Pietro Bembo. Ange Politien. Détail de la scène de l'Annuncio dell'angelo a Zaccaria Angelo Ambrogini (dit en italien Agnolo Poliziano ou en français Ange Politien ) né à Montepulciano en 1454 et mort à Florence en 1494, est un humaniste italien, l'une des grandes figures de la Renaissance.
Biographie[modifier | modifier le code] La forme latine de son nom est Angelus Politianus : il l'avait choisi d'après le toponyme romain de sa ville d'origine, Mons Politianus. Ange Politien est né en 1454. Après la conjuration des Pazzi dirigée contre les Médicis, en 1478, Politien quitte Florence en 1479, à la suite de désaccords avec la famille des Médicis, et surtout avec Clarisse, l'épouse de Laurent. Après avoir rencontré à Venise l'humaniste Ermolao Barbaro, Politien reçut une lettre dans laquelle celui-ci l'assurait de l’immense respect dans lequel il le tenait et lui adressait une double requête : qu’il continuât de venir au secours des belles lettres et qu’il acceptât que lui, Barbaro, l’assistât dans ce combat. L’amplification dans la rhétorique de Louis de Grenade. 1Luis de Sarria, plus connu sous son surnom de Louis de Grenade (1504-1588, Luis de Granada ou Ludovicus Gratanensis), est un dominicain espagnol, auteur de nombreux ouvrages de spiritualité.
Orphelin de père, il est remarqué très jeune pour sa ferveur religieuse et ses dispositions à l’art oratoire. Il se met au service des comtes de Mendoza à l’Alhambra, puis entre au couvent dominicain Santa Cruz La Real où il prononce ses vœux en 1525. Pléiade (XVIe siècle) La Pléiade est un groupe de sept poètes français du XVIe siècle, composé de Pierre de Ronsard, Joachim Du Bellay, Étienne Jodelle, Rémy Belleau, Jean-Antoine de Baïf, Jacques Peletier et Pontus de Tyard.
À travers leurs œuvres littéraires et leurs textes théoriques, leur ambition était de renouveler et de perfectionner la langue française, afin de la rendre indépendante d'autres idiomes alors plus « nobles » comme le latin. Le but politique était de participer à l'unification de la France par le biais de la langue française, sur le modèle mais aussi en rivalité avec l'italien, qui avait entamé un processus similaire un peu plus tôt. Historique Contexte Au XVIe siècle, la langue littéraire par excellence en Europe est encore le latin.
Membres Démarche. Las Crónicas de Núremberg. La Ciudad de Núremberg, xilografía del Liber Cronicarum coloreada a mano, 1493.
Estampa con soles y quema de libros. Músicos y parejas danzando. Guillaume Guéroult. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Guillaume Guéroult, né vers 1507 à Rouen et mort le 7 octobre 1569 à Lyon, est un éditeur, traducteur et poète français, précurseur, avec ses Emblesmes, de La Fontaine et ses fables. Biographie[modifier | modifier le code] Édition de 1550 des Emblesmes de Guillaume Guéroult Guillaume Guéroult a connu une vie fort agitée. Jean-Antoine de Baïf. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Baïf. Biographie[modifier | modifier le code] Jean-Antoine de Baïf était le fils naturel de Lazare de Baïf, ambassadeur à Venise au moment de sa naissance. Son père ne négligea rien pour son éducation. Il eut comme maître en latin Charles Estienne, et en grec Ange Vergèce, le savant crétois qui créa des fontes grecques pour François Ier. Jacopo Sannazaro. Jacopo Sannazaro (Nápoles, 1456 - 1530) fue un escritor napolitano del Renacimiento que escribió sus obras en italiano y en latín.
Biografía[editar] Sannazaro nació el 28 de julio 1458 y murió el 6 de agosto 1530, (que con cierta frecuencia se escribe equivocadamente Sannazzaro) era un napolitano descendiente de una noble familia de la Lomellina. Su infancia y adolescencia transcurrieron en San Cipriano Piacentino. François Rabelais. Ecclésiastique et anticlérical, chrétien et considéré par certains comme libre penseur, médecin et ayant l'image d'un bon vivant, les multiples facettes de sa personnalité semblent parfois contradictoires.
Pris dans la tourmente religieuse et politique de la Réforme, Rabelais se montre à la fois sensible et critique vis-à-vis des grandes questions de son temps. Par la suite, les regards portés sur sa vie et son œuvre ont évolué selon les époques et les courants de pensée. Son réquisitoire à l'encontre des théologiens de la Sorbonne et ses expressions crues, parfois obscènes, lui attirent les foudres de la censure des autorités religieuses, surtout à partir de la publication du Tiers Livre. Il partage avec le protestantisme la critique de la scolastique et du monachisme, mais le réformateur religieux Jean Calvin s'en prend également à lui en 1550.
Biographie. Pierre de Ronsard. Œuvres principales Pierre de Ronsard né en septembre 1524[note 1] au château de la Possonnière, près du village de Couture-sur-Loir en Vendômois, et mort le 27 décembre 1585 au prieuré de Saint-Cosme en Touraine[1], est un des poètes français les plus importants du XVIe siècle.
Imitant les auteurs antiques, Ronsard emploie d'abord les formes de l'ode (Mignonne, allons voir si la rose) et de l'hymne, considérées comme des formes majeures[2], mais il utilisera de plus en plus le sonnet transplanté en France par Clément Marot en 1536 en employant le décasyllabe (Mon dieu, mon dieu, que ma maistresse est belle ! , Les Amours, ou Je vous envoye un bouquet…, Continuation des Amours) comme le mètre « moderne » de l'alexandrin (Comme on voit sur la branche…, Second Livre des amours, ou Quand vous serez bien vieille…, Sonnets pour Hélène).
Biographie Jeunesse et formation.