Témoignage : Le jumelage interculturel, un dispositif pour lutter contre les préjugés. L’ouverture sur le monde et le dialogue interculturel sont essentiels à la formation des jeunes.
Mais en ces temps de pandémie, où les déplacements internationaux sont fortement réduits, et où certaines universités refusent même l’accueil des étudiant·e·s participant au programme Erasmus, comment maintenir des échanges ? Le jumelage interculturel, dispositif de formation initié à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) dans les années 2000, offre des réponses à ce défi. Qui a peur de la non-mixité ? by What's the F* L'Unef dresse la liste des universités qui agissent le plus contre les discriminations. Usul. Faut-il éradiquer les écoles de commerce ? L’université Paris 1 suspend sa formation à la «prévention de la radicalisation» L’université de Cergy retire une fiche de détection de la radicalisation après un tollé. La gauche cannibale, un syndrome universitaire, par Rick Fantasia (Le Monde diplomatique, août 2019) La gauche américaine est en première ligne pour s’opposer au président Donald Trump, à ses politiques économiques et sociales et à ses propos racistes.
Rarement issus des classes populaires, bien souvent diplômés, les militants progressistes ont acquis leur culture politique dans un milieu social qui produit davantage de professions libérales et de cadres supérieurs que d’employés et d’ouvriers. Comme la plupart des Américains, ils résident généralement dans des communautés relativement homogènes et fréquentent surtout des personnes qui pensent comme eux. Ils vivent en somme dans des enclaves de confirmation réciproque, d’ordinaire à proximité de lieux conçus pour eux (restaurants et cafés, galeries d’art, musées, salles de concert, universités, etc.). Les établissements supérieurs où ils ont fait leurs études jouent également un rôle qui dépasse la formation professionnelle. Focalisation sur les microagressions. Usul. Antiracisme à l'université : la parole aux premiers concernés.
Article jugé raciste à la fac de Lille : l'Université demande au Cactus de stopper la diffusion du journal. L’Université de Lille (Nord) veut apaiser les esprits.
Après la polémique suscitée par un article jugé raciste du journal satirique Cactus, diffusé sur le campus de Moulins, le doyen a demandé à ce que le numéro en question ne soit plus diffusé. Un article accusé de racisme et d’islamophobie Depuis mercredi 18 septembre 2019, la polémique enfle autour du journal étudiant et de son article intitulé Les Arabes.
Rencontres nationales 2018 du FUIQP, Intro et Nacira Guénif. «A l’université, il y a un inconfort à reconnaître qu’il peut y avoir du racisme» On est en 2017.
Rose, bac en poche, s’inscrit dans une école d’art et de design. L’année se déroule normalement, jusqu’au conseil de classe : «Les profs avec qui je discutais souvent à la fin des cours ont dit que j’étais bien intégrée dans la culture française, que je parlais sans faire de fautes… Ils croyaient que j’étais une étudiante internationale venue de Corée !» Aujourd’hui âgée de 20 ans, cette Parisienne qui a depuis changé de voie précise : «Au début de l’année, qu’on me prenne pour une Coréenne ne me dérangeait pas, mais à la fin… Ça m’a mise très mal à l’aise.
Le bus d’alerte républicaine à l’Université Paris 13 : « l’envie d’en savoir plus » Du 29 avril au 21 mai, le bus d’alerte républicaine et démocratique vient à la rencontre de la communauté universitaire.
Menée par la Fondation Camp des Milles, en partenariat avec la CPU, cette initiative entend partager les leçons de vigilance de l’Histoire et promouvoir les valeurs de la République face aux intolérances mortifères, à quelques jours du scrutin des élections européennes. Le 9 mai, le bus faisait escale sur le campus de Bobigny, à l’Université Paris 13, et plusieurs dizaines d’étudiants assistaient à la projection du film « Que ferais-je demain si ? Bus d’alerte républicaine et démocratique : en route « Pour une nouvelle Histoire » Comme en 2016, dans le cadre de la semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme, la CPU s’est associée à la Fondation du Camp des Milles pour proposer, dans un premier temps à 9 villes, d’accueillir le Bus d’alerte républicaine et démocratique.
Pour partager les leçons de vigilance de l’Histoire et promouvoir les valeurs de la République et de l’Europe face aux intolérances mortifères, la Fondation du camp des Milles vient à la rencontre des citoyens, et plus particulièrement des étudiants et des personnels d’établissements d’enseignement supérieur en se déplaçant sur le site d’une dizaine de campus. Le contexte Seul grand camp français d’internement et de déportation (1939-1942) encore intact, le Camp des Milles est aujourd’hui un important Musée d’Histoire et d’éducation citoyenne, unique au monde dans ses dispositifs pédagogiques tournés vers la compréhension du présent. Une pédagogie tournée vers le jeunes, et notamment les étudiants.
Une journée nationale contre le racisme dans les établissements d’enseignement supérieur. A l'université de Metz, des étudiants créent un groupe Messenger pour insulter leurs camarades noirs. "Ils osent venir et rigoler avec toi après ça…", souffle une étudiante de l’université de sociologie de Metz, en Lorraine.
Depuis le début de l’année, une dizaine d’élèves de sa classe de deuxième année de sociologie ont créé sur Facebook une conversation Messenger dans le but… de prendre en photo des personnes noires de leur promotion pour s'en moquer. "Ce climat raciste dure depuis l’année dernière", explique à Marianne Julie*, l’une des victimes.
En cours relate-t-elle, les blancs s’installent entre eux, à l’écart des étudiants noirs. Lorsque ces derniers arrivent en classe, ils sont accueillis par des moqueries, des jurons. Leur dernier jeu en date ? "Ils se bouffent le cul les bonobos" Echanges de propos racistes entre des étudiants : l’université de Lorraine va ouvrir une enquête. Unef : «Il faut une volonté politique de lutte contre le racisme, à l’université et en dehors» L’Union nationale des étudiants de France (Unef), syndicat universitaire classé à gauche, organise vendredi ses premières assises nationales contre le racisme.
A la veille de cette journée d’étude, il révèle ce jeudi les résultats de son enquête sur les jeunes et le racisme, menée dans toute la France (1). Et ils sont effrayants : parmi les répondants, 42,30% des personnes perçues comme non blanches ont déclaré avoir déjà été victimes de racisme en lien avec leurs études. «Cela prend diverses formes et émane de différentes personnes, explique la présidente de l’Unef, Mélanie Luce. Ça peut être des blagues, des remarques clairement racistes, comme "tu t’exprimes bien pour une Noire", et ça peut aller jusqu’à l’agression raciste, comme à Rennes II il y a quelques semaines. On a parfois le sentiment de ne pas être à sa place, même si beaucoup des répondants jugeaient qu’ils n’avaient pas forcément été moins bien notés par exemple.»
Face au racisme et à l'antisémitisme, les réponses de l'enseignement supérieur. Locaux saccagés, tags antisémites, inscriptions de croix gammées, insultes… Ces dernières années, et plus encore ces derniers mois, des actes racistes et antisémites ont troublé la vie de certains établissements d’enseignement supérieur.
Des inscriptions antisémites ont été ainsi été découvertes dans une salle de classe à HEC le 12 octobre 2018. Plus récemment, les 21 et 22 février 2019, des propos antisémites ont été tenus lors d’un colloque international portant sur "la nouvelle école polonaise d’histoire de la Shoah" organisé à l’EHESS. Ces incidents s’inscrivent dans un contexte particulier : le nombre d’actes antisémites a augmenté de 74 % en France entre 2017 et 2018, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Le même jour, la section disciplinaire à l’égard des usagers de l’université Paris 13 annonçait avoir condamné un étudiant à un an d’exclusion, dont deux mois ferme, pour "antisémitisme et harcèlement". Cependant, les universités doivent parfois prendre des sanctions. Le local des étudiants juifs de l’université Paris Dauphine a été vandalisé.
Frédérique Vidal et Laurent Nunez installent le Comité Scientifique de Prévention de la Radicalisation (COSPRAD) - Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation. Racisme et antisémitisme : des universitaires lancent une association pour mobiliser l'ESR. L'Université de Reims nomme une chargée de mission pour surveiller l'antisémitisme. Les "décoloniaux" à l'assaut des universités. Villeneuve-d’Ascq : des graffitis homophobes, islamophobes et anticommunistes sur le campus de Pont de Bois - Association STOP HOMOPHOBIE. INFORMATION EUROPE 1 - Une étudiante porte plainte pour injures antisémites à la fac de médecine de Paris 13.
Au départ, c’est un groupe de copains, des garçons et des filles dont les blagues récurrentes sur les juifs finissent par lasser Rose*, 20 ans, étudiante en deuxième année de médecine à l’université Paris 13.
"Dès le début, j’ai expliqué que ça me blessait, j’ai dit qu’on ne pouvait pas rire de la Shoah, mais on est passé des blagues sur la Shoah à des saluts hitlériens, puis on invente un jeu qui s’appelle le ‘freespa’ [contraction de frisbee et kippa], le lancer de kippa qu’on jette par terre", raconte-t-elle au micro d’Europe 1. En réponse à ses remarques, les membres du groupe rétorquent que c’est "de l’humour", qu’elle "s’insurge pour rien". Un week-end d'intégration "Auschwitz 2019". Rose s’éloigne d’eux mais se retrouve "montrée du doigt", "harcelée". Menacée de se faire "trasher" lors du week-end d’intégration 2018 qu’organisait ce groupe, membre du Bureau des élèves, et privée de filleul, Rose préfère renoncer à s’y rendre.
Entendu sur Europe 1. Une étudiante en médecine de l’université Paris-XIII porte plainte pour injures antisémites. Le parquet de Bobigny a ouvert une enquête préliminaire, lundi, après avoir reçu une plainte d’une étudiante de 20 ans. Le parquet de Bobigny a annoncé au Monde avoir ouvert une enquête préliminaire, lundi 29 octobre, après avoir reçu une plainte pour injures antisémites d’une étudiante en médecine de l’université Paris-XIII. Selon des informations révélées par Europe 1, la femme de 20 ans raconte avoir fait l’objet de harcèlement à caractère antisémite de la part d’un groupe d’élèves de l’université, notamment dans le cadre de la préparation du week-end d’intégration de la fac de médecine. « On est passé des blagues sur la Shoah à des saluts hitlériens, puis on invente un jeu qui s’appelle le “freespa”, le lancer de kippa qu’on jette par terre », raconte-t-elle au micro d’Europe 1. « Mais vous, les juifs, vous n’avez pas d’humour, c’est du second degré, on le fait pour tout le monde », lui répondent des étudiants, quand elle leur demande de cesser leurs remarques antisémites.
Budget 2019 : la nouvelle contribution vie étudiante crispe les débats. Le gouvernement a-t-il fait machine arrière sur la CVEC (contribution vie étudiante et de campus) ? "Oui, la CVEC sera bien intégralement reversée aux étudiants, et nous n’avons jamais prétendu autre chose", soutient Graig Monetti, le conseiller en charge de la vie étudiante de la ministre de l'Enseignement supérieur, mardi 23 octobre. Une affirmation qui entend rassurer les acteurs de l'enseignement supérieur qui interpellent depuis quelques jours le gouvernement sur le PLF (projet de loi de finances) 2019 et la redistribution des recettes de cette nouvelle contribution créée par le Plan étudiants. C'est la CPU (Conférence des présidents d'université) qui a lancé le premier un pavé dans la mare. Dans un communiqué du 18 octobre, l'organisation monte au créneau sur le projet de loi finances 2019, qui prévoirait "que les montants payés par les étudiants ne soient pas utilisés intégralement pour la vie étudiante, mais viennent, en partie, alimenter le budget général de l’État".
Est-il vrai que la contribution à la vie étudiante va être détournée par Bercy ? Question posée par Martin le 18/10/2018 Bonjour, La loi «orientation et réussite des étudiants» de mars 2018 a introduit une contribution vie étudiante et campus de 90 € par étudiants et supprimé la cotisation au régime étudiant de sécurité sociale de 217€. La répartition de cette contribution - attribuée aux Crous et aux établissements accueillant les étudiants - est décidée par décret.
Le projet de budget 2019 de l’Etat attribue un plafond de 95 millions d’euros à cette contribution. Au-delà de cette somme, le surplus participera «à la réduction du poids de la dépense publique», selon l’exposé des motifs de l’article 29. Un amendement est venu corriger cet article qui comportait une erreur de rédaction. Quel accueil à l’université pour les étudiants en situation de handicap ? La loi du 11 février 2005 fixe clairement l’accès de droit pour les étudiants en situation de handicap. Dans ce cadre, le Ministère de l’Enseignement supérieur a incité à la signature d’une charte « Université/Handicap » avec la Conférence des Présidents d’Université (CPU), lancée en 2007 et renouvelée en 2012, prévoyant la mise en place de structures dédiées dans les établissements. Leur mission : analyser les besoins de chaque étudiant, définir les accompagnements nécessaires, veiller à leur mise en œuvre et assurer un suivi tout au long du parcours.
La création de ces lieux permet donc à l’étudiant de disposer d’une porte d’entrée unique et bien identifiée pour ses démarches. Reste que la décision de faire reconnaître sa situation appartient à chacun, ce qui ne peut effacer les phénomènes d’autocensure. Les Femmes de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche. Qui ? Collectif Olympe. Antisémitisme et racisme à l’université : la ministre estime que « c’est l’affaire de tous » Alors que les actes racistes et antisémites se multiplient ces derniers mois, Frédérique Vidal a fait un point d’étape, mardi, sur le plan du gouvernement lancé en mars. Actes antisémites dans l’enseignement supérieur : un phénomène préoccupant selon Vidal.
Des élèves d’une école lyonnaise ont été colorisés en noir sur une publicité destinée aux USA. Les étudiants constitués en groupes pour prévenir les violences sexistes dans l’enseignement supérieur : quelle efficacité ? Le monde de l’enseignement supérieur est une partie intégrante de la société, tout comme ses composantes – enseignants-chercheurs, personnel administratif et étudiants. Des tags antisémites découverts dans une salle de cours à HEC. L’école de commerce a dit avoir lancé des investigations en interne et annoncé son intention de porter plainte, tout comme plusieurs étudiants. « Nous sommes très surpris, très choqués », a déclaré à l’AFP le directeur général adjoint du groupe HEC, Eric Ponsonnet.
Il a précisé que le groupe, ainsi que plusieurs étudiants, allait porter plainte. « Nous avons commencé à lancer des investigations en interne, nous sommes déterminés à aller au bout pour pouvoir prendre les sanctions nécessaires », a-t-il ajouté. NRJKIR Paris 8 - [Communiqué d'NRJKIR Paris 8, groupe... Laïcité : un professeur de droit écarté après avoir parlé d'islamophobie d'Etat. Phan Bigotte, archiviste de la culture LGBT. Sciences Po Lille interdit une réunion d'information sur la DGSE à ses élèves... CheckNews. Bonjour, Votre question concerne une polémique née sur les réseaux sociaux. Le lent délitement de la maison UNEF. 22 % des étudiants estiment avoir été discriminés durant leurs études. Pour expliquer les discriminations ressenties, les étudiants mettent d’abord en avant leurs origines et leur nationalité, selon une étude de l’Observatoire de la vie étudiante.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Séverin Graveleau Que ce soit sur la notation, sur l’orientation ou sur la manière avec laquelle enseignants ou camarades se sont adressés à eux, plus d’un étudiant sur cinq estime avoir été discriminé pendant son cursus. Speaking up for what’s right: politics, markets and violence in higher education – genders, bodies, politics. “We’re all just different!” How Intersectionality is Being Colonized by White People – Thinking Race… Misère de l’antiracisme institutionnel. Études de genre à l’université : quels débouchés dans l’égalité femmes-hommes ? - L'Etudiant. Trouble dans les études de genre. Sexual harassment panel condemns ‘culture of condoning’ En France, les «Queer studies» au ban de la fac. À l'université, les études de genre s'affichent. La recherche française en quête de modèle ? Ton université va craquer. Comment l’université de Toulon est devenue un exemple en matière de lutte contre la radicalisation.
Scission à l’UNEF : l’aile gauche quitte le syndicat étudiant. Qu'est-ce que Sciences Po Rennes ? Universités : «L’excellence, on sait faire, c’est juste qu’on a zéro thune» La hausse des droits d’inscription pour les étudiants français et européens écartée par le gouvernement. A la Sorbonne, on forme les hauts fonctionnaires pour mater les mouvements sociaux. La Cour des comptes préconise une augmentation des droits d’inscription à l’université. Wauquiez, Filippetti, Gantzer... Quand les politiques retournent en amphi. Universités les étudiants étrangers devront payer plus cher le monde. L’école 42 condamnée pour ne pas avoir assez protégé les données de ses étudiants. CPU - Conférence des présidents d'université. A Polytechnique, l’entre-soi en taille XXL. Brut - Cet étudiant a étudié le code source de Parcoursup.
Parcoursup, révélateur de l’appétence pour les filières sélectives et le privé. Rattrapages et compensation des notes ne seront plus obligatoires en licence. Mais que veulent les étudiants ? Universités, la lutte continue? L'éducation, un service public ouvert à la concurrence. En route vers la destruction de l’université ? La contestation étudiante, des années 60 à aujourd'hui. A Montpellier, des étudiants violemment expulsés de la fac de droit par des individus cagoulés.
Paris : la Sorbonne occupée, encerclée par les CRS. VIDÉO - Un commando armé de lattes de bois sème la terreur à la fac de droit de Montpellier : trois blessés. 2018, la grande mue de l’université. Stress, alcool, sexualité à risques… le bilan santé perfectible des étudiants français. Le jeu vidéo, en toute légitimité. Thesarde - Parce que des Playmobils valent parfois...
The weird and wonderful world of academic Twitter. Sciences Po : un recrutement d’élite, plutôt féminin. Lille : ma faculté va craquer. Paris-Dauphine et Sciences Po, alternatives aux écoles de commerce. Entrée à l’université : ce qui va changer à la rentrée 2018. Pierre Mathiot : "Je n'ai pas accepté cette mission sur le bac pour faire des ajustements techniques" Entrée à l’université : ni tirage au sort ni «prérequis» mais des «attendus requis» Sélection en master : « Pour nous, étudiants, le bilan est mitigé » En images : comment la sélection a gagné du terrain à l'université - L'Etudiant. Il faut plus d'un smic pour étudier à Paris. Conference rage: 'How did awful panel discussions become the default format?' 46 % des étudiants travaillent pendant leurs études. L’UNEF entre revendications et remise en question. Nicolas Offenstadt : «Un récit national est une négation de l’Histoire comme discipline scolaire»
« Je ne publierai plus jamais dans une revue scientifique » Deux sociologues piègent une revue pour dénoncer la « junk science » Dans les « bibliothèques clandestines » du Net. Ableton fait son entrée en cours d'éducation musicale des collèges et lycées de Lille. Pierre Mathiot, ex-directeur de Science po Lille, devrait mener la concertation sur le bac. Contrôle au faciès : trois lycéens assignent l’Etat en justice. «Tenue indécente, tu ne reviens pas comme ça» : dérives sexistes dans un lycée à Valence.