http://www.mindmeister.com/fr/153648606/dispositifs-de-m-diation-num-rique
Bibliothèques et humanités numériques - épisode 3 Trois approches graduées et cumulatives des humanités numériques en bibliothèque ont été identifiées par Jennifer Vinopal et Monica McCormick2 (New York University Libraries). La première approche tire parti de la numérisation et consiste, suivant un principe de mutualisation, à mettre à la disposition des chercheurs ou d’autres services les infrastructures et workflows mis en place par la bibliothèque pour l’accès aux ressources produites au format numérique. La deuxième voie repose sur une offre de services dédiés à la recherche et à la publication numérique : création d’une archive institutionnelle, hébergement d’une revue en ligne, aide à la production de vidéos ou d’enregistrements audios, prestation de conseil sur la numérisation, les métadonnées ou le droit d’auteur…Quant à la troisième, incarnée par les Digital Humanities centers, elle se caractérise par une forte composante recherche et développement. Pour I. Galina Russell, la bibliothèque a tout lieu de remplir ce rôle.
De l’identité à la présence numérique Quelles notions enseigner quand on enseigne l’identité numérique ? Comment faire pour, une fois le discours légitime des dangers d’Internet énoncé, aller au-delà et apprendre aux élèves à évoluer dans cet espace médiatique en exerçant une présence numérique assumée ? Comment conduire les élèves à l’acquisition d’une véritable culture informationnelle dont les objectifs sont de réussir à Réaliser, Réfléchir et Résister dans le contexte du numérique ? La lecture des travaux de Louise Merzeau[1] a été pour moi éclairante. Médiation numérique : une définition J'ai écrit ce blog entre 2005 et 2018, de nombreux billets peuvent vous intéresser. Désormais je m'occupe de Design des politiques publiques. Retrouvez-moi sur mon nouveau blog ! Symbioses Citoyennes Je me rends compte qu’il est nécessaire de clarifier et de faire évoluer ma définition de médiation numérique des savoirs. Je vous propose donc celle-ci, elle porte sur le domaine de l’information-documentation, elle est expérimentale et s’incarne dans une démarche globale et un projet.
Assises de la médiation numérique, retours d’Ajaccio Contexte et objectifs Face aux écarts (générationnels, de revenus, de qualification, géographiques, d’accès aux équipements, d’usages ) dans les pratiques numériques, quel sens prend « l’accès pour tous au numérique » ? Quelles organisations collectives sont encore nécessaires ? La médiation numérique, pour quoi, pour qui et comment ? À quoi servent les espaces publics numériques (EPN)? Sur le papier, la réponse est simple : à accompagner le public vers ce qu’on appelait, dans les années 1990 (je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans…), les « nouvelles technologies de l’information et de la communication ». Ce qui pass e notamment, et très basiquement, par l’accès à Internet (dont on a parfois tendance à oublier qu’il est une ressource inégalement répartie). Bref, à lutter contre la fameuse « fracture numérique » qui, depuis plus de vingt ans, mobilise élus, acteurs de terrain, chercheurs et sommets internationaux sur la « société de l’information ».
Bibliothèques et humanités numériques - épisode 2 1- Relations des bibliothèques avec les humanités numériques : un partenaire naturel ? Dans un article paru en 2012 au BBF, Les digital humanities et les bibliothèques - Un partenariat naturel, Benjamin Caraco1 soulignait l’idée d’« un partenariat naturel » résultant d’une double dynamique. D'abord, parce qu'en consacrant l’alliance entre les chercheurs et les métiers d’accompagnement, les humanités numériques constituent en soi une opportunité pour les bibliothèques. Ensuite de nombreux savoir-faire utilisés par les DH sont présents dans le monde des bibliothèques, légitimant ainsi leur participation au mouvement. Ajoutons que les humanités numériques présentent un véritable intérêt stratégique pour les services de la documentation qui, dans un environnement de plus en plus concurrentiel et dans un contexte de rigueur budgétaire, se trouvent enjoints de faire la démonstration de leur utilité. Un appel à la coopération avec les bibliothèques
Unité régionale de formation et de promotion pour l'information scientifique et technique (URFIST) Vous êtes personnel ou usager de l’une des universités de Bretagne et des Pays de la Loire… Vous souhaitez être mieux formé à la recherche et aux usages de l’information numérique ? Avoir une meilleure connaissance des ressources électroniques ? Vous voulez en savoir plus sur les outils, applications, pratiques d’Internet, sur les modalités actuelles de la diffusion de l’information scientifique ? Vous allez vous-même former des usagers de l’université sur ces questions ?
Qui sommes nous Un Fablab à Montpellier : Labsud est une association loi 1901, composée de membres, venant d’horizons très différents. Électroniciens, développeurs, mécaniciens, étudiants en cycle secondaire ou supérieur (thésards), chefs d’entreprise, nos profils et nos âges très différents (de 18 à 68 ans..) nous apportent une diversité de culture qui nous regroupent autour d’un but commun : le partage de projets et de connaissances. Objectifs : Nous poursuivons de nombreux objectifs : Les responsables des Fablabs français et européens réunis autour de Niel Gersehfled du MIT lors de la conférence 2012 sur les Fablabs à Toulouse.
Définition et enjeux de la médiation numérique documentaire Le concept de médiation documentaire au sein des sciences de l’information et de la communication (SIC), renvoie à la notion d'intermédiaire, de lien entre le singulier et le collectif. La médiation documentaire concerne une médiation des savoirs mettant en place, grâce à un tiers, des interfaces qui accompagnent l’usager et facilitent les usages. Elle permet de concilier deux choses jusque-là non rassemblées pour établir une communication et un accès à l’information. C’est par sa capacité à lier information et communication qu’elle peut être qualifiée de médiation documentaire. Elle s’appuie sur des composants humains ou matériels qu’on peut distinguer en « médiateurs sociaux « naturels » (normes, valeurs…), médiateurs humains (négociateurs, chefs…), dispositifs complexes (agencements matériels et géographiques, organisationnels et techniques…) »1.
Bibliothèques et humanités numériques - Episode 1 Conservateur de bibliothèque depuis 2014, Elydia Barret est actuellement en poste au Campus Condorcet où elle est chargée de mission archives. Elle revient pour enssibLab avec beaucoup de perspicacité sur un mouvement complexe qui interroge de plus en plus la profession, les Humanités Numériques. Son mémoire d'étude soutenu en 2014 à l'enssib sous la direction d'Isabelle Westeel, pose justement la question cruciale : Quel rôle pour les bibliothèques dans les humanités numériques ? L'occasion pour nous de revenir sur les conclusions de son travail et de prolonger la réflexion initiée dans ce cadre. Délibérément axées sur l’une des facettes multiples des DH, les lignes qui suivent ont vocation à défricher un terrain qui s’étend et se reconfigure sans cesse. Loin de fournir un état complet de la question, elles se proposent simplement de poser les bases de la réflexion en fournissant, pour commencer, des clefs pour mieux appréhender et décrypter la notion d’humanités numériques.
GRCDI » Présentation Le blog du Gr-CDI est le site d’information sur les activités du Groupe de recherche sur la culture et la didactique de l’information. • Qu’est-ce que le GRCDI ? Le Groupe de Recherche sur la Culture et la Didactique de l’Information est un groupe de recherche inter-régional (Bretagne, Pays de la Loire, Normandie), réunissant une douzaine de personnes de ces régions, engagées dans différents travaux et démarches de recherche autour de la culture informationnelle, de la didactique de l’information et de la formation des élèves et des étudiants à la maîtrise de l’information.
Street marketing : l'écran géant interactif de McDonald's Lundi 6 juin Internet mobile - 6 juin 2011 :: 15:41 :: Par Eric L’action se passe à Stockholm, Suède : un écran géant a été installé sur la façade d’un immeuble du centre-ville, et les passants sont invités à interagir avec celui-ci sous la forme d’un jeu en grand format piloté à partir de leur smartphone. Comment s’empiffrer de hamburgers sans se ruiner ?
Le numérique au service de la médiation culturelle Dans les années 1960, les premiers supports vidéo étaient introduits dans les musées. Vingt ans plus tard, suivaient les audioguides. Depuis plus de dix ans, le web ne cesse de renouveler le rapport du visiteur au musée et au patrimoine. Nouvelle donne, les technologies numériques se développent de nos jours au service du patrimoine selon trois axes : la médiation in situ (dispositifs multimédias déclinés dans les expositions et sites), la médiation mobile (applications mobiles, audioguides, codes QR…), et Internet. La technologie multitouch est aujourd’hui au centre des recherches sur la médiation culturelle in situ. Selon une étude menée par le Club Innovation & Culture (CLIC France) et publiée le 6 février, 29 musées en France disposent d’une application permanente ; tandis que 26 en ont développé une liée à leur événementiel, sur l’année 2011.