Gaslighting
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le gaslighting ou gas-lighting, connu sous le nom de détournement cognitif[1] au Québec, est une forme d'abus mental dans lequel l'information est déformée ou présentée sous un autre jour, omise sélectivement pour favoriser l'abuseur, ou faussée dans le but de faire douter la victime de sa mémoire, de sa perception et de sa santé mentale[2],[3]. Les exemples vont du simple déni par l'abuseur de moments pénibles qu'il a pu faire subir à sa victime, jusqu'à la mise en scène d’événements étranges afin de la désorienter. Étymologie[modifier | modifier le code] La pièce datant de 1938 Gas Light connue sous le nom de Angel Street aux États-Unis, ainsi que les adaptations cinématographiques de 1940 et 1944 ont inspiré l'origine du terme qui désigne l'utilisation systématique de la manipulation psychologique du personnage principal sur sa victime. Le terme « Gaslighting » a basculé dans le langage courant à partir des années 1960[réf. nécessaire].
Biais d'autocomplaisance
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion de biais d'auto-complaisance désigne la tendance des gens à attribuer la causalité de leur réussite à leurs qualités propres (causes internes) et leurs échecs à des facteurs ne dépendant pas d'eux (causes externes), afin de maintenir positive leur image de soi. Cette notion a été créée par Dale T.
La dernière prophétie de Peter Deunov - Message d'espoir - Toi, toit, mon tout, mon Toit !
Je mets en article le commentaire de Charlotte. Merci à toi ma biche. La dernière prophétie de Peter Deunov
Aversion à l'incertitude
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En psychologie, l'aversion à l'incertitude est une forme d'aversion au risque se traduisant par la crainte, assez répandue, qu'en cas d'incertitude (situation pourtant générale dans la vie et dans la société, comme dans tout système dynamique) il y ait plus à perdre qu'à gagner. On constate dans la pratique qu'en ce qui concerne les enjeux importants un individu est disposé à engager des ressources pour réduire son incertitude (par exemple : achat de portes blindées, souscription de contrats d'assurance). En ce qui concerne les enjeux plus modestes, au contraire, il se montre prêt à en dépenser pour augmenter cette même incertitude :
Biais rétrospectif
Le biais rétrospectif consiste en une erreur de jugement cognitif désignant la tendance qu'ont les personnes à surestimer rétrospectivement le fait que les événements auraient pu être anticipés moyennant davantage de prévoyance ou de clairvoyance. Selon Nassim Nicholas Taleb, le biais rétrospectif est un mécanisme de déni du hasard dans lequel tout événement doit pouvoir se justifier afin d’être le plus prévisible possible, sa fonction étant dès lors de conforter les individus dans leur sentiment de contrôler l'incertitude[1]. Le biais rétrospectif engendre un coût social et économique qui peut être à l’origine de nombreuses erreurs de jugement dans des domaines aussi divers que le comportement individuel, le diagnostic médical, la spéculation boursière, les agressions sexuelles et les erreurs judiciaires par exemple. Données historiques[modifier | modifier le code] Première recherche expérimentale[modifier | modifier le code] Mécanismes[modifier | modifier le code]
La troisième guerre mondiale dans les prophéties d'Alois Irlmaier
Alois Irlmaier était sourcier et puisatier; il vivait à Freislassing, en Bavière. Il était réputé pour ses capacités psychiques. On raconte que pendant la Seconde Guerre mondiale, il avait prédit les points d'impact des bombes et localisé des personnes disparues. En raison de sa renommée, Irlmaier avait des détracteurs et fut accusé d'exercice illégal de la voyance à des fins lucratives et sorcellerie... En 1947, il comparut devant un tribunal d'instance mais il fut acquitté après audition de témoins et surtout, après une troublante démonstration de ses capacités.
Le centième singe
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les macaques japonais de l'expérimentation Le centième singe est une expression désignant, à l'origine, un phénomène supposé par lequel un apprentissage se serait répandu depuis un petit groupe de singes à toute la population des singes de la même espèce, une fois qu’un certain nombre d’entre eux aurait été atteint (masse critique ou transition de phase). Dans le courant New Age, l'expression se rapporte à une propagation paranormale d’une idée, d’un savoir ou d’une capacité au sein d'une population humaine (comme dans le concept de résonance morphique de Rupert Sheldrake) sans qu’il y ait de transmission visible et une fois qu’un nombre clé de personnes aurait acquis ce savoir ou cette capacité. Le phénomène est généralement considéré dans la communauté scientifique comme une légende urbaine.
Théorie du Nudge
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie du Nudge (ou théorie du paternalisme libéral) est un concept des sciences du comportement, de la théorie politique et d'économie issu des pratiques de design industriel, qui fait valoir que des suggestions indirectes peuvent, sans forcer, influencer les motivations, les incitations et la prise de décision des groupes et des individus, au moins de manière aussi efficace sinon plus efficacement que l'instruction directe, la législation ou l'exécution. Définition[modifier | modifier le code] « Le nudge, le terme que nous utiliserons, est un aspect de l'architecture du choix qui modifie le comportement des gens d'une manière prévisible sans leur interdire aucune option ou modifier de manière significative leurs motivations économiques.