Bts gpme. Documents pédagogiques - Français - Lettres. Video-il-y-50-ans-le-premier-vol-du-concorde-a-toulouse-5862557-4755. L’histoire de l’avion de légende, symbole de la conquête des airs, commence en 1962, quand les gouvernements français et britannique décident de lancer la construction d’un avion d’affaires supersonique. 29 minutes de vol effectif C’est en 1963 qu’est présentée la première maquette de Concorde dans les locaux de la British Aircraft Corporation.
En décembre 1967, l’avion conçu dans les bureaux de Sud Aviation, devenu Aérospatiale, puis Airbus, est présenté officiellement à Toulouse. Son long nez mobile, long de 7,31 m et capable de s’incliner à des angles différents, est l’une de ses particularités les plus remarquables. Cette mobilité assure au pilote une visibilité nécessaire lors des différentes phases de vol et assure également à l’appareil une meilleure pénétration dans l’air. Les 185 tonnes du premier prototype de l’avion, Concorde 001, décollent le 2 mars 1969 de Toulouse-Blagnac. Le mur du son. Cendrars Transsiberien.
Qu'est-ce que l'adrénaline ? - C'est pas sorcier. Dopamine (4/8) - Instagram - Regarder le documentaire complet. « Cette maladie s’appelle d’un nom très joli : la vitesse » Au tournant du siècle, en 1907, Octave Mirbeau publie un étrange récit.
Malgré son titre en forme de plaque d’immatriculation, « La 628-E8 » n’est pas à proprement parler un carnet de voyages. C’est un texte inclassable dans lequel l’auteur du « Journal d’une femme de chambre » parle de l’automobilisme comme d’une « maladie mentale » [PDF] : « Cette maladie s’appelle d’un nom très joli : la vitesse. » Making of Chaque technologie a produit ses angoisses et l’attente de grandes catastrophes. Thierry Noisette. Etienne Klein : « Notre façon de confondre temps et vitesse en dit long sur notre rapport à la modernité » Le philosophe et physicien français, Etienne Klein, 57 ans, est directeur de recherche au Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA).
Il dirige le Laboratoire de recherches sur les sciences de la matière (Larsim) de Saclay, dans l’Essonne. Il est l’auteur de nombreux ouvrages dont Les tactiques de Chronos et Le facteur temps ne sonne jamais deux fois (Editions Flammarion, respectivement 18,30 € et 20,30 €). La tyrannie de la vitesse. Des journées trop chargées, à se dépêcher, à courir, pour tenter d’effectuer ce qui, en se couchant, restera à faire.
À terminer demain. « Il faudrait allonger les journées ! », dit une collègue. « Le temps passe trop vite ! », se plaint l’autre. « On vit comme des dingues », renchérit la troisième. « Vous les Occidentaux, vous courez vers la mort ou quoi ? », m’a un jour demandé un Sénégalais. La tyrannie de la vitesse. Éloge de la lenteur. BTS A toute vitesse ! La vitesse au cinéma. Cinéma, art du mouvement, saisit celui-ci à chaque fois qu'un personnage accomplit une action pour réparer quelqlue chose qui s'est perdu ou sauver quelqu'un.
Ainsi dès les débuts du cinéma des poursuites entre indiens et cow-boys, entre gendarmes et voleurs s'incarnent dans le montage alterné, synonyme de suspens : Naissance d'une nation, sera le premier et contestable chef-d'oeuvre du cinéma organique à l'américaine. ENSLL 2014 Ciné Barbier BD. A toute vitesse I II III .odt. SEQUENCE CULTURE GENERALE ET EXPRESSION BTS. Vitesse (2/5): Appuyer sur l'accélérateur. Deuxième jour dédié à la vitesse, deuxième façon de l'explorer: Michel Paty est directeur de recherche émérite au CNRS.
Il est rattaché au Laboratoire SPHère, groupe de recherches en Sciences, Philosophie et Histoire de l'Université Paris VII - Denis Diderot. Plusieurs de ses travaux traitent du temps et de la vitesse en physique. Il nous éclairera aussi d'un point de vue historique et épistémologique, en évoquant les grandes avancées, les grandes propriétés de sa discipline. Hier, la philosophie et le bon sens populaire nous faisaient ne pas confondre urgence et accélération. Paul Virilio, penseur de la vitesse. Dans l’actualité des idées aujourd’hui : Paul Virilio, un monument de la pensée, penseur agile et inquiet, disparu à l’âge de 89 ans.
Né en 1932, il appartenait à cette génération marquée par la guerre et par ce qu’il avait qualifié d'« esthétique de la disparition ». Pour toujours attachés à son nom, les mots de vitesse et d’accélération, les concepts de « tyrannie du temps réel » et celui de « mondialisation des affects ». On était tous dans ce rêve d’une autre ville, d’une autre façon d’aborder la ville au-delà de l’urbanisme traditionnel. Une ville qui serait basée sur la continuité. (Jean Nouvel) Cette espèce d’explication du monde par la guerre, on va la retrouver tout au long de son œuvre. Citons trois de ses livres, tous parus chez Galilée : Vitesse et politique (1977), La Bombe informatique (1998), Le Grand Accélérateur (2010).
En 1975, il monte une exposition qui fera date, « Bunker archéologie ». Une pensée qui a marqué son époque et séduit ses pairs. L’architecte Jean Nouvel; Vitesse (3/5): Cours toujours. Continuons de questionner la vitesse, cette fois par la danse.
Emmanuelle Vo-Dinh est danseuse et chorégraphe. Elle évoquera sa dernière création, Sprint , solo de danse écrit pour Maeva Cunci avec qui elle partage un goût pour la répétition du mouvement et le dépassement de soi. Paul Virilio : conjurer la vitesse. Alors que nous évoquions à l’instant la fascination du politique et des industriels pour la vitesse, objet fantasmagorique de puissance et de modernité, il était important de rendre hommage à celui qui fut l’un de ses principaux penseurs et critiques : l’urbaniste et philosophe Paul Virilio.
Décédé le mois dernier à l’âge de 86 ans, il avait consacré une partie de sa vie et de son œuvre à l’étude de cette vitesse, omniprésente, omnipotente, sur nos vies sociales, économiques et politiques. Il étudie ainsi ces questions dans son ouvrage Vitesse et Politique : essai de dromologie, publié en 1977, dans lequel il réfléchit à l’accélération du monde. Numéro 7. La vitesse. Lovely Performance, 2002 © Nils De Coster ©Lovely Performance, 2002 © Nils De Coster La vitesse est à déterminer.
Combien de pieds par minutes, combien de pas ce soir et à quelle allure. Ce sera de vous à nous la vitesse de la voix. La vitesse inaugure des lignes et des espaces. Une nouvelle géométrie. On dit « courir un danger »… Le coup du pistolet partira. Vitesse (4/5): L'art de la vitesse. Quarième moment de notre semaine consacrée à la vitesse. Notre invité, Arnauld Pierre, est historien de l'art. Nous nous penchons avec lui sur le travail de l'artiste Xavier Veilhan, dont plusieurs oeuvres interrogent le mouvement et la vitesse, comme l'ont fait avant lui les peintres William Turner, Frank Stella et, bien sûr, le mouvement futuriste.
"Nous déclarons que la splendeur du monde s’est enrichie d’une beauté nouvelle: la beauté de la vitesse. A toute vitesse 4/4 : Le roman de la vitesse, de Paul Morand à Françoise Sagan. Par Géraldine Mosna-Savoye Réalisation : Mydia Portis-Guérin Lectures : Céline Monsarrat. A toute vitesse 3/4 : "Tout va trop vite"
Par Géraldine Mosna-Savoye Réalisation : Mydia Portis-Guérin Lectures : Céline Monsarrat Troisième temps aujourd’hui de notre semaine consacrée à celle qui se cache derrière nos "tout va trop vite", "tout va de plus en plus vite", ou encore "tout s'accélère". A toute vitesse 2/4 : "Ce que nous dit la vitesse" Par Adèle Van Reeth Réalisation : Mydia Portis-Guérin Lectures : Céline Monsarrat. A toute vitesse 1/4 : métaphysique de la vitesse. Par Adèle Van Reeth Réalisation : Mydia Portis-Guérin Lectures : Céline Monsarrat En 2009, le penseur Paul Virilio dénonce dans son ouvrage : « Le futurisme de l’instant » ce qu’il nomme une « accélération du réel », qui conditionnerait « non seulement l’histoire d’un nouveau siècle impitoyable, mais l’instant, moins présent qu’omniprésent , dans un monde amoindri et moins « contemporain » d’une quelconque histoire de la modernité, qu’intemporain , où la Terre, déjà trop petite pour le Progrès et le profit à court terme, deviendrait tout à coup trop étroite pour nos projets futurs, la dilatation de l’instant effaçant tout autant l’origine que la fin, la finitude géophysique de l’astre des vivants »