Europe: une partie de l’épargne bientôt saisie en banque. OPINION.
De nombreux Etats sont aujourd’hui tellement endettés qu’ils ne sont même plus en mesure d’assurer le remboursement des intérêts de leurs dettes. La conséquence ubuesque de cette situation en est l’apparition de taux d’intérêt négatifs, qui impliquent qu’en leur prêtant de l’argent, les banques centrales leur versent des intérêts dans le même temps! Une nouveauté historique en somme!
Imaginez! Votre banque vous prête 100 000 francs à –0,5%. Une crise financière grave Naturellement, en cas de crise financière grave, un tel Etat n’est absolument pas en mesure de renflouer des banques ou des compagnies d’assurances en difficulté étant donné qu’il a déjà du mal à rembourser ses dettes lui-même. Après tout, il faut bien prendre l’argent où il est.
Blocage des contrats d’assurance vie en France A lire aussi: Fraude fiscale en France: ce que dit la loi Sapin 2. Obligations vertes : 5 raisons de choisir la gestion passive. Les flux à destination des ETF ESG, comme les émissions d’obligations vertes sur le marché primaire ont battu tous les records en 2019.
Mais la tendance de l’investissement durable n’en est qu’à ses débuts. François Millet, Expert ESG pour Lyxor ETF, nous donne cinq raisons de préférer une approche passive pour investir dans les obligations vertes. L’urgence climatique a semé le chaos en 2019 sur tous les continents : cyclone Idai dans le sud-est de l’Afrique, températures record en France, inondations à Venise1, incendies dévastateurs en Australie… Le tableau est bien sombre, mais le changement de mentalité sensible que nous avons pu observer en 2019 apporte une lueur d’espoir. Le mouvement Extinction Rebellion, l’introduction en bourse de Beyond Meat, l’effet Greta sont autant de signes d'une dynamique en formation et comme l’ont montré les collectes de l’année dernière, les investisseurs n’y sont pas indifférents.
Nous pensons que la finance peut contribuer à changer le monde. 1. 2. » « Quelque peu troublants » : La BRI met en garde contre un cataclysme financier au moment où le total des emprunts à taux négatif atteint 17 000 milliards de dollars. Source : ZeroHedge, Quand la « banque centrale des banques centrales » sort son rapport trimestriel, le monde devrait y prêter attention.
Dimanche dernier, Claudio Borio, directeur du Département Politiques Économiques et Monétaires à la Banque des Règlements Internationaux (BRI), a annoncé l’édition de septembre du rapport trimestriel de la BRI qui dévoile que le consentement grandissant aux taux d’intérêts négatifs a atteint des niveaux « quelque peu troublants ».
Cette déclaration intervient après que la Réserve fédérale et la Banque centrale européenne (BCE) ont abaissé leurs taux directeurs pour parer à un ralentissement mondial du secteur manufacturier. . « La marge de manœuvre de la politique monétaire s’est encore amenuisée. Si une récession intervenait, la politique monétaire ne suffirait pas ; elle devrait être accompagnée au minimum d’une fiscalité avisée dans les pays qui disposent encore d’une certaine marge de manœuvre. » — European Central Bank (@ecb) September 12, 2019. BlackRock répond à la polémique sur son rôle supposé dans la réforme des retraites.
Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFM Business Le premier gérant d'actifs de la planète se défend de s'immiscer dans la réforme des retraites française et rappelle qu'il n'est pas un fonds de pension.
Après avoir dans un premier temps botté en touche, refusant de commenter la polémique, BlackRock change son fusil d'épaule. Dans un communiqué diffusé jeudi, le géant américain de la gestion d'actifs répond qu'il n'a "en aucune manière" cherché à influencer la réforme du système de retraites, après avoir été ciblé par des responsables politiques, sur les réseaux sociaux, ou à l'occasion de manifestations. Le plus grand gérant d'actifs au monde (avec pas moins de 6.840 milliards de dollars d'actifs sous gestion) s'est vu accusé de faire valoir auprès des décideurs le régime de retraite par capitalisation, au détriment du système français actuel par répartition. BlackRock n'est pas un fonds de pension La répartition reste "le socle" du système français JLD avec AFP Tweeter A lire aussi.
Ces banques et assurances françaises qui financent l'expansion coloniale israélienne. Une enquête menée par un collectif de syndicats et d’organisations de défense des droits humains françaises et palestiniennes, révèle comment les principales banques françaises soutiennent l’expansion coloniale israélienne aux dépens des territoires palestiniens, et de la construction de la paix.
Pourtant, la France a officiellement condamné cette colonisation et soutenu les résolutions des Nations Unies en la matière. Les auteurs du rapport espèrent que ces banques hexagonales imiteront les grands fonds d’investissements européens et états-uniens qui excluent tout financement de la colonisation israélienne. La colonisation israélienne de la Palestine dure depuis cinquante ans.
Le blocus de la bande de Gaza depuis dix ans. « Les colonies israéliennes en territoire palestinien occupé ne font pas partie d’Israël comme défini par les frontières de 1967 et sont illégales au regard du droit international », rappellent la résolution du Conseil de sécurité de l’ONU du 23 décembre 2016.