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#lift12 : Peut-on tuer son identité numérique sur les sites sociaux

#lift12 : Peut-on tuer son identité numérique sur les sites sociaux
Par Hubert Guillaud le 29/02/12 | 4 commentaires | 3,658 lectures | Impression A l’heure où la technologie façonne notre identité projetée, quelle maîtrise en avons-nous vraiment ? C’est la question que nous adressait brillamment Gordan Savicic sur la scène de la 7e édition de Lift 2012. “Facebook est une manifestation physique et moderne de l’architecture centralisée du Panopticon“, estime l’artiste numérique Gordan Savicic (@frescogamba). “Facebook est un intermédiaire entre mes amis et moi, entre l’identité virtuelle de mes amis et la mienne. Nos amis n’en sont pas vraiment. Image : Gordan Savicic sur la scène de Lift, photographié par Ivo Näpflin pour LiftConference. Que se passe-t-il pourtant quand on essaye de supprimer cette identité ? Tuer son identité numérique pour en reprendre possession web 2.0 suicide machine promotion from moddr_ on Vimeo. Les développeurs de la Web 2.0 Suicide Machine ont même organisé des happenings et notamment une “nuit du suicide”. Hubert Guillaud

http://www.internetactu.net/2012/02/29/lift12-peut-on-tuer-son-identite-numerique-sur-les-sites-sociaux/

Le Parlement veut ficher les honnêtes gens Le projet de ficher 60 millions de "gens honnêtes" oppose sénateurs et députés. Depuis le 12 janvier dernier, ces derniers veulent en faire un fichier policier aux possibilités infinies. Un rien inquiétantes. Des sénateurs, y compris de la majorité, redoutent une dangereuse dérive liberticide. Ficher 60 millions d’innocents pour les protéger de quelques milliers de coupables – afin que les méchants n’usurpent pas l’identité des gentils, et, plus prosaïquement, afin de garnir les tiroirs caisses des fabricants.

Oublier l'oubli : mémoire et traçabilité numérique Cycle de conférences PACA-Marseille "L'Internet change-t-il le temps ?", 31 mars 2011 Une conférence de Louise Merzeau, organisée par l'ADBS Paca, en partenariat avec l'Alcazar BMVR de Marseille, dans le cadre du cycle de conférences "L'Internet change-t-il le temps ?". Connexions, navigations, consultations, évaluations, relations : dans l'environnement numérique, tous nos agissements déposent une trace, souvent à notre insu. En quête d’une identité unique, en ligne et hors ligne Des chercheurs britanniques mènent une étude sur une « super-identité », qui serait valide dans les univers numériques comme dans le monde réel. Des chercheurs de l’université de Southampton, au Royaume-Uni, conduisent un effort international pour étudier l’identité, et en particulier la façon dont l’existence de multiples identités numériques et dans le monde réel affecte la sécurité. Cette étude sur trois ans met l’accent sur la notion d’une « super-identité », autrement dit une identité unique et définitive. Après tout, nous sommes des personnes uniques, et tôt ou tard tous ces alias (en ligne ou dans la vraie vie) reviennent à une entité « centrale » unique.

Le débat : l'anonymat en ligne est-il encore utile ? L'anonymat numérique est-il encore utile ? En 2012, le pseudo n'est plus vraiment à la mode : de plus en plus de blogueurs préfèrent le laisser de côté, et capitaliser sur leur nom. D’où notre question : l'anonymat sur Internet a-t-il encore une utilité voire un sens ? A-t-il encore sa place sur Internet ? Identité numérique : Qui êtes-vous sur le Web? « Avez-vous une pièce d’identité? » est une question qui prend une importance insoupçonnée lorsqu’il est question de l’univers numérique. En effet, au-delà du fait d’avoir ou non une adresse de courriel ou un compte Facebook, toutes les traces que nous laissons contribuent à forger notre identité numérique.

Bruxelles reprend la main sur la protection des données en ligne Lorsque les concertations ont démarré, Matthew Newman, porte-parole de Viviane Reding, n’était même pas encore en poste. C’était en 2009 et les politiques cherchaient un moyen de moderniser la directive européenne de 1995 sur la protection des données. Maintenant, après plusieurs mois de discussions entre politiques européens, lobbyistes et acteurs du numérique, le grand chantier arrive à sa fin. Une nouvelle mouture comprenant plusieurs grands principes dont le droit à l’oubli. "Le droit à l’oubli existait en principe, mais n’avait jamais été clarifié. Quand quelqu’un ne veut plus qu’une information le concernant soit utilisée, il a le droit de la retirer, mais surtout de demander à faire en sorte que tout soit complètement effacé", commente Matthew Newman.

De Beaumarchais à Internet : de la calomnie à l'e-réputation négative La calomnie et la désinformation ne sont pas choses nouvelles en ce monde. Dans le cadre de ce dossier spécial, nous nous penchons sur cette ancienneté du phénomène : De Beaumarchais à Internet : de la calomnie à la e-réputation négative qui tente de poser quelques jalons historiques, remontant au cheval de Troie, toute première opération de désinformation, et passant par l'émergence de l'e-réputation sur les réseaux télématiques des années 1980. "La calomnie, Monsieur ? Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés. Croyez qu'il n'y a pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville, en s'y prenant bien ; et nous avons ici des gens d'une adresse !...

L’identité numérique Stock.Xchng 1/ Définition Milad Doueihi identifie l’émergence d’une nouvelle identité inscrite au cœur du processus de numérisation de nos sociétés : l’identité numérique. Il la définit en trois points principaux[1] dans La Grande Conversion numérique : - L’identité numérique est transjuridictionnelle : elle traverse l’ensemble des juridictions. Ce que Google fait de vos données personnelles 01net le 21/04/10 à 19h35 sommaire Souvent critiqué pour son manque de respect de la vie privée, Google entend désormais jouer la transparence. Du moins un peu plus. De passage à Paris, Alma Whitten, son ingénieur en chef chargé de la confidentialité (privacy en anglais), nous a donné plus de détails sur le traitement des données collectées par le moteur de recherche, Gmail ou le navigateur Chrome.

Facebook met à jour sa politique d'utilisation des données Lorsque Facebook met à jour sa politique de confidentialité, le but affiché est souvent la clarification des règles, pour que les membres s’y retrouvent. Le réseau social souhaite se donner une image d’entreprise « transparente », malgré le fait qu’elle vive grâce aux données des utilisateurs. Récemment, Google a également modifié ses règles de confidentialité. Derrière la bonne foi affichée, la CNIL avait pointé du doigt les dangers inhérents à ces changements. Facebook semble ici copier son concurrent, en explicitant davantage certaines règles… au détriment de l’utilisateur ? Internet : faire respecter sa vie privée... et surtout sa vie intime C’est connu : qu’on fasse une recherche sur Google ou qu’on se serve de réseaux sociaux, nos données personnelles sont collectées, notamment à des fins commerciales. Les Etats peuvent également s’en servir à des fins judiciaires. A cela, la réponse est souvent la même :

Normalement cette Suicide Machine a tout pour nuire Facebook, vu qu'elle supprime toutes les informations sans toucher aux comptes principaux, elle fait un grand nettoyage, cependant entre de mauvaises mains, ils pourraient manipuler ces données, bel article :) by hmuhsen Mar 11

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