Le monde d'après – Imaginons ensemble le monde d'après. Anne Boyer: This Virus - Whitechapel Gallery. Des chauve-souris et des hommes : politiques épidémiques et coronavirus. Rendre le pangolin familier. Pour une lecture anticapitaliste des pandémies. Affirmer que le Covid-19 est une pandémie capitaliste pourrait paraître absurde.
Après tout, les virus sont des corps naturels qui existent indépendamment de toutes structures sociales et qui ont d’ailleurs frappé l’humanité bien avant que celle-ci ne soit dominée par les systèmes capitalistes. Des épidémies de « peste » frappant la Grèce antique à la Peste Noire touchant les sociétés précapitalistes eurasiatiques, les preuves ne manquent pas : le capitalisme n’a pas inventé les pandémies. Prétendre qu’il pourrait être responsable du covid-19 semble donc soit insensé soit « complotiste » (pour reprendre l’adjectif utilisé généralement pour disqualifier toute pensée critique qui cherche à remonter la chaîne des responsabilités sociales d’un phénomène). Lettre d’info de l’assemblée de la Plaine confinée, mais pas con finie ! Témoignage d'un médecin. Au début de la crise sanitaire, les masques de protection du personnel soignant manquant cruellement, la direction de l’établissement de soins où je travaille a décrété que tout le monde est réquisitionné, continue à travailler, mais qu’il n y aurait pas de masques pour tout le monde.
Even This Review Is a Dildo: On Paul B. Preciado’s “Countersexual Manifesto” “Architects are needed.
Architects of beauty who fashion jouissance — a very subtle material.” — Luce Irigaray, “The Fecundity of the Caress” ONE MORNING in the fall of 2005, when I was in the 10th grade, a classmate called Audrey quietly handed me a lumpy wrapped package. Psychiatrie confinée et nouvelle anti-psychiatrie covidienne. Depuis bientôt quinze jours, les équipes de psychiatrie, les patients et leurs familles ont du s’adapter à la situation nouvelle qu’impose le confinement de la population.
La transmission possible du virus impose des règles strictes dans les lieux de soins allant à rebours de ce qui permet habituellement le soin psychique. Depuis deux semaines, un genre nouveau d’anti-psychiatrie dicte les règles de la psychiatrie confinée. Cette anti-psychiatrie covidienne rend difficile la possibilité même de soins psychiatriques et psychiques. Pour autant, tenter un décryptage sur le vif de ce qui se passe et partager quelques initiatives est nécessaire pour que ce confinement ne rime pas avec de nouveaux cloisonnements. Evolution des antipsychiatries. Infection au nouveau Coronavirus (SARS-CoV-2), COVID-19, France et Monde. Depuis l’émergence de cette nouvelle maladie, COVID-19, en janvier 2020, tous les agents de Santé publique France sont mobilisés et la complémentarité de leur métier s’exprime pleinement au service de la population.
Leur action consiste à surveiller et comprendre la dynamique de cette épidémie, anticiper les différents scénarii et mettre en place des actions pour prévenir et limiter la transmission de ce virus sur le territoire national. La réserve sanitaire est fortement mobilisée depuis le début de l’épidémie. Covid-19 : fin de partie ?! - Anthropo-logiques. Telle était la tonitruante affirmation proférée le 26 février dernier par le meilleur infectiologue au monde (selon le classement expertscape), accueillie pourtant avec scepticisme et même sarcasmes par la communauté scientifique.
Trois semaines plus tard, la réalité est en train de lui donner raison. Révélant au passage que nous aurions à peu près tout faux face au virus. Coronavirus Covid-19 (ex 2019-nCov) Publié le31.03.20 mise à jour20.01.21 Retrouvez-ici des informations générales sur la Covid-19 et les réponses à vos questions basées sur les travaux de recherche scientifique.
Les coronavirus sont une famille de virus, qui provoquent des maladies allant d’un simple rhume (certains virus saisonniers sont des coronavirus) à des pathologies plus sévères comme le MERS-CoV ou le SRAS. Le virus identifié en janvier 2020 en Chine est un nouveau coronavirus, nommé SARS-CoV-2. La maladie provoquée par ce coronavirus a été nommée Covid-19 par l’Organisation mondiale de la Santé - OMS.
Depuis le 11 mars 2020, l’OMS qualifie la situation mondiale de la Covid-19 de pandémie ; c’est-à-dire que l’épidémie est désormais mondiale.
(20+) Rémunérer les actionnaires malgré la crise ? Les entreprises divisées. Hors du petit monde des grandes entreprises et des marchés financiers, la question ne ferait sans doute pas débat une seconde.
Elle agite pourtant l’élite économique internationale et bien des états-majors de grands groupes alors que l’économie est mise au ralenti par la pandémie de Covid-19 : faut-il renoncer cette année au versement des dividendes, soit la part de profit dégagée par les sociétés pour rémunérer leurs actionnaires ? Ce lundi, Airbus a clairement répondu à cette interrogation. Durement affecté par la crise du transport aérien, le constructeur a décidé de «retirer» sa proposition de payer 1,80 euro à chaque détenteur d’une action Airbus. Cette décision va permettre au fabricant aéronautique d’épargner 1,4 milliard d’euros.
Grâce à elle et d’autres mesures exceptionnelles, comme la sécurisation d’une ligne de crédit de 15 milliards d’euros, «la société dispose de liquidités importantes pour faire face à des besoins de trésorerie liés au coronavirus», explique Airbus. Covid-entraide France. Télétravail et travail domestique: nos vies confinées sont inégalitaires. Enseignante-chercheuse, je fais partie des personnes qui peuvent exercer leur activité professionnelle depuis leur domicile.
Je m’estime privilégiée car je ne prends pas de risque personnel, et ne mets en pas en danger la collectivité, pour satisfaire les attentes de mon employeur. Je peux ainsi rester à la maison avec mes deux filles et mon neveu, dont la mère, infirmière en centre hospitalier, est en première ligne pour affronter le virus. « Les connards qui nous gouvernent », par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 19 mars 2020) L’Internet pendant le confinement. On parle beaucoup en ce moment d’une « saturation des réseaux », de « risques pour l’Internet », qui justifieraient des mesures autoritaires et discriminatoires, par exemple le blocage ou le ralentissement de Netflix, pour laisser de la place au « trafic sérieux ».
Que se passe-t-il exactement et qu’y a-t-il derrière les articles sensationnalistes ? La France, ainsi que de nombreux autres pays, est confinée chez elle depuis plusieurs jours, et sans doute encore pour plusieurs semaines. La durée exacte dépendra de l’évolution de l’épidémie de COVID-19. La peste et le corona. L'humanité malade du corona : "Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés." Coronavirus, un révélateur de fracture sociale. Cela ne fait pas encore une semaine et déjà, les curseurs sont poussés au maximum : depuis le déploiement des mesures barrière mardi, la fracture sociale n’a jamais été aussi saillante.
Surlignée. Flagrante. Journaux de confinement, la lutte des classes. Il y a la littérature d’épidémie mais aussi, dans un autre registre, le "journal de confinement". Un genre qui se multiplie ces jours-ci et engendrera sans doute une sorte de « manuscrits boom » après le passage du coronavirus. Pour l’heure, les premières tentatives publiées suscitent surtout l’indignation. Evidemment, écrivain confiné égale journal de bord, c’est presque mathématique. D’autant que nous vivons un moment "dramatique certes, mais historique" comme le soulignait l’auteur italien Roberto Ferrucci depuis sa mortuaire Venise.
Crise sanitaire : agir par la solidarité et la justice sociale. Le 17 mars, un confinement des populations en France a enfin débuté. Depuis plusieurs semaines, les exemples chinois et italien nous montrent que c’est la seule voie possible pour faire face à l’épidémie. Ce confinement aurait dû être anticipé au vu des déclarations de l’ancienne ministre de la santé. Il ne s’agit pas ici de faire le bilan alors que l’urgence est de contenir l’extension de la maladie, mais de prendre date pour que toute la lumière soit faite sur la séquence une fois la crise passée. Pour autant, les discours culpabilisants une « population irresponsable » n’ont pas de fondement alors que la communication du gouvernement a été pour le moins confuse et contradictoire. Par ailleurs, cette pandémie survient alors que des années d’austérité budgétaire ont affaibli un hôpital public de plus en plus géré comme une entreprise selon des critères de rentabilité.
Face à l’urgence sanitaire, la solidarité au poste de commandes.