Palmarès du concours académique «Violences faites aux femmes : une affiche pour dire non !» 807 élèves de l’académie de Créteil, issus de 33 collèges et lycées, ont participé à ce concours pour prévenir, dénoncer et lutter contre les violences faites aux filles et aux femmes en France ou dans le monde, en concevant 163 affiches.
Découvrez les 7 affiches primées. Beau succès pour ce concours lancé par la Mission Égalité filles-garçons et Lutte contre l'homophobie de l'académie de Créteil, dans le prolongement du concours vidéo organisé en 2017 sur la lutte contre les violences faites aux femmes, Un travail de réflexion sur la question des violences faites aux femmes a au préalable été mené en classe avant la réalisation des affiches : les élèves, travaillant par équipes mixtes de 3 à 5 membres, ont été informés, responsabilisés et impliqués dans la prévention et la lutte contre les violences sexistes et sexuelles, à l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes du 25 novembre 2018. Catégorie Collège Catégorie Lycée. Des affiches d'élèves pour dire stop aux violences faites aux femmes.
L'affiche du Lycée Paul Doumer (94 - Le Perreux-sur-Marne) a reçu le 2e prix du diplôme de la meilleure affiche contre les violences faites aux femmes - catégorie lycée.
Sur la photo d'une jeune femme au visage tuméfié, une inscription au rouge à lèvre: "Parle ! Jamais trop tôt, jamais trop tard pour dire stop". Cette création a reçu le deuxième prix de la meilleure affiche (catégorie Lycée) du concours "Violences faites aux femmes : une affiche pour dire non ! ", lancé par l'Académie de Créteil dans les écoles, parce qu'en effet il n'est jamais trop tôt pour parler du problème. La cérémonie de remise des prix s'est déroulée le 12 décembre dernier dans l'amphithéâtre du Lycée Gutenberg à Créteil. Lycée André Malraux (77 - Montereau-Fault-Yonne) - 1er prix du diplôme de la meilleure affiche - catégorie lycée Si les élèves ont pu travailler à leur projet en complète autonomie pendant une quinzaine de jours, ils avaient quelques consignes à respecter.
À lire aussi. Les colleuses d’affiches antiféminicides s’adaptent au confinement. « On ne vous oublie pas/3919. » Au coin de la rue de la Solidarité et de la rue Desgranges, à Montreuil (Seine-Saint-Denis), ce message peint en lettres noires sur des feuilles A4 occulte la fenêtre du quatrième étage.
La graphie immédiatement reconnaissable des colleuses, ces militantes qui tapissent les murs de France pour dénoncer les crimes féminicides et pédocriminels, en désigne l’objet : ces femmes et ces enfants victimes de violences qui risquent fort, en temps de confinement, de voir leur calvaire s’intensifier. Alors que, dans certaines provinces chinoises, les violences conjugales ont augmenté de 50 % pendant les deux mois qu’a duré le confinement, Christophe Castaner a révélé, jeudi 26 mars au soir, qu’en une semaine seulement elles avaient augmenté de 36 % dans la zone de la Préfecture de police de Paris. Lire aussi Confinement : les violences conjugales en hausse, un dispositif d’alerte mis en place dans les pharmacies. Neuf femmes sur 10 disent avoir subi une pression pour avoir un rapport sexuel, selon une enquête. C’est le bilan d’un appel à témoignages lancé le mois dernier par le collectif féministe #NousToutes publié, mardi 10 février, par le Parisien et franceinfo : neuf femmes sur dix y disent avoir fait l’expérience d’une pression pour avoir un rapport sexuel.
Et dans 88 % des cas, c’est arrivé plusieurs fois. Sans avoir la représentativité d’un sondage, le questionnaire, disponible en ligne du 7 au 17 février, a été rempli par plus de 100 000 personnes, dont 96 600 femmes âgées de 15 à 75 ans. Dans cet échantillon très jeune, - 75 % des répondantes ont moins de 35 ans, 42 % ont moins de 25 ans - la question du consentement sexuel apparaît loin d’être résolue. « Aux femmes assassinées, la patrie indifférente » : les « colleuses » d’affiches veulent rendre visibles les victimes de féminicides. Installées sous les combles d’un immeuble du 14e arrondissement de Paris, une demi-douzaine de femmes peignent, silencieuses et concentrées.
Dans cette pièce baignée de lumière, Annaëlle, 20 ans, inscrit à la peinture noire le chiffre 4 sur une feuille blanche. « Depuis notre dernière action lundi soir, une nouvelle femme est morte », commente l’étudiante en cinéma, comme pour expliquer ce qu’elle est en train de faire. Jeudi 12 septembre, il a en effet fallu « mettre à jour » les slogans que des militantes affichent depuis bientôt quinze jours sur les murs de la capitale pour dénoncer la persistance des féminicides en France. Le 30 août, au début de leur action, 99 femmes avaient été tuées par leur conjoint ou ancien conjoint depuis le début de l’année. Désobéissance civile. 18 Affiches contre les violences faites aux femmes. Depuis quelques jours et jusqu’au 19 mars prochain, les abribus de la ville de Fleury Merogis exposent les travaux des stagiaires graphistes de l’emi. 18 affiches crées au cours de l’atelier que dirige Arnaud Corbin. 18 images pour sensibiliser les habitants au problème des violences faites aux femmes.
Cette campagne d’affiches s’inscrit dans une opération plus large lancée sur ce thème par la mairie de Fleury, en partenariat avec l’emi, à l’occasion de la journée des droits des femmes du 8 mars. Pour les graphistes en formation à l’école, la commande n’était pas facile. Trois jours pour bâtir une affiche dans le cadre d’un exercice qui allait sortir des murs de l’école pour s’exposer sur un lieu public. Une femme sur dix déclare être victime de violences conjugales et plus de 150 femmes meurent chaque année sous les coups de leur conjoint.
Comment interpeller sur ce sujet difficile ? Féminicides : Objets du crime et du quotidien. C’est un objet du quotidien qui a tout déclenché.
A l’hiver 2017, Camille Gharbi, 35 ans, passe les fêtes en famille quand elle tombe par hasard sur un article de presse. C’est l’histoire d’une jeune femme tuée par son conjoint, en pleine rue, à coups de cutter. «En tant qu’architecte, cet objet m’est familier. Le trouver dans pareil contexte a été extrêmement violent», se souvient-elle. C’est ainsi que naît un projet photographique baptisé Preuves d’amour (1), série de vingt photographies d’objets du quotidien utilisés par des hommes pour tuer leur femme. Preuves d'amour. Cette série de photographies cherche a questionner la violence domestique et la réponse que nous lui faisons, à travers son expression la plus extrême: l’homicide conjugal.
En France, une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son compagnon ou ex-compagnon. Cette information est une statistique relativement stable, qui ressort ponctuellement dans la presse écrite ou audiovisuelle. Les «drames conjugaux» ou autres «crimes passionnels», ponctuent les rubriques «faits divers» des presses locales avec une constance qui flirte avec la banalité. Preuves d'amour. La Région lance son Plan de lutte et de prévention contre les violences faites aux femmes - Sécurité. Le 8 mars a été l’occasion d’annoncer une série d’actions : mettre à l’abri les femmes lors de violences conjugales, assurer la sécurité dans les TER ou encore sensibiliser les lycéens. « Une femme meurt tous les 3 jours à cause des violences conjugales » a rappelé Maryvonne Bin Heng la présidente de l'association Filactions, soutenue par la Région pour ses opérations de sensibilisation de lutte contre les violences sexistes notamment auprès des lycéens. « Plus on parle de ce fléau, mieux on améliore la condition des femmes » explique cette pionnière de l’action en faveur de l’égalité entre les sexes. « Le chantier est énorme » constate-elle après une quinzaine d’années d’engagement.
Plus de moyens pour héberger des femmes victimes de violences conjugales - Institution. La Région double le fonds d’investissement pour construire des logements d’urgence et poursuit ses actions pour sécuriser les déplacements en train, et prévenir la violence conjugale. « En cette journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, nous ne pouvons pas détourner le regard sur une réalité tragique de notre société : 117 femmes ont été tuées sous les coups de leur conjoint depuis le début de l’année.
Grande Cause du Quinquennat : lutte contre les violences sexistes et sexuelles. Au bureau, à domicile, dans les transports en commun, à l’école… Les femmes, quel que soit leur âge, sont exposées ou victimes de violences sexistes et sexuelles dans différents contextes, divers lieux. Ces violences, intolérables, sont interdites et punies par la loi.
Aujourd’hui, dénoncer ne suffit plus : il faut désormais changer les comportements. La campagne « Réagir peut tout changer » vise à mobiliser l’ensemble de la société française car chacun est concerné et doit se sentir concerné. Et plus particulièrement l’entourage, plus ou moins proche, et les potentiels témoins : il peut s’agir de la famille, des amis, des collègues, des personnes exposées à une scène de violence et/ou ayant eu connaissance de violences. Les 4 spots de la campagne illustrent la diversité des cas selon la forme de violence (sexistes ou sexuelles, verbales ou physiques) ou le lieu (sphère privée, sphères professionnelle et scolaire, ou encore espace public). Les associations près de chez vous. Vous avez 573 résultats avec cette recherche. accueil, écoute, information, accompagnement | écoute téléphonique | autre toutes violences faites aux femmes 33 - Gironde - FNSF A.
C. V. 2 F. Adresse : #MeToo: Weinstein jugé coupable de viol - Info et société. Violences conjugales : ces victimes isolées. Prévention / violences conjugales. Collages Féminicides (@CFeminicides) / Twitter. La Région lance son Plan de lutte et de prévention contre les violences faites aux femmes - Sécurité. Paroles d’hommes : Damien - 80 affiches pour dénoncer les violences faites aux femmes. Violences conjugales : #ViolenceJeTeQuitte pour sensibiliser. Lorsqu’on entend violences conjugales, l’image qui vient en tête est souvent celle d’un mari frappant sa femme. Un couple marié, probablement avec des enfants, au moins la trentaine. Pourtant, les jeunes femmes constituent une part importante des victimes de violences au sein du couple. #ViolenceJeTeQuitte, une campagne pour lutter contre les violences dans le couple Si l’image d’une adolescente ou jeune femme victime de violence au sein du couple ne correspond pas au stéréotype relayé par de multiples campagnes, c’est parce que les formes de violences peuvent varier.
La violence physique n’épargne pas les jeunes femmes, mais d’autres types de mauvais traitements peuvent s’appliquer. Journée nationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Affiches, Vidéos et campagnes d’information. Campagne 2015 A l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le gouvernement lance une nouvelle campagne pour faire connaître largement la ligne téléphonique 3919, numéro d’écoute et d’orientation, anonyme et gratuit, disponible pour toutes les femmes victimes de violences, 7 jours sur 7 Cette affiche est disponible au format pdf : Campagne 2014.
Féminicides et politiques dictatoriales : les affiches péruviennes de Natalia Iguiñiz Boggio. L’exposition Fiesta Gráfica est visible gratuitement jusqu’au 7 mai, à la Maison de l’Amérique Latine. Et elle n’est pas une excuse pour revenir sur le travail de l’affichiste français Michel Bouvet. Au contraire, elle donne à voir l’émulation créative des affichistes officiant aux quatre coins de l’Amérique du Sud. La créativité de ceux que l’on ne connait pas ou que trop peu. 18 affiches contre les violences faites aux femmes.