COP 24. COP 23. COP 22. Des sommets sous les auspices des responsables du dérèglement climatique. How Big Oil could walk the talk on climate change. This story was originally published by Bulletin of the Atomic Scientists and is reproduced here as part of the Climate Desk collaboration.
Imagine Rip Van Winkle as a climate-conscious investor. If Rip had fallen asleep after the Paris climate agreement was drafted in 2015 and woken up today, he might conclude that the fossil fuel industry is rapidly transforming itself to prepare for a carbon-constrained world. ExxonMobil TV ads tout its investments in algal biofuels, Chevron offers electric car charging at gas stations, BP spots on National Public Radio boast of turning garbage into fuel, Shell has acquired a British utility company that now sells only electricity from renewable sources, and the American Petroleum Institute claims to be leading the world in cutting greenhouse gases. But Rip would also be confronted with troubling news of heat waves, drought, flooding, and wildfires, all of whose increased frequency and severity is attributable to climate change.
Prenons le siège de la BNP jeudi 3 décembre à 10h. Première banque française et 9e banque internationale à soutenir le charbon, l’énergie fossile la plus polluante, BNP Paribas a une grande part de responsabilité dans le dérèglement climatique.Détentrice du record mondial de présence dans les paradis fiscaux (171 filiales !)
, BNP Paribas organise l’évasion fiscale et assèche les budgets des États. Le gouvernement français, à sec, fait sponsoriser la COP 21 par des multinationales, dont BNP Paribas. La boucle de l’absurde est ainsi bouclée. Depuis début octobre, des dizaines d’action de réquisitions font monter la pression contre l’évasion fiscale organisée par les banques.
Cyberaction Il n'est plus permis d'exploiter les fossiles. [ 1 031 participations ] cyberaction mise en ligne le samedi 7 novembre 2015 Proposée par Cyberacteurs Elle sera envoyée à Ségolène Royal.
« Nous préparons la plus grande action de désobéissance pour le climat » Figure des milieux alternatifs depuis une vingtaine d’années, John Jordan fait la jonction entre le monde de la création et celui de l’activisme.
Après un parcours dans l’art et le théâtre, il a impulsé le mouvement altermondialiste Reclaim the streets en Angleterre, avant de cofonder puis de déserter l’armée des clowns, dont les brigades de joyeux activistes ont essaimé dans le monde. Depuis quelques années, il est installé en Bretagne, et pilote avec Isabelle Frémeaux le Laboratoire d’imagination insurrectionnelle (Labofii), une sorte d’incubateur d’idées mêlant activisme politique et création artistique. Ensemble mobilisons nous pour la Terre ! Les négociations sur le climat s’enfoncent dans le brouillard.
Encore une occasion manquée.
Énergies fossiles, dividendes, grands barrages et libéralisation : le véritable bilan annuel d'Engie. Le groupe énergétique Engie (ex GDF Suez) s’affiche volontiers comme un champion de la transition énergétique, mais ses pratiques et ses sources de production ont-elles réellement changé ?
La gestion du groupe privilégie-t-elle les intérêts financiers à court terme des dirigeants et des actionnaires (dont l’État français), ou bien ceux des usagers, des salariés, et les intérêts à long terme de l’entreprise elle-même ? C’est à ces questions que tente de répondre l’Observatoire des multinationales à travers son « rapport annuel alternatif » sur Engie.
C’est le second rapport de ce type publié cette année par l’Observatoire, après celui sur Total paru à la fin du mois de mai. Le gouvernement renonce à supprimer les aides aux centrales à charbon. Don't Nuke the Climate! The climate crisis belongs to the defining issues of our time.
In December 2015, we will join movements for climate action, sustainable energy, and environmental, gender and social justice in Paris. As a Nuclear-Free and Carbon-Free Contingent, we demand immediate action from all of the governments of the world at the COP21 Climate Conference. Tout comprendre aux négociations climatiques. La France accueillera dans six mois, du 30 novembre au 11 décembre 2015, la 21e Conférence de l’ONU pour lutter contre le changement climatique.
Décryptage de l’une de ces grand-messes qui ponctuent les négociations climatiques. Qu’est-ce qu’une COP ? La COP21 est la 21e Conférence des parties (en anglais, la « Conference of the Parties », COP) à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC ou UNFCCC en anglais). Cette convention universelle, principal traité international sur le climat, reconnaît l’existence d’un changement climatique d’origine humaine et donne aux pays industrialisés le primat de la responsabilité pour lutter contre ce phénomène.
Elle a été adoptée au cours du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro, le 9 mai 1992, avant d’entrer en vigueur le 21 mars 1994.
Dix questions, dix réponses sur le changement climatique. Mais d’abord, qu’est-ce que le climat ?
Celui-ci désigne l’ensemble des conditions atmosphériques sur Terre à un moment donné : ensoleillement, pluie, neige ou grêle, température, humidité, vent... Elles dépendent de trois facteurs qui s’équilibrent : le rayonnement solaire, l’effet de serre et les grandes circulations atmosphériques et océaniques. Cet équilibre est en passe d’être rompu. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) constate que l’atmosphère et les océans se réchauffent. Ségolène Royal : « Les négociations de l’ONU sont totalement inadaptées à l’urgence climatique » Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Simon Roger (Propos recueillis par) Pour la ministre de l’écologie, les discussions sur le climat qui reprennent à Bonn, lundi 1er juin, ne pourront progresser sans une réforme profonde de la mécanique multilatérale.
Les négociations de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques reprennent lundi 1er juin à Bonn. Sont-elles à la hauteur du défi à relever ? Ségolène Royal : Les négociations de l’ONU sont totalement inadaptées à l’urgence climatique. En privé, tout le monde le dit, tout le monde en est parfaitement conscient, mais la lourdeur du processus est telle qu’il se poursuit comme si de rien n’était. Climat : des négociations déconnectées de la réalité ? Les négociations de l'ONU sur le changement climatique reprennent ce lundi 1er juin à Bonn. Sur la base d'un texte qui élude quelques-uns des nœuds fondamentaux de la crise climatique, notamment la gestion des réserves prouvées d'énergies fossiles et l'avenir de la libéralisation du commerce mondial. Les négociations, qui doivent aboutir lors de la conférence qui se tiendra à Paris-Le Bourget en décembre prochain, reprennent à Bonn (1-10 juin) sur la base d'un texte regroupant les propositions de chacun des 193 pays membres de l'ONU.
Pourtant, ce texte illustre parfaitement le décalage existant entre la réalité des négociations et la réalité du dérèglement climatique. Paris2015 : Genève ne sauvera pas la mise. Nous nous alarmons du décalage grandissant entre ce que le GIEC recommande, ce que les négociations de l’ONU permettent et ce que les gouvernements font. Les mécanismes techniques toujours plus sophistiqués sont déconnectés de la réalité des dérèglements climatiques et des populations qui en subissent les conséquences. Et ils ne permettent pas de neutraliser les tensions politiques, ni de solutionner la crise climatique.
À Lima, les États ont refusé de revoir à la hausse leurs engagements d’ici 2020 comme le préconisent les scientifiques. Au prétexte de la prise en compte des nouveaux (des)équilibres géopolitiques, les pays les plus puissants de la planète essaient de restreindre la portée des principes d’équité et de responsabilités communes mais différenciées. L’échelon national prime désormais dans la définition des contributions nationale, comme si l’objectif commun visant à rester en deçà des 2 °C de réchauffement global avait été abandonné. COP20 : la « contribution » de Lima aggrave la crise climatique. Letter from Lima: What's Wrong with the Climate Movement?
A Lima, l'opposition entre pays riches et pays pauvres a empêché un vrai accord. Il y a deux semaines, le monde entier semblait d’accord : la 20e conférence des parties (COP20) de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), qui s’est déroulée pendant deux semaines à Lima au Pérou, devait aller le plus loin possible dans l’élaboration de l’accord de Paris en 2015. Avec un objectif, limiter le réchauffement climatique à 2°C à la fin du siècle.
Mais cet élan s’est heurté à un vieux démon des négociations onusiennes : les divergences entre pays développés et pays en voie de développement. Ce n’est donc qu’à Une heure dimanche matin (sept heures à Paris) qu’une décision, « l’Appel de Lima pour une action climatique », a finalement été adoptée. Rarement une conférence des parties aura accusé pareil retard. COP20 de Lima : nos attentes.
Les négociations internationales sur le climat ont démarré à Lima. Nom de code : COP20. Une COP, c’est une somme de processus diplomatiques complexes, de réunions formelles et informelles, de négociations autour de la table ou dans les couloirs. C’est aussi, entre les délégations, les ONG, les experts et les médias, environ 10 000 personnes. Dans ce brouhaha qui mêle diplomatie, sciences, politique et revendications, faisons le point.
Dans les rues de Paris, pour le climat Survey. December 1, 2014 - Tell #COP20 Climate Delegates: If Not Cutting Emissions, You Are Failing. Enter Your Information & Send. Why this U.N. climate summit is especially important. Thousands of diplomats from around the world are gathering today in Lima, Peru, in the latest round of wrangling to hammer out a deal to address climate change. This two-week conference is the COP20 — meaning, it is the 20th conference of parties to 1992’s U.N. Appel à faire reculer les projets inutiles : chiche, Monsieur le Président ! Is there any hope for international climate talks? I don’t write very often about international climate talks because it’s super-depressing and nothing ever changes. Which I guess characterizes most things I write about, but something about climate talks in particular really drains the spirit.
Did spying take Copenhagen from Hopenhagen to Brokenhagen? To those interested in trying to stop — or at least slow down — climate change, the 2009 Climate Change Summit in Copenhagen, which was dubbed “Hopenhagen” before it began, is remembered today as “Brokenhagen.” The summit’s failure to come to any kind of agreement was a key factor in pushing climate change activists away from working within governmental channels and towards direct action fights, like Keystone. Proof That the United States Intentionally Tanked Climate Change Talks.
The United States government has assured us time and time again that the NSA’s surveillance actions are for our own safety, yet the latest Edward Snowden leak paints a different picture. According to documents marked “top secret,” the NSA spied on various countries leading up to — and during — a 2009 Copenhagen climate change summit so that the United States could better manipulate the outcome and walk away without having to make meaningful concessions. Though other, smaller countries had previously agreed to caps on emissions in 2007, the world’s biggest polluters — and therefore perpetrators of the problem – declined to cosign. The goal of the 2009 summit was to get power players like the United States, India and China onboard in order to commit to real change, but it appears as though the United States took some extreme steps to ensure that it wouldn’t occur. In particular, the spying allowed the United States to scuttle Denmark’s bargaining power.
A Doha, le match nul des négociations climatiques. Sandrine Bélier est euro-députée Europe Ecologie - Les Verts et membre de la délégation du Parlement européen à la conférence internationale sur le climat qui se tient à Doha (Qatar). Aucun accord ni aucun compromis sur aucun sujet n’a été trouvé pour l’instant à Doha. Les discussions bloquent, encore une fois, sur la question des financements. Climat: lent démarrage des négociations pour l’accord de Paris. La centrale britannique de Drax rejette une vingtaine de millions de tonnes de CO2 par an. Malgré le psychodrame russo-ukraino-biélorusse, les représentants de 194 pays ont légèrement avancé, ces deux dernières semaines, sur la voie qui mènera, peut-être, à un accord climatique mondial, en 2015.
C’était un sommet test. Ces deux dernières semaines, Bonn accueillait le gratin de la négociation climatique internationale. Rien d’étonnant: chaque année, à pareille époque, l’ancienne capitale d’Allemagne fédérale accueille une session de négociation entre deux sommets mondiaux. Malgré son caractère rituel, le round d’observation de ce printemps avait un petit air de nouveauté.
As world dithers on climate treaty, funding for climate projects dwindles. BMW et ArcelorMittal sponsorisent la conférence sur le changement climatique. Une salle de conférence construite par le géant mondial de l’acier ArcelorMittal, de l’eau potable fournie par le constructeur de méga-barrages Alstom, des blocs-notes et stylos offerts par la compagnie d’électricité polonaise PGE, des voitures mises à disposition par les constructeurs Opel et BMW... Et si la France renonçait à accueillir la conférence climat de 2015 ? Climat: Kyoto II, ou le retour de la momie - Page 2. Colloque Développement durable. Doha novembre 2012.
Les impostures du Grenelle de l'environnement. Nature sans prix / Economie "verte"
Conférence environnementale 14-15 septembre 2012.