Pourquoi faut-il faire vriller sa voile? Lorsque tu grées ton matos tu penses à ton pote pro de ton spot qui t’avait dit, « fait dégueuler ta voile », alors tu as tiré comme une mule au point d’amure sans te poser de question ou sans oser poser de question parce que le produspot, il a forcément raison.
D’autant qu’il est sympa, il est venu vérifier himself que tu avais bien mulé. Le gars il prend ta voile, la soulève par le bout du mât et là, sa tête change, tu sens qu’il est passé en mode ultra concentré, qu’il analyse, ça y est, il est entré en communication avec ta voile, se penche, vise, reviens au point d’écoute, re-vise… tu l’observes, impressionné ! Pourquoi faut-il rester bordé à l’attaque du jibe. Lorsque nous regardons un funboarder confirmé faire un magnifique jibe sans quasiment perdre de vitesse, nous pouvons remarquer qu’il rentre à pleine vitesse dans la courbe.
Et lors de l’abattée, il conserve sa voile bordée en se penchant vers l’intérieur du virage pour une prise de carre intérieure. Pourtant si tu te rappelles tes cours de voile au club municipal lors de tes passionnantes séances de voile scolaire en Optimist, tu te souviens du moniteur qui de son zod te disait : « choques si tu veux abattre ! ». Et là, tu ne rêves pas, tu vois que le gars abat full speed sans prendre la peine de choquer !
N’est-il pas allé en voile scolaire ? Tes questions sont bonnes, jeune padawan et je vais tenter d’y répondre… effectivement tu ne rêves pas, il ne choque pas et ça abat quand même ! Il faut d’abord refaire un petit point sur la réalité du vent que reçoit ton engin lorsque tu es calé dans les straps au harnais et que tu déboules. Le vent Vitesse – Réel – Apparent : Brevet P - theorie. Centre de poussée vélique. Impossible Impossible de répondre comme ça, tellement de paramètres entrent en compte.
Un exemple, en planche à voile (parce que là, tu le sens bien le centre de poussée vélique, avec tes bras à toi qui tétanisent quand c'est pas bien réglé) : Avec la même voile (j'insiste !) De 5,5m² tu lâches 2 cm de gundant (soit 0,5%) et ton centre s'est reculé de 10 cm (5%) et est monté de 20, surtout dans les claques. Tu prends 2 cm de guindant et il s'abaisse de 20 (sans pour autant avancer, cette fois, ou très peu). Passons à l'écoute : tu laches 2 cm et ton centre avance de 5 cm, tu prends 2 cm et le centre recule un peu et baisse. Slambert.fr: Pratiquer le windsurf. Une planche à voile utilise le vent pour se mouvoir.
Le flotteur ou une partie de celui-ci glisse sur l'eau et la voile utilise la force du vent pour propulser le flotteur. Le windsurfer doit donc connaître la direction d'ou vient le vent du vent et régler sa voile pour en tirer le meilleur profit. Différentes allures. Physiquemoniteurvoile.pdf. Art3.pdf. FFVoile - La théorie c pratique. Effort sur une voile. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Exemple d'effort du vent sur différents types de voile de voiliers classiques lors d'une régate à Cannes en 2006. Le calcul vélique est essentiel pour bien concevoir un bateau à voile (Stabilité du navire...). La modélisation d'une voile, c'est-à-dire le calcul de l'écoulement du vent sur cette voile est fondée sur le calcul intégral [Note 1]. Le calcul est du domaine de l'aérodynamique de la mécanique des fluides.
La conception et l'étude d'une voile de bateau repose sur plusieurs disciplines scientifiques d'avant garde : les modèles d'aéroélasticité, combinaison de la mécanique des fluides numérique et des calculs de structure [4]. Les voileries ont désormais plusieurs solutions pour concevoir leurs voiles : les tests grandeurs nature, les essais en soufflerie, la simulation numérique ou encore un mixte des solutions précédentes. L'article se concentrera sur l'interaction des trois éléments suivant : La force[Note 14] : avec On note parfois. La planche à voile. « Si l’histoire des pratiques de jeux et de sports s’est récemment renforcée, c’est surtout par l’investigation des transformations de leurs usages sociaux.
Très peu de recherches par contre sur le développement des innovations techniques, sur leurs chronologies, leurs contextes. Cette histoire reste à faire. » (Vigarello 1988). 1Est-ce en raison de sa jeunesse ? , toujours est-il que l’histoire de la planche à voile n’a jusqu’à présent guère bénéficié de contributions savantes. Si la succession des innovations en matière de flotteurs, gréements, accessoires ou vêtements paraît simple, une reconstitution approximative risque d’être partielle, ou d’occulter quantité de tentatives et de balbutiements non retenus dans la genèse chaotique de l’engin. 2En effet, nous retiendrons davantage la perspective synchronique en laquelle se recoupent différents champs de la vie sociale et qui en interroge les acteurs. 12La planche à voile à ses débuts, est une affaire d’« hommes forts ».