Sans titre. Pour contacter directement les Jardins de Cocagne de Blois : www.association-biosolidaire.fr ou par téléphone : 02.54.74.88.31.
La Relève et La Peste. Afin de fournir en produits bio et locaux sa restauration collective, la ville de Mouans-Sartoux a mis en place une régie agricole et embauché trois salariés.
Lancée en 2011, l’expérience a tellement bien fonctionné qu’elle est devenue un modèle en France et en Europe. Située entre Cannes et Grasse, dans les Alpes-Maritimes, Mouans-Sartoux est une ville de 10 500 habitants. Sensibilisé aux enjeux sanitaires et environnementaux, l’équipe municipale de Mouans-Sartoux décide en 2008 d’approvisionner la restauration collective en produits bio et locaux. Seul souci, les quelques agriculteurs bio du département sont déjà débordés de commandes. Producteurs et commercants en Anjou : circuit court, local 49. La Relève et La Peste.
Circuit court - Potager du Romejac. Un modèle agricole français confronté à de multiples difficultés. Mer. 19 février 2020 à 10:12 • Arnaud Carpon, avec AFP • Terre-net Média Si l'image d'Epinal de la petite ferme familiale a, à juste titre, du plomb dans l'aile, le modèle agricole français est toujours constitué à 90 % d'entreprises « à taille humaine ».
Mais ce modèle est de plus en plus confronté à de multiples difficultés, au premier rang desquelles l'installation des jeunes et l'appétit des investisseurs. La superficie moyenne par exploitation agricole est passée d'une quarantaine d'hectares en 2000 à 65 hectares en moyenne en 2017, selon les dernières données disponibles de la MSA. (©Pixabay) Modèle dominant au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le modèle familial strict du couple avec enfants « ne représente plus que 20 % des exploitations », selon François Purseigle, sociologue et co-auteur du livre « Le nouveau capitalisme agricole, de la ferme à la firme » (Presses de Sciences Po).
Loi foncière, l'Arlésienne. Une commune bretonne impose l’agriculture bio et paysanne à 400 propriétaires. Moëlan-sur-Mer (Finistère), reportage Coup de force ou idée de génie ?
À Moëlan-sur-Mer (7.000 habitants), dans le Finistère, la municipalité pousse plus de 400 propriétaires à louer d’anciennes terres agricoles inoccupées à des paysans. Objectif : stimuler l’économie locale via l’agriculture biologique, tout en luttant contre la forte spéculation foncière et l’artificialisation des sols. Les élus utilisent une procédure méconnue du Code rural, jamais employée à une telle échelle : la mise en valeur de terres incultes. C’est une initiative publique enclenchée dans l’intérêt général, qui peut aller jusqu’à l’obligation de mise en culture. La perte de terres agricoles est massive en Bretagne « À la clé, une trentaine d’emplois créés d’ici deux ans sur plus de 120 hectares », s’enthousiasme le maire, Marcel Le Pennec.
Des millions d’euros d’aides agricoles détournés, décryptage d’un scandale européen. Une enquête au long cours du New York Times, publiée entre novembre et décembre 2019, est à l’origine d’une critique radicale du système européen de soutien et d’aides à l’agriculture – la « politique agricole commune » (PAC).
Conduite dans neuf pays par plusieurs journalistes, l’enquête est à l’origine de révélations explosives, démontrant qu’une large partie de ces aides ou subventions destinées aux agriculteurs était détournées au profit d’oligarques des pays de l’Est. L'UE autorise les agriculteurs bio à vendre leurs propres semences. Le marché des terres agricoles est de plus en plus financiarisé au fil des ans.
Le "marché des parts de société devrait se développer à l'avenir", selon Loic Jegouzo, ingénieur au bureau d'études de la FNSafer, chargé de mettre en place les politiques foncières publiques.
Ce marché non régulé est estimé à 1,1 milliard d'euros. Le marché des terres agricoles est de plus en plus financiarisé et l'opacité règne sur un certain nombre de transactions, selon le bilan annuel de l'opérateur FNSafer, chargé de mettre en place les politiques foncières publiques. En moyenne, 55 000 hectares de terres agricoles changent d'usage chaque année et sont utilisés pour l'habitat, les zones commerciales ou les infrastructures de transport, a expliqué Emmanuel Hyest, président de la FNSafer jeudi à Paris, lors d'une présentation jeudi 23 mai.
Biodiversité : un premier agriculteur signe une obligation réelle environnementale. "C'est la première fois en France qu'une obligation réelle environnementale a été signée avec un propriétaire privé", annonce fièrement le Conservatoire d'espaces naturels Normandie-Ouest.
France. «Il est urgent de changer de modèle agricole» Par un collectif de paysans et paysannes Tribune.
Nous, agriculteurs, agricultrices, observons une atmosphère de crispation, d’incompréhension, entre une partie du monde agricole et le reste de la société, principalement focalisé sur l’utilisation des pesticides et sur l’élevage industriel. Les friches rebelles de la Safer Occitanie « Un Plus Bio, premier réseau national des cantines bio et rebelles. Dominique Granier, Philippe Martin (Gers) et Nicolas Meliet (Lagraulet-du-Gers).
Il n’y a pas que les cantines qui se rebellent ! Lors de la journée des Victoires à l’hôtel de ville de Paris, Dominique Granier, ex-président de la chambre d’agriculture du Gard et président de la Safer Occitanie, a proposé une nouvelle vision de la problématique foncière et agricole. Les friches rebelles, ce sont ces terres par milliers plus disponibles qu’il n’y paraît sur les territoires de nos régions. « Rien qu’en Occitanie, on a dénombré 58 000 hectares dont un bon tiers sont irrigables et qui restent malgré tout en jachère », lance Dominique. Université de Montpellier : l’Institut de l’Eau et de l’Environnement devient un Centre International UNESCO. C'était déjà la plus importante communauté nationale dans le domaine de l'eau : l'Institut Montpelliérain de l'Eau et de l'Environnement (IM2E) vient d'être labellisé par l'UNESCO.
Il va devenir un Centre International et c'est une vraie reconnaissance pour les 400 chercheurs et les 150 doctorants des 15 unités scientifiques qui le constituent. A Porquerolles, un laboratoire à ciel ouvert pour l'agriculture de demain. Tourisme, agriculture : une nouvelle donne climatique est annoncée – Uzès News. Les conférencières Camille Spaeth (photo) et Céline Boulmier ont dressé un état des lieux local du changement climatique. Fin février, une conférence à Sanilhac faisait état des observations locales liées au changement climatique. Ces prochaines décennies, la température moyenne pourrait augmenter de plus de 1°C : une hausse suffisante pour transformer l’écosystème… et l’activité humaine. Un « sujet grave » était à l’ordre du jour des Lectures gourmandes, le 27 février dernier au foyer de Sanilhac.
Jacqueline Crespy, présidente de l’association, a introduit la conférence sur les impacts locaux potentiels des changements climatiques en relevant la température extérieure : plus de 20°C. « Rappelez-vous : il y a tout juste un an, la Lecture gourmande avait été annulée à cause de la neige ! », a-t-elle lancé pour illustrer le sujet.
Montée des eaux : jusqu’à 1 mètre en Petite Camargue d’ici 2100.