Adoption du système métrique décimal. En 1789, il n’existe aucun système de mesure unifié entre les pays.
L’étalonnage des poids et mesures est alors octroyé au Roi, et on dénombre en France près de 700 unités de mesure différentes. Certaines sont liées à la morphologie du corps (pouce, doigt, poignée, brassée, pied, pas), d’autres au travail (hommée, fauchée, journal), d’autres encore au transport (ânée, charge, sac, tonneau)… La complexité vient aussi de ce qu’une même dénomination, le pied, par exemple, correspond à une vingtaine de longueurs différentes selon les lieux et les corps de métier. Ainsi, à Paris, les merciers, les drapiers et les marchands de toile ont chacun leur aune. Une mesure universelle et invariable, reproductible et vérifiable Pour y remédier, "Un roi, une loi ; un poids et une mesure" est bien une des doléances inscrites à l’ordre des États généraux de 1789.
Naissance du mètre. Le voyage autour du monde de Lapérouse. Par Arcana les Mystères du Monde Dans notre monde ou le cracha sur le passer et devenue un sport national, rappelons-nous des hommes qui ont défié les sciences de leurs temps afin d’ouvrir les perspectives d’un monde lointain.
Rappelons-nous de nos héros disparus qui ont fait la fierté de notre pays. Jean-François de Lapérouse fut sans conteste l’un des plus grands explorateurs du 18e siècle, il est né dans la ville d’Albi et s’engage dans la marine et participe successivement à la guerre de Sept Ans puis la révolution américaine. Quelques années plus tard, Lapérouse est missionné pour effectuer un voyage autour du monde à bord des deux navires : la Boussole et l’Astrolabe. Le voyage de Lapérouse est avant tout une mission scientifique commandée par l’académie royale des sciences. Le voyage se poursuit vers le Nord, passant par Hawaï, la Californie et l’Alaska avant d’entreprendre la traversée du Pacifique jusqu’à Macao. Source Arcana les Mystères du Monde. Benjamin Franklin en France. Contexte historique Le tableau du peintre américain George Peter Alexander Healy (1808-1894), élève de Gros en France, est une commande du roi Louis-Philippe (1773-1850) datant de 1847.
La révolution de 1848, qui éclate en février et entraîne l’abdication de Louis-Philippe, en a retardé la livraison. Il a été finalement exposé à Paris au Salon de 1855 et il a valu au peintre une médaille de deuxième classe. Soixante-dix ans après les faits, Healy a choisi de représenter un moment capital dans l’histoire des Etats-Unis et dans la vie de Franklin : la présentation du ministre américain au roi de France le 20 mars 1778, un mois après la signature de deux traités d’alliance, de commerce et d’amitié entre les deux Etats le 6 février 1778. Analyse des images Healy a choisi de représenter le moment où Franklin et Louis XVI scellent une alliance contre l’Angleterre, ce qui a permis aux colonies américaines de poursuivre leur lutte contre la métropole. Interprétation Bibliographie. Nicolas Baudin entre exploration et science participative. Cette chronique est une retranscription extraite de l’épisode 396, écrite par Alexandre Schohn, médiateur au Vaisseau de Strasbourg.
Né le 17 février 1754 à Saint-Martin-de-Ré (Île de Ré) et mort le 16 septembre 1803 à l’Île Maurice (nommée « Île de France » à l’époque) est un marin, capitaine, cartographe et explorateur français. Le 27-28 juillet 1798, lors du grand défilé de la Fête de la Liberté, fête qui célébrait la chute de Robespierre et le renouvellement de la République, les Parisiens ont pu observer des objets d’histoire naturelle ainsi mis en valeur. Ainsi il se trouvait des plantes tropicales vivantes : des bananiers, des cocotiers, des palmiers, des papayers. Ces plantes font partie d’une importante collection ramassée aux Antilles et rapportée en France le mois précédent par le capitaine Nicolas Baudin, aux commandes de La Belle Angélique.
Les Antilles Cependant Baudin finit par tomber en 1804 à la suite de son expédition scientifique aux Terres australes. Terre australes. Joseph Priestley. Portrait de Priestley par Ozias Humphrey[1], The Chemists’ Club Collection, Chemical Heritage Foundation Collections De son vivant, la réputation scientifique de Priestley résulte de sa « découverte » de l'eau gazeuse, de ses traités sur l'électricité et de ses études sur les différents « airs » (gaz), le plus connu étant celui qu'il baptise « l'air déphlogistiqué » (oxygène).
Cependant, sa détermination à défendre la théorie phlogistique et son rejet des concepts qui vont conduire à la révolution chimique l'ont isolé au sein de la communauté des savants. Jeunesse et études (1733-1755)[modifier | modifier le code] Enfance et maladie[modifier | modifier le code] Maison natale de Priestley, XVIIIe siècle, dessin, Smith Collection. Les séquelles de sa maladie l'accablant d'un bégaiement permanent, Priestley se résigne à abandonner l'idée d'entrer dans les ordres. Daventry Academy[modifier | modifier le code] Needham Market et Nantwich (1755–1761)[modifier | modifier le code]