Population et Sociétés Dans la conjoncture démographique récente de la France, deux constats sont étonnants, que Gilles Pison décrypte ici. Contrairement aux attentes, la fécondité se maintient malgré la crise économique. Alors que celle-ci a entraîné une baisse de la fécondité dans la plupart des pays développés, n'aurait-elle eu aucun effet en France ? La mortalité des nouveau-nés semble par ailleurs mal connue depuis quelques années. Quelles en sont les raisons ?
Fondation pour l'Enfance Jeudi 20 novembre, en présence de députés, de Margaret Tuite, la Coordinatrice de la Commission Européenne pour les Droits de l'Enfant, les docteurs Salmona au nom de l'UNICEF et Lazimi au nom de la Fondation pour l’Enfance, Ont alerté les participants du colloque sur les « Violences éducatives ordinaires » organisé dans l’Université de Nanterre sur le risque sanitaire réel que représentent les châtiments corporels, les négligences et les maltraitances psychologiques. En savoir plus Dans la lignée de ses missions liées au développement d'un réseau de parrainage de proximité en France, la Fondation pour l'Enfance a participé a une rencontre autour de différentes associations de parrainage de proximité dont : France Parrainages, Horizon Parrainage, Parrainage 17 et Parrainage 33. Ces rencontres permettent d'échanger et mutualiser les bonnes pratiques. En savoir plus.
Maltraitance infantile - Institut de Victimologie La maltraitance infantile a toujours été l'objet d'un puissant déni, chaque avancée étant suivie d'une régression. Actuellement ce déni prend de nouveaux masques : « fausses allégations », aliénation parentale, résilience mal comprise, familialisme, et plus encore depuis l'affaire dite d'Outreau où l'on oublie que les 12 enfants qui étaient partie civile au procès en appel à Paris ont tous été reconnus victimes de viols et actes de proxénétisme. La fréquence : Les définitions : La maltraitance infantile englobe les graves négligences, les violences psychologiques, physiques et sexuelles.
REAAP 76 - Réseau d'ecoute, d'appui et d'accompagnement des parents Le réseau Parentalité en Seine-Maritime s’appuie sur un ensemble de partenaires, d’associations et d’institutions qui œuvrent pour accompagner et soutenir les familles de Seine-Maritime tout au long des étapes clés de la relation parents-enfants. Cette démarche partenariale s’inscrit dans le cadre du Comité départemental de soutien à la parentalité, co-pilotée par la Caisse d’Allocations familiales de Seine-Maritime (Caf de Seine-Maritime), la Direction départementale de la cohésion sociale (Ddcs), le Département de Seine-Maritime ainsi que l’Education nationale, la Protection judiciaire de la jeunesse (Pjj), l’Union départementale des associations familiales (Udaf), la Caisse maritime des Allocations familiales (Cmaf), la Caisse de mutualité sociale agricole (Cmsa) et les structures associatives partenaires. Cette organisation départementale s’appuie sur des comités de pilotage, techniques et d’animation.
Maltraitance : 100.000 enfants en danger Ce chiffre, stable d'année en année, est au cœur d'un colloque organisé ce vendredi au Sénat. Valérie Trierweiler, qui préside cette réunion, évoque un futur texte législatif qui devra notamment aborder la question du signalement des cas de maltraitance. En France, deux enfants meurent chaque jour sous les coups de leurs parents. Protection de l'enfant contre la violence et les mauvais traitements - Violence La violence se rencontre dans les écoles, les établissements spécialisés (tels que les orphelinats et autres établissements de soins), dans la rue, sur le lieu de travail et dans les établissements pénitentiaires. Les enfants sont confrontés à la violence chez eux, au sein de leur famille et de la part d'autres enfants. Une faible proportion des actes de violence commis contre les enfants entraînent leur mort, mais le plus souvent, la violence ne laisse même pas de traces visibles. C'est pourtant l'un des plus graves problèmes auxquels les enfants soient confrontés aujourd'hui.
Moins de violence envers les enfants, vraiment? Le 18 juin dernier, l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) diffusait les résultats de la troisième édition de l'enquête «La violence familiale dans la vie des enfants», réalisée en 2012 auprès de plus de 5000 parents québécois. En dépit de son envergure et de sa grande qualité méthodologique, cette enquête a eu peu de retentissement dans les médias, si ce n'est pour souligner une bonne nouvelle : la punition corporelle est en baisse au Québec. En effet, 35% des jeunes Québécois ont été secoués ou pincés, ou ont reçus des tapes sur les mains, les bras, les jambes ou les fesses, au moins une fois au cours de la dernière année, alors que cette proportion était de 43% en 2004 et de 48% en 1999. De plus, l'enquête révèle qu'un nombre croissant de parents désapprouvent la punition corporelle et font usage de méthodes disciplinaires non violentes, comme expliquer les choses à l'enfant ou lui retirer des privilèges.
La protection de l'enfance en danger Maltraiter un enfant, ce n’est pas seulement lui faire subir des violences physiques, c’est aussi négliger ses besoins, physiologiques et affectifs, ou lui imposer un mode de vie incompatible avec son âge et sa maturité. Signaler un enfant en danger En votre qualité de citoyen, si vous avez connaissance d’une information préoccupante sur un enfant, vous devez contacter les services compétents : Chaque année, plus de 300 enfants maltraités sont signalés dans l’Orne.