Pétrole : les producteurs veulent garder les prix hauts, mais la menace de l’Iran se précise. Historique: en chute libre aux États-Unis, le baril de pétrole vaut moins de zéro dollar. En deux tweets, Donald Trump fait flamber le cours du pétrole de 30% Alors que la production de pétrole continue de couler à flots, malgré l'effondrement de la demande en raison du confinement, Donald Trump a évoqué sur Twitter, jeudi 2 avril, un possible accord entre l'Arabie Saoudite et la Russie sur une baisse de 10 millions de barils.
Résultat : le cours de l'or noir, jusqu'ici en berne, s'est envolé de près de 30 % avant de ralentir sur un démenti du Kremlin. «Je viens de parler à mon ami MBS (le prince héritier Mohammed Ben Salmane, NDLR) d'Arabie Saoudite, qui s'est entretenu avec le président russe Poutine», a ainsi d'abord fait savoir le locataire de la Maison Blanche dans un premier message. «J'espère et je m'attends à ce qu'ils réduisent d'environ dix millions de barils de pétrole, et peut-être nettement plus jusqu'à 15 millions de barils.
Le pétrole à 20 dollars: Donald Trump joue les médiateurs... pour sauver le schiste américain. Publiquement, Donald Trump ne cesse de se féliciter du plongeon récent des cours du pétrole, qui a fait fondre les prix à la pompe pour les automobilistes américains.
En coulisses, pourtant, le locataire de la Maison Blanche et son administration s'activent pour jouer les médiateurs entre l'Arabie Saoudite et la Russie, en conflit depuis l'échec de leurs négociations, début mars, sur une nouvelle baisse de la production. L'enjeu est crucial pour Washington: sauver de la faillite l'industrie du schiste américain pour maintenir l'indépendance énergétique du pays, si importante sur le plan géopolitique. Lundi, alors que le baril de WTI retombait à 20 dollars à New York, son plus bas niveau depuis 2002, Donald Trump a ainsi évoqué la question du pétrole au cours d'un entretien téléphonique avec Vladimir Poutine. Selon le Kremlin, les présidents américain et russe ont demandé à leurs ministres de l'énergie d'entamer des discutions.
Double choc Chute de la production. L'article à lire pour comprendre la guerre pétrolière qui fait tousser les places financières sur fond de coronavirus. L'Opep débat d'une baisse de production de pétrole face à la chute des cours - 04/12/2018 19:49:13. Une raffinerie sur l'île de Kharg (Iran) ( AFP/Archives / - ) Le président russe Vladimir Poutine et le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS) ont déjà annoncé lors du G20 que l'accord de limitation de la production qui les lie depuis fin 2016 sera prolongé en 2019.
Mais les ministres des deux géants du pétrole et de leurs partenaires, qui se réunissent jeudi et vendredi, vont désormais oeuvrer en vue d'affiner le contenu et tenter de regagner leur crédibilité auprès des marchés. Parmi les premiers arrivés dans la capitale autrichienne, le ministre algérien de l'Energie, Mustapha Guitouni, s'est montré prudent. "Il y aura une rencontre avec les 25 pays, et nous verrons", a-t-il espéré.
» [GEAB] Crise systémique occidentale 2017-2019 – Le Dieu-dollar contre la Grande Tentation du PétroYuan. Source : Global European Anticipation Bulletin, pour le LEAP, Septembre 2017.
China’s new oil contract signals shift from Brent and US dollar. Brent crude has been the global benchmark against which most oil is measured ever since the field from which it draws its name was discovered in the 1970s.
The first Brent futures were introduced in 1988 as a way for traders and refineries to smooth out volatile price movements and stabilise the market, which was being increasingly dictated by Middle East producers and the world’s largest consumers in the US. Initially, the contract only comprised light-sweet crude oil from the Brent field in the North Sea, but then was broadened to include a blend of high-quality oil from 15 different areas in the province. Today, the contract comprises oil from just four fields: Brent, Forties, Oseberg and Ekofisk. Despite declining production in the British side of the North Sea and the start of decommissioning part of the Brent field itself, the contract is still used as a reference against which about two-thirds of the world’s oil is priced. Fuel consumption is rising in China Photo: Reuters. Corée du Nord, Poutine... Les 5 raisons qui peuvent faire exploser le prix du pétrole - Challenges.fr. La confiance est de retour sur les marchés pétroliers.
Le prix du "light sweet crude" (WTI), référence américaine du brut, évolue depuis mi-septembre au-dessus des 50 dollars soit son plus haut niveau depuis mai 2017. Dans le même temps, le Brent (référence de la mer du Nord) se situe au-dessus des 55 dollars, son record depuis avril dernier. Les cours qui se sont envolés en juillet, avant de redescendre en août, connaissent depuis un mois une hausse sensible. Comprendre la dégringolade du prix du pétrole. Par le Minarchiste.
Comme le montre le graphique ci-bas, nous avons été témoin au cours des derniers mois d’une baisse significative du prix du pétrole, qui s’est accentuée en octobre 2014. Pour certains, cela est la preuve que cette ressource est abondante et que les disciples contemporains de Malthus avaient tort de croire qu’on viendrait à en manquer dans un avenir rapproché. Je fais évidemment partie des détracteurs des malthusiens de ce monde et, par conséquent, je ne crois pas que le pétrole – ou plutôt l’épuisement des réserves – engendrera une catastrophe pour l’humanité.
Le graphique Xerfi : Les mécanismes de la baisse du cours du pétrole. Pétrole: l'Arabie saoudite en passe de gagner son pari. De très grandes manœuvres sont en cours dans l'économie mondiale.
Ralentissement chinois et des BRICS, grande fébrilité des bourses mondiales, absence de remontée des taux par la Federal Reserve américaine, prix du pétrole au plus bas.Au sujet de cette situation pétrolière, dans les dernières semaines, nous avons pu lire des « analyses » un peu détonantes....Il est temps de regarder les réalités et les chiffres tels qu'ils sont, et non pas tels que l'on voudrait qu'ils soient. La règle du volume d'offre disponible Le prix actuel du baril, comme ceux que nous avons connus antérieurement lors des chocs pétroliers de 1973 et 1979, repose sur un déséquilibre de volume. Embargo (gel de volume) en 1973, révolution iranienne en 1979 et guerre Iran-Irak de 1980 (baisse des volumes produits) conduisent à un quadruplement (3 à 12 dollars) puis à un triplement (12 à 36 dollars) du prix.
La stratégie saoudienne, très logique L'impact sur la production américaine. Prix du baril - Le cours officiel du baril de pétrole. A-t-on manipulé la fixation du prix du pétrole ? questionne la Commission européenne. Ou se trouve le baril de pétrole à 200$ ? Energie > La dégringolade des cours, cauchemar des princes du pétrole.
TechnologicVehicles.com, voitures électriques et voitures hybrides, véhicules décarbonés et écologiques. De grandes difficultés pour extraire le brut, le vieillissement des installations existantes entraînent la hausse des coûts de production.
Une seule image résume la situation : le cours du baril de brut au début d’avril 2011, illustrant la tendance haussière installée depuis juillet 2010. Les prévisions pour l’année 2011 tablent sur des prix supérieurs à 100 $ le baril pour le second semestre 2011 (Goldman Sachs 14/12/2010) En plus de la situation géopolitique instable au Moyen Orient, de l’augmentation de la demande du Japon (à cause de Fukushima), plusieurs facteurs conjugués expliquent cette nouvelle envolée du brut. -Une demande en croissance soutenue La demande a retrouvé ses niveaux d’avant la crise de 2008 et pourrait les dépasser en 2011 (88.1 million de barils par jour d’après Wood Mackenzie Ltd.) Production et consommation - Chine & Inde.
Le prix du pétrole va continuer à augmenter. Les membres de l'Organisation des pays producteurs de pétrole favorables à une hausse de la production devront attendre.
"Malheureusement, nous ne sommes pas en mesure de trouver un consensus pour réduire ou relever la production" a expliqué Abdallah el Badri, le secrétaire général de l'Opep ajoutant que l'organisation se réunirait de nouveau dans trois mois. Selon le ministre du Pétrole saoudien, l'Algérie, la Libye, l'Equateur, le Venezuela, l'Angola, l'Irak et l'Iran se sont opposés à une augmentation de la production, soit plus de la moitié des 12 membres de l'organisation.
Dgec_cours_moyen_du_brent_date_en_dollar_baril.