#apresJ20 #apresJ60 : sur les réseaux sociaux, des malades font état de formes longues du Covid. Certains ont cru être guéris.
Jusqu'à ce que la fièvre, les difficultés respiratoires, la toux, reviennent, encore et encore. Sur les réseaux sociaux, de nombreux témoignages font état de formes longues du Covid-19, encore inexpliquées. "Nous sommes une bizarrerie que personne ne semble comprendre", résume un malade. Sur Twitter, les témoignages de patients continuant à ressentir des symptômes du Covid-19 de longues semaines, voire des mois, après leur infection s'accumulent. Ainsi, les hashtags #apresJ20 et #aprèsJ60, regroupaient ce lundi à eux deux plus de 8 300 tweets en un mois, selon l'outil de veille Visibrain. "J54... encore combien ? " Douleurs aux poumons, difficulté à respirer, fièvre persistante : autant de symptômes récurrents, qui vont et viennent, jouant avec les nerfs et le moral des malades.
Beaucoup confient leur détresse. À l'épuisement, à l'usure face à cette maladie qui n'en finit pas, s'ajoute le sentiment de ne pas être pris en compte par la communauté médicale. Aux États-Unis, des autopsies montrent que le coronavirus circulait depuis janvier. Coronavirus : une découverte confirme que sa mutation était d’origine naturelle. Un ancêtre indirect du coronavirus SARS-CoV-2 a été découvert : il permet de confirmer qu'une mutation chez SARS-CoV-2 n'a rien de si exceptionnelle, mis à part son contenu.
Cela ajoute aussi un chaînon à l'évolution ayant mené à Covid-19. Le coronavirus RmYN02 a été identifié à partir de plus de 200 échantillons génétiques provenant de chauve-souris issues de la province de Yunnan. Ces échantillons datent de mai à octobre 2019. Les résultats du séquençage montrent que des parties entières du génome de RmYN02 sont apparentées à SARS-CoV-2 — jusqu’à 97.2 % d’ARN partagé.
La petite différence repose notamment dans la protéine en forme de pointe, qui sert à attaquer les cellules humaines : RmYN02 diffère de telle sorte à ce qu’il ne puisse pas infecter des humains. Mais ce qui est intéressant, ici, ce sont les points communs. Coronavirus : une application sur smartphone permet de se tester, la solution pour le déconfinement ? C'est une application qui pourrait être la solution pour sortir de l'épidémie, xRcovid.
Sur des bandelettes, pas encore disponibles en pharmacie, on dépose une goutte de sang. La caméra de votre smartphone la scanne automatiquement. Covid-19, xRcovid application mobile d’interprétation de tests de diagnostic rapide Un algorithme lit les données à la place du personnel médical et affiche le résultat. L'objectif est de permettre un déconfinement massif et en sécurité. " Coronavirus : malade depuis six semaines, la députée Michèle Victory "n'a eu aucune explication" Coronavirus : "Le président se trompe, les Français doivent porter un masque dès maintenant", assure Philippe Juvin. Le chef des urgences de l'hôpital européen Georges Pompidou a assuré dimanche sur franceinfo que toutes les recommandations scientifiques allaient dans le sens de se couvrir au maximum la bouche pour limiter la propagation du virus.
"Les Français doivent porter un masque au moment du déconfinement mais aussi dès maintenant", assure ce dimanche 19 avril sur franceinfo Philippe Juvin, le chef du service des urgences à l’hôpital européen Georges Pompidou à Paris. "Un masque vaut mieux que rien du tout, même fabriqué à la maison. Il vaut mieux se couvrir la bouche et le nez", précise-t-il. Covid-19 : fin de partie ?! - Anthropo-logiques. Telle était la tonitruante affirmation proférée le 26 février dernier par le meilleur infectiologue au monde (selon le classement expertscape), accueillie pourtant avec scepticisme et même sarcasmes par la communauté scientifique.
Trois semaines plus tard, la réalité est en train de lui donner raison. (18) Pr Perronne : "À l’hôpital de Garches, nous avons de bons résultats avec l’hydroxychloroquine" Coronavirus : selon l’OMS il n’est pas certain que tous les patients guéris du Covid-19 soient totalement immunisés. « En ce qui concerne la guérison puis la réinfection par le virus, nous n’avons pas de réponses.
Il y a une inconnue », a assuré ce lundi Mike Ryan, directeur du programme de l’OMS de gestion des situations d’urgence sanitaire, lors d’une conférence de presse au siège de l’organisation à Genève. Une étude sur des patients à Shanghai a en effet révélé que certains patients ne « développaient pas d’anticorps » tandis que d’autres avaient une réponse très élevée, a détaillé Maria Van Kerkhove, épidémiologiste à l’OMS rapporte CNBC. « On pourrait s'attendre à ce qu'une personne qui génère une réponse immunitaire avec des anticorps détectables soit protégée pendant un temps », s’interroge Mike Ryan.
Mais, « nous ne savons tout simplement pas quelle est est la durée de cette période. Nous pourrions nous attendre à une période de protection raisonnable, mais il est très compliqué de le dire avec un nouveau virus ». Coronavirus : Qui sont les « super-propagateurs », qui contaminent un grand nombre de personnes ?