide de Miley obtient un brevet aux USA. Est-ce que la fusion froide LENR est le meilleur investissement pour faire fortune ? Fusion froide et supercondensateur : trop beau pour être vrai? Supercondensateur et fusion froide La fusion froide (appelée aussi LENR) est un mythe qui dure depuis 25 ans : une fusion nucléaire réalisée dans des conditions de température et de pression ambiantes.
Des prototypes de catalyseurs d’énergie permettraient de générer de l'électricité pas cher et de façon sécurisée. Plusieurs brevets ont déjà été déposés sur cette technologie dont on attend toujours la commercialisation. Un certain nombre de scientifiques travaillent effectivement sur ce principe et il est possible de trouver un tas d'articles et de vidéos impressionnantes sur Internet accréditant le fait que la fusion froide serait la solution ultime pour créer une énergie abondante et très peu cher. La question énergétique est et sera de plus en plus un enjeu majeur pour nos sociétés. Pour ceux qui veulent en savoir plus sur la transition énergétique qui s'amorce, voici le dernier livre de Jancovici : Transition énergétique pour tous : Ce que les politiques n'osent pas vous dire.