LA RECHARGE - L'épicerie sans emballages. Les Johnson : un couple, deux enfants et zéro déchet depuis trois ans. La famille Johnson – @ Thomas J.
Story Béa Johnson et sa famille sont connus Outre Atlantique pour un défi qu’ils relèvent depuis trois ans : vivre sans générer de déchets. Pourquoi ce choix ? Comment s’organise leur quotidien ? Alors que la semaine de réduction des déchets se termine aujourd’hui, j’ai voulu en savoir plus. Une consommation vide de sens Béa Johnson est française. C’est alors qu’elle persuade son mari de déménager, d’aller vivre à l’extérieur de cette immense agglomération qu’est San Francisco : ils choisissent Mill Valley, dans la banlieue nord, à côté de Sausalito.
Avec le temps, Béa Johnson s’enrichit de ce dont elle s’allège. Un quotidien sans déchet Forts de cette prise de conscience, les Johnson commencent à s’informer et à se documenter sur l’écologie, le désencombrement, la sobriété heureuse. Au quotidien, ils revoient leurs habitudes, scrutant chaque détail, évaluant chaque besoin, raisonnant chaque envie. Soutenez prioriterre ! Publications ADEME. Résumé : Ce document présente une analyse synthétique des études quantitatives portant sur les modes de vie et les aspirations de la population française permettant de se faire une idée des possibilités de développement de l’économie circulaire, analysé sous l’angle des consommateurs.
L’ensemble des enquêtes menées auprès de la population au cours des 25 dernières années montrent indéniablement une prise de conscience écologique des consommateurs. Les connaissances en matière environnementales ont progressé et de nombreux comportements ont évolué. C’est le cas en matière de prévention des déchets puisqu’on voit une nette diminution de la quantité de déchets produits par habitants depuis le début des années 2000. Ici, la sensibilité écologique et l’accompagnement des pouvoirs publics ont joué un rôle important dans les changements d’attitude de la population. Public : Mais qu'est-ce qu'une "Givebox" ? Crédit DR Tout a commencé entre un grillage et le mur d’un immeuble.
Andreas Richter, un styliste berlinois, voyait au fil du temps s’accumuler dans les endroits poussiéreux de son appartement de plus en plus d’objets dont il ne se servait plus, voire dont il ne s’était jamais servi. Dans ces cas là il nous reste d'habitude l’ultime espoir de pouvoir revendre dans un vide grenier pour trois fois rien cette vieille lampe que nous a donné notre grand-mère pour notre premier studio, puis qui finalement nous reste sur les bras. Conscient de l’énergie que cela prendrait pour se débarrasser de tout, et las de voir son appartement crouler sous ses babioles, le jeune allemand a donc décidé de donner vie à ce qu’il a appelé la « Givebox ». Le principe est simple.
Le « Freeganisme » à la sauce 2.1 La Givebox : plus qu'une mode, un autre mode de vie Le début d'une belle histoire ? Chronique de Coline Serreau. J’ai été sollicitée récemment par un élu, François Michel Lambert, pour être la marraine de l’Institut de l’économie circulaire.
En étudiant les documents et en écoutant les invités parler lors de la réunion de démarrage, je me suis dit deux choses. Tout d’abord que ce "concept", comme ils disent, était frappé au coin du bon sens. La nature n’a t-elle pas, depuis des milliers d’années, fonctionné sur ce principe ? Les déchets des uns (déjections d’animaux, feuilles mortes..) servant à nourrir les autres (arbres, plantes) qui eux même servent à nourrir les premiers. L’aveuglement dont nous autres humains sommes capables m’étonnera toujours. Nous avons sous les yeux un modèle formidable qui fonctionne parfaitement et nous décidons de ne pas en tenir compte, voire même de faire exactement tout le contraire. Quelques centaines d’années plus tard, après avoir tout dévasté, nous décidons de lever le nez du guidon et de regarder comment le monde fonctionne.
Coline Serreau. Le lancement du rapport Mckinsey dans les médias. La liste n’est pas exhaustive, les articles publiés à l’occasion du lancement du second rapport Ellen MacArthur Fondation/McKinsey « Vers une économie circulaire » fin janvier à Davos ont été nombreux.
La presse anglaise, française, mais aussi néerlandaise ont relayé l’information et fait notamment mention du chiffre clé qui ressort de notre étude : l’économie circulaire pourrait permettre une économie de 700 milliards de dollars d’économies réalisées par an dans le secteur des biens de consommation courante. La presse, les sites d’information en ligne, mais également la télévision, à travers des interviews d’Ellen à la BBC ou sur la chaîne CNBC, se penchent avec un intérêt grandissant sur le modèle que promeut la Fondation. Ici seuls les articles français ont été retenus, pour une revue de presse complète voir notre page Media Coverage.
Les Echos 27/01/2013A Davos, derriere l’eclaircie, la peur de la rechute We Demain Numéro 3. Blogs Birdeo 06/02/2013Edito Download as PDF. Site officiel de l'Institut de l'économie circulaire, association nationale multi-acteurs ayant pour objectif la promotion de l'économie circulaire.