Impact des mines à ciel ouvert dans l'exploitation des terres rares
Dans l’exploitation des terres rares, quel est l’impact des mines à ciel ouvert sur notre environnement et sur la santé des travailleurs ? Pour la fabrication de nos objets connectés, les,moteurs électriques, les pots catalytiques… nous utilisons un grand nombre de métaux. Ces métaux, appelés terres rares, sont extraits de la croûte terrestre.
Produire en France
Encore une fois, M. Bayrou met le doigt là où ça fait mal. En 2007, il évoquait le noir nuage de la dette, message qu'il sut faire passer à la faveur d'un autre point sensible: la collusion media-affaires-politichiens.
Énergie en Russie
La Russie possède en 2016 les deuxièmes réserves de gaz naturel du monde (17,3 % des réserves prouvées mondiales) après l'Iran, ainsi que les troisièmes réserves de charbon (14,1 %) après les États-Unis et la Chine, et les sixièmes de pétrole (6,4 %). La production d'énergie primaire en 2014 est constituée presque entièrement (94,7 %) de combustibles fossiles : pétrole (40,5 %), gaz naturel (39,6 %) et charbon (14,5 %). La Russie est en 2016 au 2e rang mondial des producteurs de gaz naturel (16,3 % de la production mondiale), au 3e rang des producteurs de pétrole (12,2 %) et au 6e rang des producteurs de charbon (5,3 %), au 1er rang des exportateurs de gaz naturel avec 16,9 % des exportations mondiales et au 1er rang des exportateurs de pétrole (13,2 %) ; en 2015, elle était au 3e rang des exportateurs de charbon (10,8 %).
Réserves d'uranium naturel dans le monde : chiffres, acteurs majeurs
On trouve de l’uranium partout dans la croûte terrestre, dans des proportions variables, et également dans l’eau de mer. Proportion d’uranium sur terre (ppm : part par million : 0,0001%) Les roches sont toujours qualifiées de « minerais » lorsqu’elles possèdent une concentration en uranium supérieure à 1 000 ppm (soit 0,1%). Des roches ayant des concentrations en uranium inférieures à 0,1% peuvent également être qualifiées de « minerais » à condition que l’uranium puisse y être facilement séparé des autres éléments et soit économiquement recouvrable.
Produire en France ? Encore faut-il savoir quoi et comment
Avec les difficultés de Lejaby et de Caddie, les menaces récurrentes sur la sidérurgie lorraine ou la polémique sur l’usine ouverte par Renault au Maroc, le thème du "produire en France" s’est installé dans la campagne présidentielle, mis en avant en particulier par François Bayrou. Bayrou appelle à "acheter français pour soutenir... par BFMTV De fait, le constat est alarmant. En 2011, l’industrie ne représentait plus que 12% des emplois en France, contre 16% en 1990. Et le tissu d’entreprises exportatrices s’est réduit de 15 % depuis 2002.
La dépendance énergétique européenne
En février 2016, l'Office européen des statistiques (Eurostat) a publié un état de la dépendance énergétique européenne. Cette dépendance du continent aux importations, notamment de pétrole et de gaz, est au centre des préoccupations politiques relatives à l'Union de l'énergie. Les tensions entre l'Europe et la Russie autant que l'instabilité du cours du pétrole ou encore l'imprévisible issue du conflit au Moyen-Orient amènent à s'interroger sur les risques que fait encourir ce manque d'indépendance de l'Union européenne. D'où vient l'énergie européenne et quels pays en importent le plus ? La réponse en carte. La dépendance énergétique au plus bas dans 9 Etats membres
L'éolien en chiffres
L’Europe est un acteur majeur de la production d’électricité d’origine éolienne derrière l’Asie (Chine et Inde) et l’Amérique du Nord. Avec la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte, promulguée le 18 août 2015, la France s’est fixée pour objectif d’atteindre 32 % d’énergies renouvelables dans la consommation totale d’énergie de la France à horizon 2030. Avec 108 GW installés, l’Allemagne possède le parc le plus important devant l’Italie (60,8 GW) et l’Espagne (51,9 GW). Le parc français est le quatrième plus important d’Europe avec 13,6 GW de capacités installées en 2017.
Pro France - Le Club Produire en France
Pour maintenir la fabrication française au cœur de l'actualité, l'association Pro France a initié dès 2012 le lancement du "Club Produire en France". Lieu d'échanges et de débats entre les acteurs politiques et les entreprises, le Club a été officialisé le 3 avril 2012 à l'occasion d'une manifestation organisée à la Maison de la Chimie. Parlementaires de droite et de gauche, dirigeants d'entreprise et de fédérations professionnelles ont pu, lors de cette première réunion, débattre avec des candidats à l'élection présidentielle (ou leurs représentants) sur l'ensemble des sujets relatifs au "Made in France" et plus largement à la politique industrielle. Pour plus d'informations sur les temps forts et les intervenants présents, consultez le communiqué de presse du Club Produire en France . Le Club est co-présidé par A ce jour, le Club rassemble une centaine de députés et sénateurs de toutes appartenances politiques .
Russie : puissance ou interdépendance énergétique ?
1. Des ressources énergétiques colossales a) Le charbon, l'héritage du passé Comme les autres pays industrialisés d'Europe, la Russie a, pour l'essentiel, initialement bâti sa puissance économique sur le charbon. Elle dispose des deuxièmes plus importantes réserves de charbon de la planète, estimées à 173 milliards de tonnes, derrière les Etats-Unis (267 milliards de tonnes), mais devant la Chine (126 milliards de tonnes). Avec une production de 144 millions de tonnes équivalent pétrole en 2006, la Russie se classe au 6e rang des producteurs de charbon, derrière la Chine (1,2 milliard de tep), les Etats-Unis (595 millions de tep), l'Inde (209 millions de tep), l'Australie 203 millions de tep) et l'Afrique du Sud (145 millions de tep).
Enfin une carte des mines d'uranium en France
L'Institut de Radioprotection et de sûreté nucléaire rend public une carte et un document complet montrant les anciens sites miniers d'extraction d'uranium en France. Née après la seconde guerre mondiale, florissante dans les années 1980, l'industrie minière de l'uranium a ensuite progressivement décliné en France, pour cause de minerais trop pauvres donc peu rentables. En mai 2001, à Jouac, en Haute-Vienne, la dernière mine française fermait ses portes dans l'indifférence générale. Ce n'est donc que près de huit ans plus tard que tous les citoyens français (au prix d'un accès à Internet) peuvent connaître tous les sites qui ont un jour été utilisés. L'Institut de Radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), en effet, vient de mettre en ligne une base de données, bucoliquement baptisée Mimausa (pour Mémoire et impact des mines d'uranium : synthèse et archives). Commencée en 2003, cette base a permis de dresser l'Inventaire national des sites miniers d'uranium.
Très bon document assez long, mais qui est parfaitement en accord avec notre thème by jemaidurand_si Mar 30