Penser la pandémie en géographie. Comprendre le monde dans lequel nous vivons. CHRONIQUE GEOVIRALE 1 par Michel Lussault, directeur de l'École urbaine de Lyon. CHRONIQUE GEOVIRALE 2 par Michel Lussault, directeur de l'École urbaine de Lyon. CHRONIQUE GEOVIRAL 3. CHRONIQUE GEOVIRALE 4. CHRONIQUE GEOVIRAL 5. CHRONIQUE GEOVIRALE 6. CHRONIQUE GEOVIRALE 7. CHRONIQUE GEOVIRALE 8. CHRONIQUE GEOVIRALE 9. CHRONIQUE GEOVIRALE 10. Les déb@ts du FIG : #1 LES ESPACES DU CONFINEMENT.
Bonjour Louis Pierre, Oui il y avait le travail sur Renaissance et humanisme, puis celui sur Réforme et Guerres de Religion. Si cela a été fait, il y a aussi une collection en géo à visionner, et je vous demanderai une petite synthèse ensuite. Bonne journée – stephane_descombaz
L'émission était en direct hier, mais vous pouvez la revoir en suivant le lien YouTube. Comme cela semble vous intéresser, je vais essayer de vous trouver d'autres ressources. C'est effectivement passionnant ! 🙂 – stephane_descombaz
Le coronavirus, un tournant géopolitique? - Géopolitique, le débat. Coronavirus : une affaire géopolitique. L’épidémie de Coronavirus a déjà fait près de 2 000 morts et continue à se répandre.
Par son ampleur, les craintes et les réactions qu’elle suscite, elle n’est pas seulement une affaire médicale, elle prend une tournure géopolitique. Comment expliquer la force des angoisses qu’elle a provoquées ? Les rumeurs les plus folles ont couru. On a vu des gens changer de direction dans la rue pour éviter de croiser des Chinois, de peur d’être contaminé, suggérant que tout Chinois était devenu contagieux. L’épidémie a provoqué des réactions tout à fait irrationnelles.
Or, en s’intéressant aux grandes pandémies les plus récentes, on constate que les proportions ne sont plus du tout les mêmes. Pourquoi cette épidémie de coronavirus fait-elle plus peur que celle de la grippe qui fait chaque année des milliers de morts sans susciter le même effet de panique ? On se demande également si cette épidémie ne va pas stopper l’ascension de la Chine, qui semblait jusqu’ici irrésistible ?
Géopolitique : Toute l'actualité internationale et podcasts France Culture.
Une série d'émissions en lien avec l'actualité sanitaire. Les points de vue différents n'engagent que les auteurs qui les prononcent, mais leur écoute peut se révéler instructive pour mieux penser nos sociétés, et la société à venir. Bonne écoute à toutes, et tous, et portez vous bien ! Au plaisir de vous revoir vite 🙂 – stephane_descombaz
Michel Lussault, De la lutte des classes à la lutte des places. 1Avec De la lutte des classes à la lutte des places, M.
Lussault convie le lecteur à explorer les ressorts spatiaux de nos actions et interactions quotidiennes. Si l’auteur reprend en partie la démarche engagée dans son précédent ouvrage, l’Homme spatial, l’alchimie entre des études de cas finement analysés, et de stimulantes réflexions théoriques donnent à cet opus l’aspect d’un « roman vrai » aux indéniables vertus pédagogiques, et ce alors même que le projet intellectuel proposé est particulièrement ambitieux. En effet, il s’agit de démontrer qu’un détour par les « épreuves spatiales » (p. 10) auxquelles nous sommes, à chaque instant, confrontés constitue un moyen pertinent pour aborder la problématique essentielle de la régulation politique des sociétés, définie en l’occurrence et en référence à H.
Arendt comme « un travail permanent de définition et d’application des normes de qualification et de gestion de ’l’espace qui est entre les hommes’ » (p. 36). COVID-19 : les frontières sont de retour en Europe. Les frontières extérieures de l’Europe seront fermées aujourd’hui pour trente jours, une mesure à l’efficacité contestée, alors que d’autres frontières se ferment, unilatéralement, à l’intérieur même de l’Europe.
La symbolique est forte. Devenue l’épicentre de la pandémie de COVID-19, l’Europe fermera aujourd’hui ses frontières extérieures pour trente jours. La mesure sans précédent est paradoxale, car c’est plutôt le reste du monde qui se méfie des Européens en pleine épidémie, et leur ferme ses portes, plutôt que l’inverse. 100 pays refusent désormais l’entrée aux Français, par exemple. Mais elle montre à quel point cette question des frontières est porteuse de plusieurs sens, difficiles à démêler. Cette décision des 27 est d’autant plus complexe que ces derniers jours, les fermetures de frontières se sont multipliées, mais à l’intérieur de l’Union européenne, et même à l’intérieur de l’espace Schengen qui regroupe 22 des 27 pays de l’Union. UFR Histoire, Géographie, Patrimoines - Université d'Artois - Les épidémies dans l'histoire – 1 : La peste d'Apollon.
« La pandémie souligne la vulnérabilité d’un système fondé sur les villes-mondes » Tribune.
L’actuel épisode pandémique nous « rappelle que nous sommes vulnérables, nous l’avions sans doute oublié », a déclaré le président de la République lors de son allocution du 13 avril. Michel Lussault : « Les villes-mondes deviennent des acteurs géopolitiques » En amont de la conférence « Libertés, égalité, viabilité : la ville-monde face aux défis du siècle », qui se déroule le 28 juin à Paris (entrée libre sur inscription), Le Monde Cities propose une série de cinq articles sur les villes mondes.
En 1991, la sociologue et économiste Saskia Sassen popularisait le terme de « global city » (ville-monde), qu’elle décrivait comme le lieu où se concentrent les pouvoirs centraux des entreprises et les services indispensables au fonctionnement de l’économie mondialisée. Définition qui s’appliquait alors, selon elle, à trois villes : New York, Tokyo et Londres. Le géographe Michel Lussault, directeur de l’Ecole urbaine de Lyon, revient sur les apports et les limites de cette définition aujourd’hui. Lire aussi « Libertés, égalité, viabilité : la ville-monde face aux défis du siècle » : une conférence « Le Monde » Cities à Paris La définition que donnait en 1991 Saskia Sassen des villes-mondes vous semble-t-elle toujours pertinente ? Non. Non. 9 heures. Non-lieu (anthropologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
D'après la définition de Marc Augé, un non-lieu est un espace interchangeable où l'être humain reste anonyme. Il s'agit par exemple des moyens de transport, des grandes chaînes hôtelières, des supermarchés, des aires d'autoroute, mais aussi des camps de réfugiés. L'homme ne vit pas et ne s'approprie pas ces espaces, avec lesquels il a plutôt une relation de consommation. Le terme est un néologisme introduit par Marc Augé dans son œuvre Non-lieux, introduction à une anthropologie de la surmodernité (Le Seuil, 1992). ThucyBlog n° 30 – La globalisation atteinte du coronavirus : Inégalités, égoïsme, ploutocratie, insécurité – Centre Thucydide.
Partager sur : Par Jacques Fontanel, le 23 avril 2020Professeur émérite d’économie et ancien vice-président chargé des relations internationales de l’Université Pierre Mendès France (Grenoble 2) Lorsqu’une pandémie arrive, l’Etat se trouve comptable d’une avarice liée à son endettement, aux inégalités sociales et à l’absence des ressources perdues par les systèmes d’optimisation et d’évasion fiscaux.
Le point de vue des sciences politiques – stephane_descombaz
La leçon de la pandémie du coronavirus nous le rappelle violemment aujourd’hui !
Les illusions de la mondialisation. COVID-19, une leçon de géopolitique #01 - Les deux Corée face au virus - Le Dessous des cartes. COVID-19, une leçon de géopolitique #02 - Le Brésil face au virus - Le Dessous des cartes. Sans oublier le ministre de la Santé qui s’oppose lui-aussi au président, jusqu’à Twitter qui a choisi de censurer certaines des publications de Jaïr Bolsonaro.
COVID-19, une leçon de géopolitique #03 - La Chine et Taïwan face au virus - Le Dessous des cartes. Comment expliquer ce contraste ?
Quels impacts du COVID-19 sur les ambitions de puissance de Pékin ? Thomas Gomart, le directeur de l’IFRI nous éclaire à ce sujet. COVID-19, une leçon de géopolitique #04 - L'UE face au virus - Le Dessous des cartes. Parmi eux, la Suède se distingue en n’ayant toujours pas imposé le confinement de sa population.
Une méthode qui interroge mais dont il est encore trop tôt pour juger de l’efficacité. Entre le réflexe du repli sur soi et les demandes d’aide économique, quel rôle peut jouer l’Union européenne ? Pour y voir plus clair, nous serons en ligne avec Jean-Dominique Giuliani, spécialiste des questions européennes, et président de la Fondation Robert Schuman. COVID-19, une leçon de géopolitique #05 - Le Golfe face au virus - Le Dessous des cartes. Jeudi 9 avril, on a appris que l’Arabie saoudite suspendait sa guerre au Yémen avec un cessez-le-feu.Le royaume ira-t-il jusqu’à l’annulation du hajj, le grand pèlerinage annuel à La Mecque ?
Pour en discuter, nous sommes en ligne avec Laurent Bonnefoy, chercheur au CNRS et spécialiste de la péninsule arabique. Il est actuellement en poste à Mascate au sultanat d’Oman. COVID-19, une leçon de géopolitique #06 - Le monde aérien face au virus - Le Dessous des cartes. Le manque à gagner est évidemment considérable pour les différents acteurs économiques qui dépendent du transport aérien. Tous se demandent quand le trafic pourra reprendre et surtout s’il retrouvera un jour son niveau d’avant la crise. Fabrice Gliszczynski, rédacteur en chef de La Tribune et spécialiste du transport aérien, fait un point sur la situation. COVID-19, une leçon de géopolitique - #07 - Mali : élections et virus.
Les infrastructures médicales du pays sont effectivement insuffisantes pour affronter une trop rapide détérioration de la situation sanitaire. En attendant, les Maliens sont surtout préoccupés par les élections législatives qui ont eu lieu les 29 mars et 19 avril derniers, les premières depuis 2013. L’enlèvement par un groupe djihadiste du chef de file de l’opposition au président Ibrahim Boubacar Keita, Soumaïla Cissé, illustre bien le contexte d’insécurité dans lequel celles-ci se sont tenues.La sécurité, l’un des enjeux majeurs de ce scrutin dont les résultats définitifs ne sont pas encore connus.
COVID-19, une leçon de géopolitique #08 - Le sport face au virus - Le Dessous des cartes. Tant pis également pour ces puissances qui font du sport un élément central de leurs stratégies de « soft power » à l’image du Japon ou du Qatar, deux exemples décryptés par le directeur de l’IRIS, Pascal Boniface, spécialiste de la géopolitique du sport. La pandémie du coronavirus nous fait prendre conscience, comme jamais, de notre appartenance au « village global » et de nos interdépendances : désormais, Londres regarde Paris, qui regarde Milan, qui regarde Pékin, pour savoir à quoi va ressembler le jour d’après. En parallèle, les pays ne vivent pas tous la pandémie de la même manière, parce que les mesures politiques prises ne sont pas exactement les mêmes d’un État à l’autre, parce que la géographie du pays a des incidences sur les modalités de contamination, ou encore parce que les modes de vie, les pratiques culturelles diffèrent.
Profitons-en pour améliorer notre connaissance du monde, réviser aussi nos fondamentaux : et si le COVID-19 nous invitait à changer d’échelle ? Une leçon de géopolitique du DDC #02 - Mexique : virus et inégalités - Le Dessous des carte. Épidémies, une longue histoire - Le Dessous des cartes. How the Virus Won.