Pistes pédagogiques. "Pièce (dé)montée" par Canopé. Annexe 1 : Du deuil à la résilience, Gisèle Vienne évoque sa prochaine création avec Adèle Haenel. Adèle Haenel © Estelle Hanania Scènes 15/05/20 13h27 Depuis le déconfinement, faute de studios accessibles en ce mois de mai, Gisèle Vienne répète à domicile avec Adèle Haenel et Ruth Vega Fernandez sa prochaine création, L’Etang de Robert Walser.
Récit d’un projet au long cours. Le jour où la création de L’Etang de Robert Walser mis en scène par Gisèle Vienne aura lieu, elle sera lestée d’une longue gestation dont les ondes, telles celles provoquées par un caillou jeté à l’eau, viendront durablement se refléter à la surface du plateau. “C’est une longue histoire, nous dit Gisèle Vienne. >> A lire aussi : Une adaptation ciné bluffante pour “Crowd” de Gisèle Vienne C’est lors d’auditions en mai 2018 que Gisèle Vienne rencontre Adèle Haenel, qui lui apparaît comme la partenaire idéale de Kerstin ainsi que la comédienne parfaite pour ce rôle.
Cet article est réservé aux abonnésIl vous reste 78% de cet article à lire. Annexe 2 : Représentations d'Antinous. Annexe 3 : L'Hôpital Henry Ford de Frida Kahlo. Annexe 4 : Camille sur son lit de mort de Claude Monet. Annexe 5 : présentation radiophonique du spectacle par Gisèle Vienne. Annexe 6 : Adèle Haenel : après deux César et un triomphe à Cannes, elle s'éloigne du cinéma. Devenue en quelques années une des comédiennes les plus scrutées du paysage cinématographique français, Adèle Haenel n’est pas près de retrouver le grand écran.
Révélée par Naissance des pieuvres de Céline Sciamma, elle a connu la consécration internationale lors du Festival de Cannes 2019 avec Portrait de la jeune fille en feu, toujours de Céline Sciamma. Deux fois césarisée, elle est une des actrices françaises les plus observées, appréciées, tant pour ses performances que ses prises de position politiques. Lors de la dernière cérémonie des César, Adèle Haenel avait quitté la salle lors de la remise à Roman Polanski du prix de la meilleure réalisation, engendrant quantité de commentaires et de réactions. Mais ceux qui espéraient la retrouver prochainement à l’écran vont devoir s’armer de patience, la comédienne n’ayant pour le moment aucun projet de cinéma en vue, et ne souhaitant pas s’y consacrer pour l’instant. "Roman ? " Bref. Annexe 7 : Konbini/Adèle Haenel - Fast Life. Annexe 8 : #MeToo : Adèle Haenel explique pourquoi elle sort du silence. World Encyclopedia of Puppetry Arts.
Artiste de théâtre et d’art plastique polonais.
Le « théâtre de la mort » de Kantor repose sur un singulier renversement des valeurs traditionnelles : dans ce travail, qui a indirectement trait à l’univers de la marionnette, la mort est considérée comme un élément positif à opposer aux valeurs de la société de consommation. Dans cette perspective, l’acteur devait apparaître aux yeux du spectateur avec la même étrangeté et la même distance que ceux entourant un cadavre. Influencé par les expériences plastiques du constructivisme et du Bauhaus, par les mouvements dada et surréaliste, Kantor ôta à l’objet toute fonction utilitaire, et réhabilita même le déchet.
Reprenant les suggestions de Bruno Schulz dans Sklepy cynamonowe (Les Boutiques de cannelles, 1934), Kantor utilisa toujours des mannequins comme doubles des acteurs vivants. (Voir Pologne.) Annexe 10 : Gisèle Vienne et ses poupées cruelles. Lisse, douce, souriante. 36 ans, aucun maquillage.
Dans sa petite cape bleu marine, Gisèle Vienne ressemble à une image. Jeune femme apparemment très sage, elle parle sur le même ton calme, n'élude aucune question, mais en adoucit les angles. Loin des rituels macabres et violemment beaux qu'elle imagine. Toujours en tournée, cette "tantôt chorégraphe, tantôt metteuse en scène, tantôt marionnettiste, et les trois à la fois", se pose dans un café, comme si elle avait la vie devant elle.
A peine une soirée en réalité, avant de repartir le lendemain matin dans le sillage de son camion rempli de poupées. Une quarantaine de ses mannequins - des adolescentes grandeur nature habillées en collégiennes - se serrent sur les bancs de l'espace 315 au Centre Pompidou, à Paris. Le titre de cette installation : Teenage Hallucination. Gisèle Vienne joue à la poupée depuis son enfance. Et quelles histoires ! Elle évoque une enfance dorée et tranquille. Page spectacle du site TANDEM. Salle MalrauxDurée estimée : 1h30Tarif BNavette au départ d’Arras le 6 janvier à 19:15 Carte blanche cinémaà l’équipe de L’Étang, mardi 5 janvier à 18:00, au cinéma du TANDEM, salle Paul Desmarets Rencontreavec l’équipe artistique à l’issue de la représentation le jeudi 7 janvier À travers le drame intime de L’Étang, Gisèle Vienne plonge dans les eaux troubles de la détresse adolescente pour explorer la perception du réel et ce que nous ne voulons pas voir sous la surface des choses.
Avec Adèle Haenel et Ruth Vega Fernandez.