background preloader

Idl26

Facebook Twitter

Affaire des salariés espionnés : le parquet requiert un an de prison ferme contre un des anciens PDG d'Ikea France. La procureure a aussi demandé que l'entreprise suédoise soit condamnée à 2 millions d'euros.

Affaire des salariés espionnés : le parquet requiert un an de prison ferme contre un des anciens PDG d'Ikea France

Article rédigé par Publié le 30/03/2021 14:03 Temps de lecture : 1 min. "Une peine exemplaire" requise par le parquet. Après cinq jours d'un procès fleuve parfois houleux, le parquet de Versailles a requis mardi 30 mars une peine de deux millions d'euros contre l'enseigne Ikea France, accusée d'avoir espionné plusieurs centaines de salariés. Révélée par la presse puis instruite en 2012, cette affaire a mis au jour un système de surveillance des salariés et même parfois des clients de la branche française du géant suédois. La procureure Paméla Tabardea a requis trois ans d'emprisonnement dont deux avec sursis pour l'ex-Président directeur général Jean-Louis Baillot de l'entreprise, en poste de 1996 à 2009. Sans titre. Publié le 17 septembre 2018.

sans titre

La loi du 5 juillet 1985, aussi connue sous le nom de Loi Badinter, a mis en place un régime spécial pour l’indemnisation des victimes d’accidents de la circulation. Dans le cadre de ce régime, dérogatoire au droit commun de la responsabilité civile délictuelle, le comportement de l’auteur de l’accident est parfaitement indifférent. En effet, peu importe que ce dernier ait, ou non, commis une faute de conduite à l’origine de l’accident ; la victime aura droit, par principe et sous réserve des exceptions légales, à l’indemnisation de ses préjudices.

Philo

Introduction à la responsabilité civile - Laddoz, Droit #3. DGEMC Sexe, droit et normes sociales. Fs actes role droit protection environnement 14 09 2018 0. Droit et grands enjeux du monde contemporain DGEMC. 28 Minutes - Emmanuel Guibert / Le procès des attaques terroristes (02/09/2020) - Regarder l’émission complète. L’ordre public : regards croisés du Conseil d’État et de la Cour de cassation. Vendredi 24 février 2017 Télécharger le discours Consulter le dossier spécial du colloque.

L’ordre public : regards croisés du Conseil d’État et de la Cour de cassation

L’ordre public - Regards croisés du Conseil d’Etat et de la Cour de cassation. Cour de cassation, vendredi 24 février 2017 Introduction de Jean-Marc Sauvé[1], vice-président du Conseil d’Etat <a href="/admin/content/location/51950"> Lien à reprendre : > télécharger au format .pdf</a> Monsieur le Premier président, Monsieur le Procureur général, Monsieur l’Attorney général, Mesdames et Messieurs les professeurs, Mesdames et Messieurs les avocats, Mesdames et Messieurs, L’ordre public, « nul n’a jamais pu en définir le sens, chacun en vante l’obscurité et tout le monde s’en sert »[2].

L’ordre public - Regards croisés du Conseil d’Etat et de la Cour de cassation

I. Cour de cassation. Par M.

Cour de cassation

Guillaume Drago, professeur à l’université Panthéon-Assas, Paris 2 « Le maintien de l’ordre public dans une société est la loi suprême ». Portalis. L’ordre public. Affaire Mila : comprendre le débat sur le blasphème, qui n’est pas un délit en France. Une adolescente de 16 ans, Mila, est la cible d’un harcèlement en ligne depuis qu’elle a déclaré « déteste[r] la religion » musulmane lors d’une discussion en direct et en vidéo sur Instagram le 18 janvier : « Votre religion, c’est de la merde.

Affaire Mila : comprendre le débat sur le blasphème, qui n’est pas un délit en France

Votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir. » La première enquête, ouverte pour « provocation à la haine à l’égard d’un groupe de personnes, à raison de leur appartenance à une race ou une religion déterminée », a été classée sans suite par le parquet de Vienne (Isère). La ministre de la justice, Nicole Belloubet, invitée à donner son avis sur cette affaire, a été accusée de vouloir remettre en cause le droit au blasphème (qui n’existe pas en tant que tel).

DGEMC Relations internationales et droit

Cour européenne des droits de l'homme - CEDH, ECHR, actualités, informations, communiqués de presse. DGEMC IA et propriétés intellectuelles. DGEMC contrat. DGEMC famille travail. DGEMC Qu est ce que le droit ?

Crime contre l'humanité - L'En-droit - Droit et Grands Enjeux du Monde Contemporain (DGEMC) Fiche de synthèse : La procédure législative - Rôle et pouvoirs de l'Assemblée nationale. I. - Le dépôt du texte L’initiative des lois appartient au Premier ministre ainsi qu’aux députés et aux sénateurs.

Fiche de synthèse : La procédure législative - Rôle et pouvoirs de l'Assemblée nationale

Les initiatives du Premier ministre sont appelées « projets de loi », celles des parlementaires sont dénommées « propositions de loi ». Avant son examen, tout texte doit faire l’objet d’un dépôt subordonné à plusieurs formalités préalables : - pour les projets, le dépôt est précédé de la consultation pour avis du Conseil d’État, agissant en ce cas comme conseil du Gouvernement et non comme juridiction administrative, suivie d’une délibération du Conseil des ministres ; Alain Supiot - "Le règne de la loi, les avatars d'un idéal"

"Quand dans une cité la loi est assujettie et sans force, je vois sa perte toute proche.

Alain Supiot - "Le règne de la loi, les avatars d'un idéal"

Mais où elle règne sur les chefs et où les chefs se font les esclaves des lois, c'est le salut que je vois arriver là et avec lui tous les biens que les Dieux accordent aux cités. " Justice pénale internationale by Karine BEVILACQUA on Prezi Next. YouTube. Proposition de loi tendant à rendre imprescriptibles les crimes et incompressibles les peines en matière de terrorisme. Les crimes terroristes sont-ils aussi des crimes contre l'humanité ? La semaine dernière, le parquet national antiterroriste a rejeté la demande d’une avocate représentant 23 familles de victimes des attentats du 13 novembre.

Les crimes terroristes sont-ils aussi des crimes contre l'humanité ?

Samia Maktouf souhaitait en effet ajouter à l’accusation de terrorisme celle de crime contre l’humanité pour Salah Abdeslam, dernier survivant des commandos du 13 novembre 2015. Le parquet national antiterroriste a estimé qu’un tel chef d’accusation apporterait de la confusion dans le cas des attentats du stade de France et du Bataclan. Le débat divise depuis quelques années chercheurs et juristes, spécialistes de la cour pénale internationale et les crimes de terrorisme . Nous allons en discuter ce soir avec quatre invités. Philippe Sands est avocat spécialisé dans la défense des droits de l’Homme et professeur de droit au University College de Londres.

Pour aller plus loin: "Actes de terrorisme : nouveaux crimes contre l’humanité ? "

RH

DGEMC Personne juridique. DGEMC 2.3.4 bioéthique et liberté de la personne. DGEMC 2.3.5 sexe droit et normes sociales.