En quoi la disposition des élèves dans une classe influe-t-elle sur leur concentration ? De nos jours, plusieurs élèves rencontrent des difficultés comportementales : manque de concentration, autonomie limitée, bavardages incessants, etc.
« On ne peut plus demander aux élèves de rester assis face à un professeur 7 heures par jour » Depuis 5 ans, l'Institution Notre-Dame Saint-Jean de Besançon* a entrepris un projet d’envergure visant à établir une pédagogie active et dynamique.
Une démarche qui vient transformer progressivement la posture de l’enseignant. Les explications de Frédéric Stenger, chef d’établissement coordonnateur de l’Institution. Classe de demain : Vous avez initié un projet global d’innovation pédagogique. Quels ont été les déclencheurs ? Frédéric Stenger : Cette démarche est née d’un échange créé il y a 5 ans environ avec l’établissement québécois de Saint-Anne à Montréal.
CDD : En quoi le changement de posture de l’enseignant est central ? FS : La notion même de pédagogue, ou de transmetteur, a complètement changé. CDD : Comment accompagnez-vous les enseignants dans cette démarche ? On a vu la classe du futur et une chose est sûre, l’école d’aujourd’hui a tout faux. Un premier prototype de classe du futur a été développé à Chambéry.
L’occasion de réfléchir à l’école de demain et les pédagogies souhaitables. Qu’on se le dise, le futur sera collaboratif et non compétitif. Va-t-on bientôt dire « peut mieux faire » au schéma classique de la salle de classe qui repose sur une brochette d’élèves assis dans le silence à écouter parler le prof pendant une heure ? Le futur est en train de repenser la classe et, avec elle, le système d’apprentissage. Un prototype de classe virtuelle et connectée, développé par Pixminds et le Liris, a d’ailleurs fait sa rentrée à Chambéry. Alors que We Demain et Franceinfo organisent l’événement « Et si on changeait l’école », le 24 septembre, 20 Minutes voyage dans l’avenir pour explorer les nouvelles façons d’apprendre. . « On construit une connaissance commune » Coopération, créativité, compassion… Et cette classe ne vient pas du futur pour rien. L’école la plus novatrice du monde… en Haïti. Authentication CAS nécessaire !
La rentrée scolaire est désormais derrière vous, et vous avez fait la connaissance de vos élèves.
Peut-être vous êtes-vous déjà aperçu que, pour répondre à leurs différents besoins, des modifications seraient nécessaires dans votre salle de classe ? Mieux encore, maintenant que vos élèves ont pris leurs marques, laissez-les vous faire part de leurs souhaits en matière d’aménagement de classe. En effet, de la disposition des tables à l’agencement des lieux d’activités en passant par le mobilier, les changements peuvent être infinis. L’objectif principal reste de créer, pour tous, un climat propice à l’apprentissage. Des études montrent en effet que l’aménagement de la classe peut grandement améliorer l’apprentissage de tous les élèves et est bénéfique pour leur bien-être, en réduisant leur stress et en favorisant leur attention et leur autonomie.
Comment aménager les espaces scolaires de votre établissement ? Salle de classe. Logiciel gratuit pour créer un plan de classe. Article mis à jour le 28 août 2020 par Fidel Navamuel Salle de classe est un logiciel libre et gratuit qui va vous permettre de créer et de gérer très facilement un plan de votre classe.
Il s’agit d’une application libre, et gratuite, fonctionnant sur Windows, Linux et OsX, pour aider les enseignants à gérer leurs salles de classe. Salle de Classe est un projet “familial” que l’on doit à Thomas, Nicolas et Olivier Lecluse. Respectivement ingénieurs en informatique et prof de mathématiques, les trois larrons ont bâti un outil simple et pratique pour vous aider à jongler avec différentes classes et configurations. Une classe trop décorée peut-elle nuire à l'apprentissage ? La classe : un plus pour apprendre. La période étrange que nous venons de vivre a mis l’accent sur une compétence très répandue au sein du règne animal : l’apprentissage social, c’est-à-dire la capacité à apprendre les uns des autres.
Certains ont pu la faire fonctionner pleinement : c’est le cas des adultes qui, bien souvent, ont dû collectivement apprendre à se comporter dans une situation totalement nouvelle à partir d’informations et d’observations prises auprès des autres. C’est moins le cas, hélas, des élèves qui ont dû poursuivre leur parcours pour la plupart seuls, sans avoir justement la possibilité d’interagir directement entre pairs. Qu’est-ce qui va distinguer ces deux situations : d’un côté, apprendre avec les autres, de l’autre, apprendre seul dans son coin ? Une synthèse fraîchement publiée sur cette question dans l’excellente revue Nature Reviews Neuroscience nous livre de précieuses idées à retenir.