La censure de Donald Trump par les géants du web dérange l'Europe. Alors que le réseau social ultraconservateur Parler, prisé des partisans de Donald Trump, est hors service depuis lundi, les décisions unilatérales de censure par les géants du web provoquent le malaise dans plusieurs pays européens, France et Allemagne en tête.
Selon un outil de vérification en ligne de référence, Parler est hors ligne depuis minuit (9h ce matin en Suisse), ce qui laisse à penser que ses propriétaires n'ont pas été en mesure de trouver un nouvel hébergeur pour l'instant. Amazon avait annoncé ce week-end dans une lettre adressée au site conservateur qu'il allait lui couper l'accès à ses serveurs, expliquant avoir "observé récemment une augmentation persistante de contenus violents". En retour, Parler a annoncé lundi porter plainte contre Amazon. ÉDITO. Trump « censuré » ? Stop à l'hypocrisie. Comme si nous manquions d’occasion de nous engueuler sur les réseaux sociaux et ailleurs, voilà une nouvelle polémique dans l’air du temps : pour ou contre la suspension des comptes de Donald Trump des plateformes (privées) à l’instar de Twitter, Facebook et autre Instagram ?
Tout le monde y va de son analyse. Et de sa vérité. La semaine dernière plusieurs plateformes numériques ont en effet décidé de supprimer, au moins momentanément – certains jusqu’à la prise de fonction du nouveau président élu, Joe Biden –, les comptes publics de celui qui est encore président des États-Unis. Trump banni de Facebook: «Ce n’est pas aux GAFA de décider de ce qu’on peut dire ou ne pas dire»
Les réseaux sociaux ont-ils le droit de censurer Donald Trump ? Pas un réseau qui n’échappe aux manifestations de surprise, de soulagement ou d’indignation suscitées par le blocage des comptes du futur ex-président américain, Donald Trump, par ces mêmes réseaux sociaux.
Twitter, Facebook, Instagram, Snapchat, Twitch… la vague de rétorsion qui s’abat sur celui qui est accusé d’avoir galvanisé ses troupes pour partir à l’assaut du Capitole le 6 janvier est sans commune mesure. Donald Trump banni de Twitter et Facebook : les réseaux sociaux entre laxisme et censure. Editorial du « Monde ». « You’re fired !
» (« vous êtes viré ! »). Trump banni de Twitter : Les réseaux sociaux sont-ils légitimes à « censurer » le président américain ? Donald Trump a-t-il été censuré ? Courrier International et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires.
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Pour plus d’information, consulter notre politique relative aux cookies. "La censure de Trump sur les réseaux sociaux est une démarche inquiétante" Après que le président américain a appelé ses partisans bien remontés à se ruer sur le Capitole à l’issue d’un discours en plein air à Washington, après que lesdits partisans l’ont pris au mot et envahi le bâtiment abritant les deux Chambres du Congrès, interrompant le processus démocratique de certification du vote des grands électeurs, forçant l’évacuation des élus dans un lieu secret, après qu’une femme a été blessée par balle (elle en mourra quelques heures plus tard), après que Trump a posté une vidéo sur son compte Twitter exprimant son « amour » pour les émeutiers qu’il appelait à se calmer, puis un message disant : « Voilà ce qui arrive quand une victoire électorale écrasante et sacrée est arrachée à ce point sans ménagement et violemment à de grands patriotes qui ont été injustement maltraités pendant si longtemps », Twitter a suspendu le compte de Donald Trump.
Enfin, il convient aussi de se rappeler que ce n’est pas parce qu’on cache un problème qu’il disparaît. Les réseaux sociaux sont-ils légitimes pour censurer Trump ? Pour franceinfo, le respect de votre vie privée est une priorité.
Trump muselé : victoire de la démocratie ou progrès de la censure ? Depuis le 8 janvier, Donald Trump est définitivement interdit de séjour sur Facebook et sur sa filiale Instagram.
Banni de YouTube. Et Twitter, dont le Donald a fait un usage trépidant, s’attirant plus d’une fois les "avertissements" de ses modérateurs, a supprimé définitivement son compte. Le président sortant était pourtant un "bon client" : peu de politiciens auront twitté avec une telle frénésie. Le réseau social a été, pour lui, le moyen idéal de contourner les grands médias légitimes qui lui étaient hostiles. Avec 88 776 000 followers, il était l’une des cinq personnalités les plus suivies du monde.
Donald Trump et la censure sur les réseaux sociaux : un débat complexe. Après les événements au Capitole, à Washington, qui ont fait 5 morts et achevé la présidence de Donald Trump dans un maëlstrom politique, Facebook, Twitter, Snapchat et YouTube ont décidé de censurer le président des Etats-Unis et de suspendre, voire de fermer définitivement ses comptes.
La décision est spectaculaire, alors que Donald Trump avait fait de son compte Twitter son principal instrument de communication. Pour se rendre compte de ce que cela représente, rien qu'en 2020, Donald Trump a envoyé 6.280 tweets, soit 17 tweets par jour en moyenne, et a retweeté 5.956 fois. La fermeture du compte du président américain a, inévitablement, créé un vif débat entre les partisans de la liberté d'expression et ceux qui demandent de réguler les contenus. Twitter, comme les autres réseaux sociaux, est une entreprise privée qui exploite une plateforme de contenus. La question de l'impartialité politique. Pour ou contre la censure de Trump par les GAFA ? Publié le 14 janv. 2021 à 17:36 On l'écrit noir sur blanc : depuis vendredi 8 janvier, le compte de Donald Trump (88 millions d'abonnés) est suspendu définitivement sur Twitter.
Sur Facebook, Instagram, Snapchat et Twitch, le président américain est banni pour au moins deux semaines. Mais, pourquoi ces plateformes ont-elles pris une décision aussi radicale ? Selon ces entreprises, Donald Trump - en publiant sur les réseaux sociaux - a incité à la violence et serait en partie responsable des attaques au Capitole du mercredi 6 janvier. « Nous pensons que permettre au président de continuer à utiliser nos services pendant cette période pose des risques trop grands », avait ajouté Mark Zuckerberg, patron de Facebook, sur son réseau social.
Même si certains adversaires politiques félicitent l'initiative, d'autres contestent cette décision prise à quelques jours de la fin du mandat du président américain. Médias sociaux : après l'exclusion de Trump, la question de la censure et l'impératif d'évoluer. Les plates-formes de médias sociaux sont coupables d’avoir sous-estimé les conséquences réelles de la désinformation largement diffusée via leurs canaux depuis des années. Elles semblent en avoir pris conscience suite à l’insurrection au Capitole du 6 janvier, qui a fait trembler la branche législative américaine. L’enquête en cours va sans doute révéler que la catastrophe démocratique a été évitée de peu. Dans les jours suivants, sans consulter qui que ce soit, sans même une réelle action coordonnée entre elles, Twitter, Facebook et YouTube ont supprimé de nombreux comptes, y compris ceux de Donald Trump.
Google, Apple et Amazon ont exclu l’application Parler, utilisée par les trumpistes comme une sorte de base de repli. États-Unis : pourquoi Twitter et Facebook sont accusés de censure par les pro-Trump. A seulement trois semaines de la présidentielle américaine, Facebook et Twitter ont encore du mal à se positionner et à éviter les critiques. Les deux réseaux sociaux ont-ils censuré un article critique envers le candidat démocrate Joe Biden ? C'est ce qu'affirme le New York Post dans un éditorial publié mercredi. Les Républicains crient de leur côté à la partialité et plus surprenant : le patron de Twitter trouve la communication de sa propre plateforme "inacceptable".
"Notre communication sur nos actions concernant l'article du New York Post n'a pas été super. Et bloquer le partage de l'adresse internet de l'article avec zéro contexte expliquant pourquoi : inacceptable", a déclaré Jack Dorsey, le fondateur de Twitter, mercredi soir. Affaire ukrainienne Que s'est-il donc passé ? Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement. Donald Trump censuré par les réseaux sociaux : les craintes de la classe politique française. Démocratie, pluralité du débat, Trump et les GAFAM : la prise de conscience - Editos - Marianne TV. «Pas de liberté (d’expression) pour les ennemis d’Édouard Louis»
Mark Zuckerberg fait son mea culpa : Facebook aurait dû censurer l'appel aux armes d'une milice. Le président américain Joe Biden a annoncé une série de décrets, avec au programme le changement climatique, l’immigration et d’autres questions cruciales Hier (mercredi 20 janvier), Joe Biden a posé sa main sur la bible et a prêté serment. Il est officiellement devenu le 46ème président des États-Unis.
Maintenant, « le vrai travail commence. » Tandis que la Maison Blanche s’apprête à se lancer dans des projets législatifs ambitieux pour faire face à la crise climatique et à la réforme de l’immigration, Biden a pris une longueur d’avance en dévoilant un ensemble de décrets pour entériner, une bonne fois pour toute, l’ère Trump. « Je vais commencer par tenir mes promesses face au peuple américain, a déclaré M. Biden depuis le Bureau ovale mercredi après-midi, reconnaissant qu’« il y a encore un long chemin à parcourir. » Stopper le mur frontalier Abrogation du « Muslim Ban » Retour sur l’Accord de Paris L’une des premières mesures prises par M.
Protection des « Dreamers » TRIBUNE. "Censure de Donald Trump sur les réseaux sociaux : Mark Zuckerberg maître du monde?" 19h00 , le 9 janvier 2021, modifié à 12h03 , le 10 janvier 2021 Olivier Babeau, président de l'Institut Sapiens, professeur à l'université de Bordeaux et essayiste (dernier livre paru : Le Nouveau Désordre numérique, Buchet-Chastel), revient sur la censure des comptes Twitter et Facebook de Donald Trump. Voici la tribune d'Olivier Babeau, président de l'Institut Sapiens : "Une crise démocratique peut en cacher une autre. Le fait le plus remarquable des récents événements américains est peut-être moins l'occupation spectaculaire du Capitole que la décision de grands réseaux sociaux de censurer le président encore en exercice. Peu importe que l'on approuve ou que l'on condamne l'attitude de Trump. Il ne s'agit pas non plus de se prononcer sur sa responsabilité dans les violences.
Twitter et Facebook ont pris le pouvoir face à Donald Trump après les violences du Capitole. C'est sans précédent dans l'histoire des réseaux sociaux : le président des États-Unis ne pouvait plus s'exprimer sur Facebook, Instagram, Twitter mais aussi Snapchat ou Twitch et dans une moindre mesure YouTube après l'intrusion ce mercredi 6 janvier de militants pro-Trump à l'intérieur du Capitole, à Washington. Dans un premier temps, alors que les supporters du milliardaire républicain manifestaient dans un climat insurrectionnel, Facebook avait simplement supprimé une vidéo postée sur le compte de Donald Trump, puis suspendu temporairement son compte. Ce jeudi 7 janvier, le PDG de Facebook a finalement pris des mesures plus drastiques à l'encontre du locataire de la Maison Blanche.
Mark Zuckerberg a annoncé que les comptes Facebook et Instagram de Donald Trump resteraient bloqués pour une durée indéterminée et pendant "au moins les deux prochaines semaines". Twitter, de son côté, a d'abord suspendu temporairement le compte @realDonaldTrump du président des États-Unis pendant 12h. Trump banni de Twitter: Mélenchon s'étonne de la "censure" des réseaux sociaux. Médias sociaux : après l'exclusion de Trump, la question de la censure et l'impératif d'évoluer. Débat : fallait-il bannir Trump de Twitter ? Trump censuré par Twitter : la schizophrénie des dirigeants politiques français. Faut-il censurer Donald Trump ? « Si vous comptez les votes légaux, je gagne largement. Si vous comptez les votes illégaux, ils peuvent essayer de voler l’élection. » Lors d’une allocution télévisée, dans la soirée du jeudi 5 novembre, Donald Trump a usé d’une rhétorique complotiste et diffusé de fausses informations à propos du décompte des voix de l’élection présidentielle.
Yves Citton : “Quoi que dise Trump, son contradicteur est piégé” Pourquoi la « déplateformisation » de Trump était inévitable. Sans titre 68. "Le paradoxe de la tolérance" ou les limites de la démocratie selon Karl Popper. La tolérance a-t-elle des limites en démocratie ? La question revient dans le débat public alors qu'au nom de la liberté d'expression, certains déplorent la suspension des réseaux sociaux de Donald Trump survenue à quelques jours de son départ de la Maison Blanche, après que celui-ci a incité ses partisans à manifester contre la certification du résultat des présidentielles instituant Joe Biden en tant que nouveau chef d'État.
"La censure de Trump sur les réseaux sociaux est une démarche inquiétante" Les réseaux sociaux sont-ils légitimes pour censurer Trump ? Donald Trump a-t-il été censuré ? Trump muselé : victoire de la démocratie ou progrès de la censure ? Trump : les GAFA, nouveaux maîtres de la censure ? Donald Trump et la censure sur les réseaux sociaux : un débat complexe.